Manuel de psychopathologie générale

Manuel de psychopathologie générale
(Enfant – Adolescent – Adulte)
 
De Patrick Juignet
PUG (Presses Universitaires de Grenoble)

Le manuel anti DSM
Une présentation complète du champs de la psychopathologie dans un manuel pratique et rigoureux

Les + de l’ouvrage

  • Une complète et générale de la pathologie
  • Une alternative à l’actuel courant basé sur le DSM
  • Une approche humaine, soignante et empathique qui associe des facteurs relationnels, neurobiologiques et socioculturels
  • Concerne à la fois l’enfant, l’adolescent et l’adulte

Résumé :

Ce manuel clair et synthétique offre une présentation complète du champ de la psychopathologie et des domaines annexes. Le spécialiste rencontrera une réflexion épistémologique sur le problème de la scientificité en psychopathologie.

L’auteur défend une attitude humaniste en psychopathologie et une utilisation raisonnée des connaissances psychanalytiques. Il s’oppose dans son approche au courant actuel basé sur le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) établi par la société américaine de psychiatrie. Le DSM, qui classifie de façon empirique les troubles mentaux, est critiqué par de nombreux praticiens qui lui reprochent de catégoriser à l’extrême en vue d’une cartographie administrative de la maladie mentale.

Ce manuel s’inscrit dans une proposition différente qui est une vraie alternative. Il présente une classification par pôles, renoue avec la tradition clinique européenne et adopte une approche psychodynamique.

Les praticiens anti-DSM y trouveront enfin une synthèse nouvelle, différente, ouverte sur les sciences humaines.

L’auteur :

Patrick JUIGNET, psychiatre et psychanalyste, docteur en philosophie et sciences humaines, est chargé de cours de psychopathologie.

Détails :

Collection : LIbres cours Psychologie – septembre 2015
Livre papier: 23,00 euros
Format : 160 x 240
Nombre de pages : 218
ISBN : 9782706124198
Public : Etudiants comme aux praticiens.

Pour commander :
http://www.pug.fr/produit/1240/9782706124198/Manuel%20de%20psychopathologie%20generale

Les Presses Universitaires de Grenoble (PUB) sont membres de Psycho-Ressources:
https://www.psycho-ressources.com/toile/presses-universitaires-grenoble.html


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Livre – Addiction au porno: comment s’en sortir

Addiction au porno: comment s’en sortir

La pornographie a fait son trou grâce à Internet. Par exemple, 7 % des Français en consomment quotidiennement selon un sondage de janvier 2014. Le sexe virtuel rend ainsi dépendants quantité d’internautes, il s’agit d’une nouvelle forme d’addiction encore tabou et méconnue. La porno-dépendance provoque en effet isolement, irritabilité, baisse de l’estime de soi, dépression… Elle enferme dans une spirale infernale où le plaisir disparaît devant un besoin irrépressible de visionner des images.

C’est parce qu’il a réussi à s’en sortir, que Florent Badou a décidé de partager son parcours à travers une méthode pour rompre avec cette addition : Avant j’étais accro au porno disponible sur Amazon*.
http://www.amazon.fr/dp/2955376604/

Il introduit son livre ainsi : “Je n’écris pas ces lignes pour m’exhiber ou confesser quoi que ce soit. J’ai rédigé le livre que j’aurais voulu lire alors que j’étais addict […]. Il est d’abord le fruit de mon expérience […]. Je ne suis ni sociologue, ni psychologue, ni addictologue, je suis simplement un homme qui est passé de plusieurs pornos et masturbations par jour à zéro. Je suis convaincu que la méthode qui a fonctionné pour moi peut fonctionner pour vous.”

C’est le Pr Marc Auriacombe, spécialiste de psychiatrie et d’addictologie au CHU de Bordeaux et à l’université de Pennsylvanie (Philadelphie), qui préface cet ouvrage original. Pour lui, celui-ci est “une ressource qu’un the?rapeute professionnel des addictions peut partager avec les personnes qui viennent le solliciter pour elles-me?mes ou un proche”.

Et il va plus loin : il “recommande vivement cette lecture aux professionnels en formation”.

*En vente sur Amazon au format papier et numérique :
http://www.amazon.fr/Avant-JEtais-Accro-Porno-Pornographie/dp/2955376604/
http://www.amazon.ca/Avant-JEtais-Accro-Porno-Pornographie/dp/2955376604/

Plus d’infos : http://stopporn.fr/avant-j-etais-accro-au-porno-le-livre/


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Stigmatisation : Quand l’ignorance fait mal

Stigmatisation :
Quand l’ignorance fait mal.

« C’est tellement plus facile de sourire plutôt que d’être heureux » Fauve

Bipolaire, borderline, schizophrène, psychotique, que de mots pour décrire des personnes en souffrance. La stigmatisation des personnes souffrant de ces troubles et maladies psychiques étant fortement présente, il serait grand temps d’informer et de brandir les pancartes, afin que leur souffrance ne soit plus sous silence.

