L’astrologie du double-zodiaque et les données probantes
Par Jean-Paul Michon
Astrologue-Chercheur
Les prérequis pour un chercheur en astrologie sont de s’être départi de ses préjugés envers l’astrologie. Certains sceptiques qui se présentent comme d’honnêtes chercheurs vont jusqu’à avoir des attitudes fanatiques préjudiciables envers l’astrologie. Il faut s’assurer de les garder à distance pour ne pas nuire aux hypothèses de recherche, car ils ont passé leur vie à trouver des preuves contre l’astrologie.
Obtenir des données probantes pour valider l’influence des astres demande un profil de chercheur très spécifique car, la personnalité du chercheur va interagir sur les résultats des recherches. Ses croyances personnelles vont teinter de manière drastique les résultats. La personne qui s’affiche athée par exemple exclu toutes formes d’influences extrasensorielles sur les êtres humains (sauf l’amour dont il est bénéficiaire).
Le meilleur chercheur sera celui qui doute en permanence et qui se pose des questions existentielles sur notre présence sur Terre. Il comprend l’intérêt de l’astrologie, mais il est confronté à une science qui s’est construite sur des affirmations empiriques qu’il devra passer au crible des valeurs probantes pour qu’elles puissent être reconnues.
Alors, le chercheur en astrologie va faire comme la personne qui a le pied perclus de douleurs à cause d’échardes, il va les éliminer une par une. Ce chercheur va rejeter toutes les affirmations ou théories qui sont pour lui des ragots colportés à travers les siècles. Ce chercheur va éliminer toutes les affirmations qui sont incontrôlables. Par exemple le fait que des écoles d’astrologie affirment que plusieurs planètes seraient maléfiques.
En fait, comme chercheur en astrologie, je me suis fait beaucoup d’ennemis dans les milieux astrologiques. Car, à chaque conférence, à chaque rencontre où l’on était censé enseigner l’astrologie, mes questions venaient mettre en doute toute affirmation incohérente.
Avec le temps et les années, j’ai choisi de garder ce qui était acceptable, intelligent et qui était capable de résister à l’épreuve des observations.
Il n’y a pratiquement pas d’outil pour apporter la preuve de la véracité de ces influences. J’en ai pour preuve, les études statistiques déjà réalisées. Elles peuvent affirmer tout et son contraire. Lorsqu’elles sont extrêmement bien élaborées comme celles réalisées par Suzel Fuzeau-Braesch, docteur ès sciences d’État, directrice de recherche au CNRS en France, elles sont rejetées du revers de la main par les « scientifiques », exactement comme se comportait le clergé au Moyen-âge.
Heureusement, cette recherche pour élaborer une science astrologie rationnelle est possible. La première chose à faire est de bannir les réactions de cette caste de sceptiques férus de préjugés négatifs sur la question. La deuxième est de former un regroupement de chercheurs honnêtes et motivés (l’union fait la force). Il serait possible de coordonner les recherches avec un organisme centralisateur. Il y aurait ainsi moyen de développer des outils très précis pour que l’astrologie puisse être utile dans la compréhension de toutes les facettes de l’être humain.
Il est important ici de faire une remarque sur le fond de cette question. Comme le disait Michel Onfray dans son livre « Traité d’athéologie », toutes nos sociétés sont conditionnées par des doctrines religieuses ancestrales. Ces doctrines frelatées gardent un poids énorme dans le conditionnement social collectif. Car accepter ces influences astrales serait reconnaitre l’existence d’une puissance, d’une source dont on ne connait pas les spécificités techniques. Les religions l’ont appelé Dieu dans le but de garder le contrôle sur la psyché humaine. Les doctrines religieuses règnent en maitre sur les populations au service de ceux qui détiennent le pouvoir. Alors, laisser se concrétiser une connaissance rigoureuse de l’influence des astres pourrait tourner au désastre pour cette ploutocratie. Les religions et ces scientifiques sceptiques ont la même détermination contre l’astrologie, car elle leur ferait perdre leur pouvoir.
On ne peut pas contester le fait qu’à l’heure actuelle, il est pratiquement impossible d’avoir des données probantes qui puissent être reconnues scientifiquement. Toutefois, des résultats probants, c’est-à-dire des outils qui permettent d’apporter une aide significative aux thérapeutes est envisageable.
Un résultat probant, c’est un résultat significatif pour le patient, mais qui ne peut pas être intégré à une statistique, car chaque individu est différent et vous pouvez trouver difficilement cent personnes qui aient vécu les mêmes expériences à un moment donné.
J’ai expérimenté ces résultats probants pendant une trentaine d’années afin de développer un nouvel outil d’observation de l’influence des astres. Cela s’appelle « la théorie du Double-Zodiaque ». Cette technique pourrait être comparée à l’invention du microscope pour observer les cartes du ciel. Certains psychologues l’utilisent déjà dans l’anonymat par crainte des menaces d’exclusion des ordres professionnels qui pèsent sur eux dans plusieurs pays.
Est-ce que l’humanité pourra nier longtemps ces influences astrales. Il y a fort à parier que cette technique du Double-Zodiaque va conquérir les cœurs des psychologues honnêtes qui ont comme seul objectif le bien-être de leurs patients sans arrière-pensée égotique.
Jean-Paul Michon
Astrologue-Chercheur
Découvrez le travail de recherche de Jean-Paul Michon
– http://www.double-zodiaque.com
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