Ladakh… Itinérance indienne et voyage intérieur

Ladakh
Itinérance indienne… Un voyage intérieur… dans la magie de l’instant présent
Du 12 au 29 juillet 2014

Dans la région du monde où se concentrent le plus de monuments bouddhiques, de monastère en monastère,
à la rencontre de notre Bouddha intérieur…

Il est des lieux initiatiques et magiques chargés des mémoires de vies passées.
L’immensité et la beauté des paysages, les plus grands monastères du Ladakh et la force d’une tradition millénaire toujours vivante confèrent à ces hautes terres himalayennes une ambiance indéfinissable et une aura magique.

Une vie simple où seules les valeurs essentielles ont cours qui visent la sérénité : celles de l’accueil ou du plaisir d’échanger un sourire en se croisant sur un sentier et celles enseignées par Bouddha…

 

Ce voyage est un ressourcement dans la magie d’un quotidien où le naturel et l’immatériel font partie de notre environnement. C’est la qualité de cette Présence qui se développe au fil du temps, au fil des rencontres. Lieu d’étonnement et d’éveil où chaque pierre, chaque regard, chaque murmure nous étonne.

Au fil des siècles, la culture tibétaine a trouvé un espace propice à son épanouissement.
Il y a du mystique partout. Bien au-delà de toutes nos croyances ou appartenance religieuse, nous vivons une véritable expérience intérieure.

Francine Baraban est une aventurière, passionnée par l’aventure humaine et par la rencontre avec l’inconnu. Ses voyages sont dits *initiatiques, du latin ‘’initium’’ qui signifie commencement. C’est une initiation à de nouvelles découvertes, un processus d’éveil qui va transformer notre être par une aspiration à la connaissance et une volonté à donner un sens à sa vie. C’est une expérience individuelle et collective pour que chaque personne, dans une profonde connaissance de soi, trouve en elle sa voie, sa spiritualité *, c’est-à-dire qu’elle trouve en elle les moyens pour donner du sens à la vie, à sa vie, et vivre des moments dans un état d’être qui ne peut être enfermé, endoctriné ou cloîtré dans un temple.

Cela peut être en observant les superbes paysages himalayens ou en visitant un monastère, en méditant à 4000 m d’altitude, en échangeant quelques mots avec une femme qui lave son linge dans la rivière, en savourant un plat préparé avec soin, ou comme le dit le Dalaï Lama, en épluchant des pommes de terre…
Ces voyages sont initiés dans un état d’esprit, une ouverture permanente sur les autres et le monde. Un état d’être qui ne se repose pas sur des idées préconçues, des dogmes sclérosants mais qui tend toujours vers la découverte de l’inconnu, découverte de soi, des autres et de l’univers.
L’expérience de Francine Baraban, fait qu’elle a développé une habileté pour accompagner la personne et le groupe, à partir de ce qui se passe ici et maintenant, en favorisant un contact authentique avec les autres et un « ajustement créateur » à l’environnement.

Qu’est-ce que la spiritualité ?

 *La spiritualité du latin spiritus, esprit, c’est la connaissance de soi par la recherche personnelle de chaque instant, une attention permanente à soi, ses pensées, ses actes et surtout leur compréhension qui déclenchera en nous l’évolution vers la sagesse, la sérénité et l’amour inconditionnel.

Mathieu Ricard :
« Je peux apprendre à exercer mon sens du jugement, pour distinguer ce qui me tourmente et ce qui m’apporte la paix, et donc mieux me connaître. On sent une certaine prise de conscience. L’immense soif de confort matériel qui habite les Occidentaux a atteint une limite. On se rend compte que ce n’est pas ça le bonheur – d’où un certain désarroi, car l’essentiel des vies occidentales est bien tourné vers le confort, qui fait négliger aux gens beaucoup d’autres aspects de la vie. Les Occidentaux redécouvrent aujourd’hui que le bonheur, seule une recherche intérieure peut l’apporter. Cette quête intérieure peut s’inscrire dans une religion, mais pas nécessairement. »

D’un point de vue théologique, la spiritualité est ce qui concerne la vie spirituelle, par opposition à ce qui est matériel. Elle est fondée sur la croyance à l’existence d’une réalité de l’esprit de nature différente de celle du corps, c’est-à-dire de la réalité matérielle de la vie. Dans ce sens-là, il peut y avoir spiritualité sans religion, car ni les dogmes, ni les rites, ni le caractère organisé de cette dernière ne lui sont nécessaires. Au sens philosophique la spiritualité désigne la qualité de ce qui est de l’ordre de l’esprit.

L’être humain fonctionne selon un principe de dualité : chaud-froid, bonheur-malheur, amour-haine, grand-petit, etc… Ce que les bouddhistes appellent le « SAMSARA ». Ce système ne peut pas apporter une paix permanente à l’être humain, tout simplement parce que la dualité ne le permet pas, la paix n’est qu’un état de non guerre dans ce système. La seule façon d’en sortir est de mettre fin à la séparation et à la dualité.

La connaissance de soi parait être la voie royale pour accéder à l’unité. A l’entrée du temple de Delphes, il est inscrit « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux ». On peut arriver à l’unité grâce à ce que Krishnamurti appelle une « vision pénétrante » de nous-même. La recherche spirituelle n’est pas une fuite du réel, elle ne sert pas à éviter ses blessures. C’est tout le contraire, la connaissance de soi passe par la conscience et la mise à jour des douleurs refoulées.
Dans l’état de réalisation spirituelle, il n’y a plus de division à l’intérieur de moi et entre moi et l’extérieur.

Une libération du passé et du conditionnement : je vois le monde totalement neuf à chaque instant, ce qui me ramène à la parole de Jésus « et vous serez comme des petits enfants ». Un petit enfant voit le monde tel qu’il est sans jugement ni conditionnement. Une absence de jugement et donc de culpabilité sur soi-même et sur les autres. La notion de bien et de mal n’a pas lieu d’être dans cet état. Un accès à la « Connaissance » La Connaissance n’est pas le savoir, ni la perception, il s’agit d’une compréhension totale de la vie qui ne passe pas par l’intellectuel et qui ne peut pas être mis en mots. Un état de joie permanente, il s’agit d’une joie qui n’a pas d’opposé, elle n’a pas de cause. C’est « la joie d’être ».

 » L’amour est notre véritable essence. L’amour ne connaît pas de frontières de caste, de religion, de race ou de nationalité. Nous sommes tous des perles enfilées sur le même fil de l’amour.  » – Amma

La roue de la vie

Ce voyage est original, puisqu’il relie les dimensions:

–  physique, la marche en altitude permet d’affiner nos sensations corporelles et, portés par l’énergie du groupe et par la philosophie bouddhiste, ainsi que par l’immensité himalayenne nous trouvons ou re-trouvons la « forme » et la plénitude de nos facultés.

– psychique avec un travail d’exploration de notre être intérieur et une réflexion en groupe accompagné par une animatrice où chaque personne explore sa présence à l’univers, aux autres et à elle-même.

– spirituelle en lien avec la sagesse millénaire du bouddhisme et la découverte de lieux magnifiques et sacrés et l’ouverture aux grandes questions sur le sens de la vie.

Alliant le savoir-être au savoir-faire dans une écoute et une ouverture du coeur, le quotidien, l’émotionnel et le spirituel s’unifient et toutes les dimensions de notre être sont reliées.

Pour les détails, n’hésitez pas à communiquer avec:
Francine Baraban, Psychothérapeute, Formatrice
Voyage initiatique Petit Tibet: du 12 au 29 juillet 2014
https://www.psycho-ressources.com/francine-baraban.html


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