Retirons les masques ! L’heure n’est plus à la comédie. Tant de sourires forcés pour éviter les jugements. Tant de mensonges pour éviter la solitude. Il est temps de briser les tabous. Il n’y a de place pour la normalité que si elle est accompagnée d’une différence. Faire partie d’une minorité n’est pas une fatalité, au contraire. Alors, avant de poser des étiquettes, informons-nous. Cessons les préjugés dans cette société où tout ce qui sort de l’ordinaire doit être en angle de mire.

« Il est schizophrène donc violent », « Nous sommes tous un peu borderline », « Les maladies mentales n’existent pas », telles sont les réactions que l’on peut entendre autour de nous. Les dire, c’est rester dans l’ignorance et le déni. Les recevoir, c’est augmenter leur souffrance. C’est demeurer dans cette solitude qui les ronge de l’intérieur. C’est penser qu’ils n’ont pas le droit d’exister. Il est temps de les laisser crier leur demande de reconnaissance, qu’ils puissent se libérer de ce poids, de cette « chose » qui fait qu’ils restent souvent sur le bas côté de la route, afin qu’ils ne soient plus vus comme des inadaptés, mais comme des personnes (à parts entières) souffrant d’un trouble handicapant au quotidien.

La stigmatisation des usagers en psychiatrie entrainant l’exclusion voire même le suicide de certaines personnes, il devient primordial d’arrêter des jugements un peu trop hâtifs. Notons que face au succès de la mad pride en juin 2014, ils ont eu la possibilité de reprendre la parole, une nouvelle fois, cette année.

« On a tous un petit grain de folie », « Fous, et alors ? » crient-ils chaque été dans les rues de Paris, au nom des oubliés de la vie, ceux qui, généralement, taisent leur souffrance, à tort, pour pouvoir se faire accepter. La dignité est un droit, donnons-la leur !

Mélanie A.


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La vengeance – L’inconscient à l’oeuvre

La Vengeance
L’inconscient à l’œuvre

Gérard Bonnet

L’ouvrage :

Imparable, sans pitié, ancrée au plus profond de l’inconscient de chacun : la vengeance. Elle peut nous menacer, n’attendre qu’une occasion pour nous réduire à merci. Elle s’empare de nous si l’on se sent lésé, provoqué, blessé. De Médée à Hamlet ou au Cid, elle fleurit dans tous nos classiques, comme elle défraie au quotidien la chronique et les faits divers.
Mais comment s’élabore la vengeance au sein de la vie psychique ? Comment se construit-elle en silence ? Et pourquoi est-elle un moteur si puissant ?

La vengeance psychique est partout, souvent invisible, ne cédant jamais sur ses exigences. D’une problématique psychique à l’autre, elle ne présente pas le même visage et n’a pas les mêmes conséquences : névrosé, pervers, psychotique n’auront pas la même manière de se venger.

Quelles sont les différentes modalités de la vengeance ? Et comment s’articulent-elles dans la vie inconsciente de toute personne pour y jouer un rôle déterminant ? Comment en réguler les effets ?

L’auteur :

Psychanalyste (APF), co-créateur du Collège des Hautes Etudes Psychanalytiques, Gérard Bonnet a été enseignant de psychopathologie à l’Université Paris VII, secrétaire de rédaction de la Revue Psychanalyse à l’Université, et il est l’auteur de nombreux ouvrages de psychanalyse Après avoir travaillé toute sa carrière en hôpital et en secteurs psychiatriques, il dirige actuellement l’Ecole de Propédeutique à la Connaissance de l’Inconscient (EPCI), où il donne un enseignement de psychanalyse destiné à un large public qui est à l’origine de ses ouvrages actuels.

EXTRAIT
Premières pages :

Vengez-vous !

« Qu’attendez-vous pour vous venger ? ». C’est la question qu’a posée un jour le haut responsable d’une grande école à un certain Pierre venu se plaindre auprès de lui. Des manœuvres  malveillantes avaient régulièrement empêché cet enseignant pourtant qualifié d’obtenir le poste qui devait lui être attribué, et il était désespéré. Sur le coup, la question de son mentor l’a laissé sans réponse. La vengeance n’était pas dans ses habitudes, il la considérait comme une réaction indigne de la part d’un futur enseignant, soucieux de neutralité et d’impartialité.

Pourtant, bien des années plus tard, jetant un regard sur le parcours qu’il a suivi ailleurs avec succès, il n’a pu se mentir à lui-même. Il lui a fallu se rendre à l’évidence. Il s’était bel et bien vengé, et heureusement, car sinon, la blessure ressentie à l’époque aurait eu des effets désastreux sur la suite de son existence. A ceci près que cette vengeance là n’avait rien à voir avec celle qui lui est venue spontanément à l’esprit quand elle lui a été proposée.

Voilà pourquoi je n’hésite pas à  dire à ceux qui souffrent de blessures analogues, et ils sont nombreux,  « Vengez-vous ! ». Mais attention : encore faut-il préciser ce que cela veut dire. L’apostrophe est certainement stimulante, mais elle peut-être dangereuse, car s’il existe une vengeance de vie, comme ce fut le cas pour Pierre, elle est aussi parfois de mort, on en aura quelques aperçus par la suite.

Voici donc un livre sur la vengeance. Non pas la vengeance immédiate, consciente et directe, la vengeance d’Achille, de Médée, d’Oreste, d’Hamlet, du Cid et de tant d’autres qui font florès dans nos livres ou sur nos écrans. Non pas non plus la vengeance des faits divers qui viennent régulièrement alimenter la chronique. Je veux parler de la vengeance telle qu’elle s’élabore et se construit en silence au cœur d’une vie psychique, et qui en est probablement l’un des moteurs les plus puissants. Il s’agit de la vengeance au sens psychanalytique, qui diffère de celles dont parlent la philosophie et les sciences humaines (1). Or, de l’avis d’un universitaire qui connaît bien la question, « elle n’a jamais fait l’objet d’une conceptualisation particulière au sein de la métapsychologie freudienne » (2). C’est pourquoi il m’est apparu indispensable d’en poser les jalons d’une manière aussi claire et complète que possible.

Pour mener à bien cette entreprise inédite à ce jour, je vais commencer par interroger la clinique analytique, en allant des manifestations névrotiques les plus courantes aux troubles psychotiques les plus graves. La vengeance psychique est partout, souvent invisible, ne cédant jamais sur ses exigences. Seulement voilà, à peine évoquée, elle pose un problème qui nous suivra tout au long de ces lignes : d’une problématique psychique à l’autre, elle ne présente pas le même visage et elle n’a pas les mêmes conséquences. La vengeance du névrosé diffère de celle du pervers, qui se distingue elle-même de celle du psychotique, et à plus forte raison de la vengeance au sens positif et constructif du terme. A croire que la vengeance dépend de la problématique du sujet qui s’y livre. C’est pourquoi, suite à ce parcours clinique, il nous faudra approfondir l’analyse, et repérer les principaux constituants de la vengeance à l’œuvre dans l’inconscient, quelles que soient le terrain où elle se manifeste.   Dans un troisième temps enfin, on pourra envisager les différentes modalités de la vengeance et voir comment elles se rejoignent et s’articulent dans la vie inconsciente de tout sujet humain et y jouent un rôle déterminant. Pour le meilleur et pour le pire.

NOTE
___________________________
(1) Cf en particulier : Michel Erman, Eloge de la vengeance, PUF, 2012, Marie-France Hazebroucq, Se venger, Edition Rue de l’Echiquier, 2011.
(2) J.-C. Bourdin et coll., Faire justice soi-même, études sur la vengeance, Presses Universitaires de Rennes, 2010.

Collection Psy pour tous aux éditions In Press, Paris.
Dirigée par Gérard Bonnet

Une nouvelle collection qui met à la portée de tous les concepts psychanalytiques les plus courants. Rigoureux, mais toujours accessible, les ouvrages de la collection sont destinés à tout public. Un plan clair, un propos accessible, des livres courts à petit prix.

Pour inaugurer la collection : 2 titres : L’Angoisse et La Vengeance.
Disponibles en librairie début Septembre 2015.

Détails:

ISBN : 978-2-84835-324-1
Prix :  10 €
Parution : sept. 2015
Nombre de pages : 150
Format : 11,5 x18

Commander cette ouvrage:
http://www.inpress.fr/project/la-vengeance/


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Le Féminin et ses images – Approche clinique et psychopathologique

Le Féminin et ses images
Approche clinique et psychopathologique

par Houari Maïdi, Psychologue

SOMMAIRE

La notion de bisexualité introduite par Freud en psychanalyse suppose que tout être humain aurait constitutionnellement des «caractères» sexuels traditionnellement attribués à la masculinité et la féminité et qui se retrouvent dans les conflits rencontrés par le sujet pour assumer sa propre identité sexuée. Ainsi le «féminin» du masochisme, qu’on retrouve chez la femme comme chez l’homme, n’est pas la féminité qui, elle, serait l’ensemble des caractéristiques propres aux femmes (en opposition avec la masculinité ou virilité). Cependant, le féminin ne peut être assimilé à son acception courante. Il traduit plutôt les représentations communes les plus enfouies qui entourent «la femme».

En appui sur de nombreuses observations cliniques, cet ouvrage aborde les questions multiples en lien avec le féminin dans ses différentes figurations cliniques et psychopathologiques. Le féminin et certaines de ses images sont particulièrement étudiés dans leur relation intime avec quelques thématiques essentielles comme la séduction traumatique, le narcissisme, la dépression, le deuil et la mélancolie ainsi que l’organisation défensive de forme hypocondriaque ou paranoïaque.
 
TABLE DES MATIÈRES

  • L’énigme du féminin
  • Le féminin et la castration
  • Féminin mélancolique
  • De la culpabilité d’être féminin à l’être féminin de culpabilité
  • Destin de féminin
  • Féminin victimaire
  • Féminin paranoïaque
  • Féminin masochique et besoin inconscient de punition

DÉTAILS

L’AUTEUR

Houari Maïdi est psychanalyste, docteur en psychologie clinique et en psychopathologie psychanalytique. Il est chargé de cours à l’université Paris V- René Descartes et à l’université Paris X- Nanterre, et président du Groupe de Recherche et d’Etudes en Psychopathologie et Psychanalyse (GREPP) à Paris. Il a apporté de nombreuses contributions dans des revues scientifiques spécialisées. L’essentiel de son travail porte sur la clinique de l’adolescence ainsi que sur la subjectivation victimaire.

Membre de Psycho-Ressources
https://www.psycho-ressources.com/houari-maidi.html

AUTRES LIVRES DE L’AUTEUR

Clinique du narcissisme – L’adolescent et son image
https://www.psycho-ressources.com/bibli/clinique-du-narcissisme.html
 
Les souffrances de l’adolescence – Trauma et figurations du traumatique
https://www.psycho-ressources.com/bibli/souffrances-adolescence.html


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Wilde et la nature humaine…

« Oscar Wilde, dont le nom complet est Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde, est un écrivain irlandais, né à Dublin le 16 octobre 1854 et mort à Paris le 30 novembre 1900. Né dans la bourgeoisie irlandaise et protestante de Dublin, d’un père ophtalmologiste renommé et d’une mère poétesse, Oscar Wilde se distingue par un parcours scolaire brillant. Nourri de culture classique, couronné de prix au sein du Trinity College de Dublin, il intègre le Magdalene College de l’université d’Oxford, où il se construit un personnage d’esthète et de dandy, sous l’influence des préraphaélites et des théories de L’art pour l’art de Walter Pater, John Ruskin ou Whistler. À l’issue de ses études, Wilde s’installe à Londres, où il parvient à s’insérer dans la bonne société et les cercles cultivés, s’illustrant dans plusieurs genres littéraires. » (Extrait Wikipedia)

Quelques citations…

Quel lien entre Oscar Wilde et la psychologie ? À priori, aucun. Toutefois sur le lot de ses citations que l’on retrouve un peu partout sur le web, plusieurs portent à réflexion sur l’amour, le désir, le destin, la nature de l’homme. Il s’agit là de thèmes associés à la croissance et au développement personnel. Bien sûr, plusieurs de ses citations sur le mariage sont cyniques, sexistes même. Ces dernières ne sont pas reproduites ici. En voici plutôt quelques unes qui jetent un regard intéressant sur l’homme et son humanité… Avec parfois un brin d’humour.

OSCAR WILDE A DIT:

– L’homme veut être le premier amour de la femme, alors que la femme veut être le dernier amour de l’homme.

– Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais.

– Aimer, c’est se surpasser.

– N’importe qui peut sympathiser avec les souffrances d’un ami. Sympathiser avec ses succès exige une nature très délicate.

– Les enfants commencent par aimer leurs parents ; devenus grands, ils les jugent ; quelquefois, ils leur pardonnent.

– Il y a deux tragédies dans la vie : l’une est de ne pas satisfaire son désir et l’autre de le satisfaire.

– Quand les dieux veulent nous punir, ils exaucent nos prières.

– S’il est au monde quelque chose de plus fâcheux que d’être quelqu’un dont on parle, c’est assurément d’être quelqu’un dont on ne parle pas.

– Le public est extraordinairement tolérant. Il pardonne tout, sauf le génie.

– L’expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs.

– La fatalité veut que l’on prenne toujours les bonnes résolutions trop tard.

– La vraie valeur d’un homme réside, non dans ce qu’il a, mais dans ce qu’il est.

– Le monde a été fait par les fous pour que les sages y vivent.

– C’est le mérite de la science, d’être exempte d’émotion.

– Sachez que je puis croire toute chose, pourvu qu’elles soient franchement incroyables.

– Se faire le spectateur de sa propre vie c’est échapper à toutes les souffrances de la vie.

– Il n’y a que deux sortes de gens attrayants ; ceux qui savent absolument tout et ceux qui ne savent absolument rien.

– L’émotion nous égare : c’est son principal mérite.

– Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d’avis.

– Quand les gens sont de mon avis, j’ai toujours le sentiment de m’être trompé.

– Si on vous donne un bon conseil, refilez-le vite à un autre.

– Si l’on a quelque chose de désagréable à dire, il vaut toujours mieux être franc.

– Les bonnes résolutions sont des chèques tirés sur une banque où l’on n’a pas de compte courant.

– Le pessimiste est celui qui, entre deux maux, choisit les deux.

– L’incertitude est l’essence même de l’aventure amoureuse.

– Si l’on veut retrouver sa jeunesse, il suffit d’en répéter les erreurs.


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Séminaire de psychanalyse et psychothérapie, Paris, 6 oct. 15.

Bonjour à tous.

La rentrée est fixée au mardi 6 octobre 2015, les séminaires ayant lieu tous les 1ers mardis (ou jeudis du mois, ce que nous déciderons ensemble lors de la première séance), d’octobre 2015 à juin 2016 à la Maison des Associations, 4, rue des Arènes, (M° Jussieu, ligne 7 ; Bus 67, 47).

La 1ère séance a donc lieu le mardi 6 octobre 2015, de 17h à 19h30 (nous déciderons ensemble des futurs horaires et jours des séances suivantes).
Nous confirmerons par mail individuel et sur le site de l’association www.alpes-idra.com les soirées du séminaire 2015 – 2016,  qui prennent la forme de soirées interactives, avec les thèmes retenus.

Le thème pour cette année est :

L’Œdipe.

Au-delà des sentiments d’amour portés au parent de l’autre sexe et de la jalousie envers le parent de même sexe, La mise en œuvre de l’Œdipe repose sur un fonctionnement posant la Loi symbolique comme susceptible d’assimiler, afin que la personnalité n’y reste pas fixée, les grandes étapes de l’évolution de la personne. Le complexe d’Œdipe dépasse donc aujourd’hui les termes de la proposition définie par Freud, cependant toujours un modèle.

Voici une bibliographie possible :

Freud, Introduction à la psychanalyse.
Freud, L’Interprétation des rêves.
Sophocle, Œdipe roi.
Le complexe d’Œdipe, Que sais-je ?

Lors des 1ères séances, nous mettons à jour l’annuaire des instituts – non publié et réservé aux membres – que nous proposons de compléter.
Nous nous chargeons de l’inscription sur l’annuaire de l’association, de l’établissement de la carte d’adhérent ainsi que l’animation des soirées du séminaire de l’Institut Français de Psychanalyse.
Une carte d’adhérent est remise (160 euros pour l’année, 130 pour les étudiants) et demandée lors des séminaires et à l’occasion des démarches à l’Institut.
Les participants sont recrutés sur leur demande ou cooptés après accord du président.
Si des personnes sont intéressées par les thèmes développés en séminaire, sans s’inscrire, elles se présentent directement à l’occasion des soirées de leur choix (20 euros par soirée, 10 euros pour les étudiants).

Je vous adresse à tous mes meilleures salutations et espère ainsi vous voir lors de notre première séance,

Nicolas Koreicho
Psychanalyste, Psychothérapeute, Paris
https://www.psycho-ressources.com/psychanalyste/paris/nicolas-koreicho.html

Institut Français de Psychanalyse
12, rue Broca
75005 Paris
Tel 01 43 31 57 26
Email: contact@alpes-idra.com
Site: http://www.alpes-idra.com


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Le suicide ne recule pas, mais on le combat mondialement

Bonjour à tous,
Jeudi le 10 septembre était désigné Journée Mondiale sur la prévention du suicide. Il s’agit d’un thème majeur en santé mentale et nous vous invitons à prendre connaissance des plus récentes données à ce sujet. Soyons tous des sentinelles pour nos proches: amis, collègues de travail et membres de nos familles. Afin de réduire l’impact de cette problématique mondiale, nous devons tous être prêt à soutenir un proche vivant de la détresse psychologique et à l’orienter vers les ressources appropriées.

Alain Rioux, Ph.D.
Gestionnaire de Psycho-Ressources

Le suicide ne recule pas,
mais on le combat mondialement

EXTRAIT de :
Paloma Martínez – Radio-Canada International. Publié jeudi 10 sept, 2015

En cette Journée Mondiale de la prévention du suicide, l’Organisation Mondiale de la Santé  (OMS) fait une mise à jour des faits saillants concernant ce problème grandissant qui touche tous les pays et tous les âges.

Principaux faits

  • Plus de 800 000 personnes se suicident chaque année.
  • Pour chaque suicide, on dénombre de nombreuses autres tentatives de suicide chaque année. Une tentative de suicide est le principal facteur de risque de suicide ultérieur dans la population générale.
  • Le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les 15-29 ans.
  • 75% des suicides surviennent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire.
  • L’ingestion de pesticides, la pendaison et les armes à feu sont parmi les méthodes de suicide les plus répandues dans le monde.

Le suicide est l’une des priorités pour l’OMS en ce qui concerne la santé mentale. Dans le Plan d’action pour la santé mentale 2013-2020, les États Membres de l’OMS se sont engagés à s’efforcer d’atteindre la cible mondiale d’une réduction de 10% du taux de suicide dans les pays d’ici 2020.

Suite de l’article:
http://www.rcinet.ca/fr/2015/09/10/le-suicide-ne-recule-pas-mais-on-le-combat-mondialement/

Quelques adresses sur le Web:

Centre de prévention du suicide du Québec:
http://www.cpsquebec.ca

Suicide Écoute France
https://suicideecoute.pads.fr

Centre de prévention du suicide de Belgique
http://www.preventionsuicide.be

Organisation Mondiale de la Santé
Premier rapport de l’OMS sur le suicide: l’état d’urgence mondial
http://www.who.int/mental_health/suicide-prevention/fr/


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Psy-causes – Psychiatrie – Plaidoyer pour une autre approche

Psy-causes
– Psychiatrie –
Plaidoyer pour une autre approche
Chloé et Allan Olivier
Éditions Amalthée

SOMMAIRE

Ce livre, récit d’une expérience, tente de démontrer que l’éducation sociétale, familiale et parentale peut avoir des conséquences tragiques pour nos enfants. Comprendre les différentes causes qui entrent en jeu peut aider ces jeunes en grande souffrance.

Le système psychiatrique français, enfermé dans une logique étiologique et thérapeutique basée sur la biologie, adopte une attitude condescendante vis-à-vis de tous ceux qui ont souffert de crise schizoïde et les catalogue à vie. Leur exclusion injustifiée aggrave encore leur situation. La dimension humaine, l’empathie sont écartées la plupart du temps.

Une autre attitude est possible, au regard de pays voisins qui optent pour des soins basés sur le lien thérapeutique. La relation à l’autre, au centre du soin, amène à limiter les médicaments et leurs effets secondaires plus invalidants que la maladie. Les étiquettes stigmatisantes ont été rayées du vocabulaire médical.

Pourquoi la psychiatrie française refuse-t-elle de travailler avec ces autres approches thérapeutiques, connaissant la violence et les risques du seul traitement biologique ? Toute la question est là !

QUELQUES PAGES EXTRAITES DU LIVRE

« …Comment peut-on faire pour qu’on passe de la médecine traditionnelle à la santé ?

« À côté de la psychiatrie, on essaie en plus de promouvoir la santé des gens qui sont affublés du sobriquet de « malades mentaux ».

C’est ainsi que le professeur Lançon, psychiatre à Marseille essaie de faire passer son message de bienveillance et de vision beaucoup plus humaine.
Il est tout à fait clair qu’il dénonce l’inefficacité de l’institution psychiatrique pour réellement aider à retrouver un état de bien-être.
Il a un réel langage d’authenticité.
Il a pu se retrouver dans une position où il a pu un peu aider les autres qui souffrent de difficultés psychiques puisqu’il est lui-même psychiatre. Il ose dire sa vérité.

Il parle de tous ces groupes qui veulent promouvoir une certaine idée de la santé mentale… c’est déjà pas mal… mais… en fait, cela n’a pas fait avancer depuis 20 ans qu’il travaille dans le domaine ! Il n’y a toujours pas de réelle réhabilitation !

Les projets sont bien souvent plein de beaux discours pas trop suivis de réelles réintégrations sociales.
Il dénonce le fait que les infirmiers, les psychiatres, le corps psychiatrique commencent à dire que les paires aidants sont nuls… Les paires soignants, c’est-à-dire ceux qui ont l’expérience personnelle de cette « maladie ». Alors qu’ils sont bien plus à même d’aider puisqu’ils sont passés par là.

Les psychiatres, en général, disent que ceux qui ont eu cette expérience ne peuvent pas rivaliser avec les professionnels. Ils disent que les « paires soignants » n’ont qu’à fermer leur gueule, car seuls ceux qui tiennent la vérité sont les professionnels et cela, même s’ils nous ne le disent pas en face, on le perçoit aisément, malheureusement… pour eux !

Il est un fait que ceux qui ont l’expérience sont plus à même d’aider, ils ont la connaissance expérimentale.
Nous sommes allés à Québec avec Krikor, pour rencontrer les psychiatres d’un centre qui soignent des jeunes sans la seule médicamentation, mais avec un accompagnement humain. Après plusieurs visites avec des infirmiers, des assistants sociaux, sur plusieurs jours, quand j’ai annoncé au psychiatre, chef de l’établissement que je n’étais pas soignant, mais « qu’une mère », il m’a mis sa main sur mon épaule et m’a dit : Alors on va pouvoir commencer à vraiment parler. Ici, pour nous, l’expérience est primordiale. Elle est à la base. Ici, vous ne saurez pas qui est qui entre le soignant et le soigné. Il y a des soignants qui sont des soignés et d’anciens soignés. C’est l’expérience qui nous apporte le savoir dans ce domaine. » J’étais stupéfaite. Une complicité est née et nous a amenés à organiser ensemble un congrès en France. Mais, hélas, tout est plus difficile à concrétiser en France et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle, lui-même n’avait pu le faire qu’à Québec ! C’était il y a plus de dix ans… Nous ne perdons pas espoir. Ça finira par se réaliser en France. Certains psychiatres commencent à avoir cette compréhension et agissent en fonction dans leur secteur.

Le retour, le rétablissement, la guérison, ça pourrait passer par une normalisation du soin en soin en psychiatrie.
Actuellement, trop souvent encore, quand on découvre l’univers psychiatrique c’est comme si on entrait en enfer. Tout est fermé ! les clefs sont attachées aux ceintures des infirmiers, leur visage même est fermé ! c’est un monde impossible à imaginer tant qu’on ne l’a pas connu.
L’univers psychiatrique ne ressemble à rien d’autre que ce qu’on voit dans d’autres institutions hospitalières. Rien ne ressemble à cet univers dans la vie de tous les jours.

Il faut le redire : « Si on souffre du sida, ou d’un cancer par exemple, n’importe quelle affection, on se rend bien compte que la part accordée aux associations, aux aidants et aux personnes souffrants de la maladie est mille fois plus grande qu’en psychiatrie. »
Le grand problème de la psychiatrie, c’est le régime de la terreur.
Est-ce que, quand on rentre en psychiatrie, ça veut dire qu’on a perdu sa capacité de discernement ?
« Moi je ne pense pas du tout » dit le professeur Lançon. « je n’ai jamais pensé cela ».
Il dit même « Peut être que je suis moi-même un malade mental délirant. Si on veut modifier la survie des gens et le pronostic, il faudra qu’on change le mode de relation entre les partenaires ».

D’ailleurs sur bien des points Tim Greacen, directeur du laboratoire de recherche de l’Hôpital de Maison Blanche, à Paris, le rejoint.

Changer le mode de relation entre les partenaires.
« Je penserai à toi jusqu’à ce que tu guérisses de tes souffrances.
Le reste de ma vie pour ta vie continue !
Sourire, c’est commencer à guérir. »

Des paroles qui guérissent

Les paroles qui guérissent, les actes qui guérissent… Qui cicatrisent les blessures.
Quand le temps s’est arrêté et que tout a basculé dans un monde où on se demande ce qu’est « exister »…

Les nouveaux médicaments, ne suffisent pas pour guérir les blessures du cœur et de l’âme.
Les traitements affaiblissent encore plus, apportent une grande fatigue qui vieillit prématurément le jeune et lui coupent son élan de vie ! Et au lieu de donner de l’énergie… de l’encourager en le guidant, elle est broyée !
Elle pourrait être orientée dans des domaines de création, d’invention !
Les domaines artistiques, la musique, l’écriture, la sculpture, la peinture… Les domaines de la création… sont des facteurs de guérison !
Ces jeunes sont des étoiles dans un ciel que nous ne voyons pas ! Ils sont des lumières qui nous éclaireraient le futur, mais nous ne les voyons pas ! Nous sommes aveugles ! Aveuglés par nos propres ambitions… Et ce qui est important… l’avenir et la vie de nos enfants… Nous ne pouvons pas le voir !
Des êtres de lumière, de gentillesse, de compassion, peuvent être de bons guérisseurs.

La confiance qui guérit.

La confiance en une personne peut guérir.
L’hypocrisie rend malade. Les mensonges rendent malades. Ceux qui veulent avoir toujours raison rendent l’autre malade.
Une façon d’être peut guérir l’autre. Trouver la paix dans son cœur peut guérir !
Ne pas avoir peur de la vérité. Ce qui est vraiment vrai, n’est pas toujours ce qui est en apparence.
Ne pas être à genoux peut amener à guérir.
Avoir conscience que ceux qui ont le pouvoir abîment le monde.
Il y a quelque chose à reconstruire ! »…

LES AUTEURS

Chloé Olivier :
– Etudes de psychologie, d’ergothérapie et d’art-thérapie 
– Etude de podologie.
Expériences:
– Monitrice auprès d’IMC et trisomique.(pendant 6 ans)
– Juge assesseur au tribunal d’enfants.(pendant 6 ans )
– Pédicure/Podologue(pendant 25 ans
– université de psychologie (Lyon)
– Ergothérapeute (pendant 2 ans)
– Art-thérapeute par la peinture  (Pendant 4 ans)
– Peintre-décoratrice.
– Auteur
– Conférencière sur la psychose.
– Membre de l’UNAFAM (Union Nationale des Familles ou Amis de personnes avec une difficulté  psychique )
– A été présidente d’association d’aide aux enfants en difficulté.
– A participé  et organisé un congrès sur la psychose.
– A participé à de nombreux congrès avec des psychiatres, psychanalystes  et psychologues internationaux :  Dr JM Mantel psychiatre(France), Dr Willimier psychiatre(Suisse), Dr Danielle Bergeron psychiatre psychanalyste (Québec), Lucie Cantin psychanalyste (Québec), Dr Daniel Chevassut (France), Willy Apollon Dr en philosophie Québec,  Dr Peter Fennec philosophe (Australie), Dr Françoise Jauffrin Psychiatre(france), Dr Jacques Vigne psychiatre france et Inde)
– Plus de 40 ans d’expérience dans la problématique psychique.
Toutes ces différentes expériences ont un même sens, à savoir comment aider au mieux les personnes en souffrance psychique.  Notamment par la création artistique.
Travail  de recherche avec des chercheurs et des soignants.

Allan Olivier :
– Psychothérapeute 
– Morphologue
– A travaillé en PJJ
– Président adjoint à l’UNAFAM( Union Nationale des Familles ou Amis de personnes avec une difficulté  psychique )
– A participé à de nombreux congrès avec des psychiatres, psychanalyste  et psychologues internationaux (Dr JM Mantel psychiatre( France), Dr Willimier psychiatre(Suisse), Dr Danielle Bergeron psychiatre psychanalyste (Québec), Lucie Cantin psychanalyste (Québec), Dr Daniel Chevassut (France), Willy Apollon Dr en philosophie (Québec),  Dr Peter Fennec philosophe(Australie), Dr Françoise Jauffrin Psychiatre(France) Dr Jacques Vigne psychiatre (France et Inde).
– A participé  et organisé un congrès sur la psychose.
– A fait parti d’association d’aide aux enfants en difficulté psychique.

TABLE DES MATIÈRES

  • PROLOGUE
  • VOIR LA PSYCHOSE AUTREMENT
  • LA DÉRIVE… LE DIAGNOSTIC
  • LES MÉDICAMENTS, LES LABOS
  • CHANGEMENT DE COMPORTEMENT POUR MIEUX SOIGNER
  • REMETTEZ L’AUTORITÉ EN QUESTION  ET VOUS SEREZ TRAITÉ DE FOU
  • L’EXCLUSION DES JEUNES
  • LA VIE EST BIZARRE !
  • LA RÉABILITATION
  • UNE SPIRALE INFERNALE
  • CRISE D’ADOLESCENCE
  • LES ATTITUDES DICTATORIALES
  • ÉVOLUTION DES CONSCIENCES
  • COMMENT DIRE L’INEXPRIMABLE
  • COMMENT RECONSTRUIRE
  • L’IMPORTANCE DU TEMOIGNAGE
  • UN AUTRE REGARD
  • UN CHANGEMENT DE MENTALITÉ EST NÉCESSAIRE
  • BIBLIOGRAPHIE

DÉTAILS

Disponible sur commande en Librairie
Distribué par Hachette Livre
Titre: Psy-causes – Psychiatrie – Plaidoyer pour une autre approche
Auteurs: Chloé et Allan Olivier
Prix: 23 Euros
Nombre de pages: 388 pages
ISBN 978-2-310-02283-5

Communication – Relations presse :
Mélanie Protopapa
Tel: 02 40 84 72 61
Email: melanie@editions-amalthee.com


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15e Exposition annuelle Vincent et moi (Art & Psychiatrie)

15e
EXPOSITION
ANNUELLE
Vincent et moi

Du 18 au 27 septembre 2015

C’est avec beaucoup de fierté que le programme d’accompagnement artistique et d’intégration socioprofessionnelle Vincent et moi présente sa 15e exposition annuelle.

Les artistes, aux prises avec la maladie mentale, présentent un événement artistique d’exception, une cinquantaine d’œuvres, encres, acrylique, aquarelle et objets tridimensionnels, sélectionnées par un jury d’experts en arts visuels sous la présidence de Pedro Pires, cinéaste et réalisateur.

Vernissage

Le jeudi 17 septembre de 17 h à 19 h
Où : Salle Marie-Renouard (J-1617)
CIUSSS de la Capitale-Nationale
Institut universitaire en santé mentale de Québec
2601, chemin de la Canardière
Québec (Québec), G1J 2G3

Exposition

Du 18 au 27 septembre
Lundi au jeudi : de 12 h à 17 h
Vendredi au dimanche : de 13 h à 20 h
Entrée libre

Artistes exposants:

BELLEAU, Denis, BELLEFEUILLE, Diane, BOUFFARD, David, BOURQUE, Mireille, CARON, Fernande, CLOUTIER, Hélène, FORTIN, Josée, GENEST ROUILLIER, Benoit, GODIN, Odette, Houde, Suzie, JOLIVET, Richard, LABBÉ, Karine, LABRIE, Karine, LEMAY, Lucie, NOEL, Marie, OTTAWAY, Jennifer, PAQUET, Martine, PICHÉ, Edouard, ROBERT, Hugues, SANNA,  Enrico, SIBOMANA-BOUCHARD, Éliane, TREMBLAY, Daniel, VALLÉE, Johanne, VIGNEAULT, Marc Émile, WARREN, Ann, WATTERS, Christian

L’événement s’inscrit dans Les Journées de la culture. Pour l’occasion, plusieurs artistes seront sur place pour accueillir et discuter avec les visiteurs.

Vincent et moi

Depuis sa fondation, Vincent et moi a accompagné près de 200 artistes vivant avec une maladie mentale dans leur cheminement en arts visuels grâce à un soutien humain et la fourniture de matériel artistique; constitué une collection d’oeuvres d’art originales qui compte actuellement plus de 800 oeuvres; élaboré un système de prêt d’oeuvres d’art, a accueilli plus de 13 000 visiteurs, seulement pour les expositions annuelles, et présenté plus d’une centaine d’expositions à Québec, Montmagny, Montréal, Ottawa, Vancouver et Paris.

Le programme a aussi a reçu plusieurs prix et mentions pour la qualité de ses services, a été finaliste au prix d’excellence du ministère de la Santé et des Services sociaux, catégorie Soins et services, et désigné Pratique exemplaire par Agrément Canada en 2009 et Bons coups par l’Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux en 2014.

Renseignements
418 663-5000 p. 6440
Email – vincentetmoi@institutsmq.qc.ca


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