Les Sifflets Enthéosoniques

« Les Sifflets Enthéosoniques ; Une Investigation au Sein des Civilisations Précolombiennes, du Son, du Chamanisme et de la Nature de l’Unité »

Par Denis Casarsa

SOMMAIRE

« Le sens de l’univers peut-il être glané par l’expérience des sifflets péruviens enthéosoniques ? L’auteur Denis Casarsa partage une note enthousiaste d’optimisme dans un travail absorbant, qui expose les merveilles de ces outils précolombiens de la conscience, des instruments dont les accords particuliers se rencontrent pour s’unir et révéler une nature spirituelle immanente.

Les Sifflets Enthéosoniques, Une Investigation au Sein des Civilisations Précolombiennes, du Son, du Chamanisme et de la Nature de l’Unité offre un aperçu sans précédent sur la façon dont sifflets péruviens sont en mesure de révéler par le son ce que nos mots ne peuvent exprimer de la nature même de l’existence.

Ce travail rare et résonnant partage avec nous la façon dont les harmoniques créés par ces instruments recèlent en eux un potentiel pour la paix et le bien-être dans nos vies quotidiennes. Avec des détails captivants et une perspective aigue, cet ouvrage très instructif ouvre la voie des possibilités infinies qui sont en nous, qui peuvent être réalisées en ouvrant notre conscience à cette expérience mystique et chamanique. »

L’AUTEUR

C’est en 1995 que Denis Casarsa rencontre pour la première fois les Sifflets Péruviens lors d’une formation en hypnothérapie clinique et Ericksonienne à l’Institut Esalen de Californie.

Déjà engagé dans le long processus d’une psychothérapie analytique Jungienne, il s’investit dans une étude étendue de la psychologie, académique et classique tout d’abord à l’Université de Lausanne en Suisse, puis Transpersonnelle auprès de l’Institut de Psychologie Transpersonnelle de Palo Alto en Californie. En portant un intérêt particulier sur les modalités de modification et de transformation de la conscience, il étudia l’hypnose et ses applications thérapeutiques dans une formation continue en psychothérapies appliquées.

À la recherche d’un plus grand équilibre interne, il découvre les techniques de méditation orientales et l’enseignement du Bouddha par la pratique de Vipassana. Tout en parcourant le monde en étudiant la dimension spirituelle du comportement humain, il mena une étude de terrain du chamanisme en Amérique du Sud et du Nord, en Europe et en Asie, du Bouddhisme originel, en se formant professionnellement en Inde en sciences de l’esprit et des phénomènes Indo-Tibétaines, dans le paradigme de l’Unité dans la Dualité.

Inspiré par une vision et une compréhension unitives de l’humain et de son milieu, par une rencontre de l’Orient et de l’Occident, Denis conçoit sa démarche comme une opportunité d’apporter la paix, la force, l’harmonie et la compréhension au sein de nos multiples dimensions: physiques, conceptuelles, émotionnelles, intuitives ou spirituelles.

Depuis une quinzaine d’années il partage des sessions de sifflets communicants péruviens, assista à leur fabrication, affinant sa compréhension et son expérience des dimensions subtiles auxquelles nous ouvre l’expérience unique de ces instruments.

Denis Casarsa peut être contacté par son site internet de développement de soi, de coaching, d’hypnose et de psychothérapie, tout comme par celui dédié aux Sifflets Péruviens Enthéosoniques.

INTRODUCTION

« Il y a de cela plusieurs millénaires, dans la partie centrale du Pérou, préexistait une connaissance du son qui ne trouve de nos jours nul équivalent. Les anciens Péruviens avaient développé un artisanat, que nous appellerions aujourd’hui une technologie du son et de son utilisation, pour des propos rituels et spirituels. Mais cette ancienne connaissance, les circonstances et les raisons exactes de l’utilisation de ces sifflets, malgré une multitude de recherches archéologiques et scientifiques, ne demeurent encore aujourd’hui que de simples suppositions. Nous vous proposons dans cet ouvrage de passer en revue certains aspects de cette ancienne connaissance et des domaines qui lui sont associés. La description des sifflets et de leur effet sur la conscience, la nature de ce qui est engendré par un groupe de participants à une session avec ces instruments, nous conduira à parler de leur origine, de leur usage supposé au sein de ces anciennes cultures précolombiennes. La mythologie et les croyances des précolombiens sont assurément d’un autre âge, mais la relation étroite que ces cultures entretenaient avec les forces de la nature relève d’une grande valeur pour l’être humain d’aujourd’hui. Non pas qu’il faille s’adonner à quelques cultes de la nature élémentale, mais plutôt en reconnaissant la nature comme l’essence même de la vie.

Les sifflets péruviens sont des instruments accordés sur des fréquences correspondant à l’évolution actuelle de notre humanité, au jour d’aujourd’hui. Difficile de parler de cette expérience et de la caractériser, de la définir bien qu’elle représente sans aucun doute et pour chacun quelque chose d’inhabituel et d’exceptionnel !

Aucun discours ni aucune considération théorique, ne parvient vraiment à en rendre compte, un vécu auquel ce texte est avant tout une invitation. Ce que l’on peut ressentir est évidemment variable d’un individu à l’autre, en étant propre à la sensibilité et à la réceptivité de chacun, au moment de la session et à un nombre considérable d’autres facteurs qui peuvent influencer son déroulement. Il peut être utile de ritualiser ce temps d’ouverture dans le sens d’un respect à ce qui dépasse une compréhension linéaire, logique et intellectuelle. Un lieu dans lequel l’on se sent bien, en plein air ou à l’intérieur, dans lequel chacun peut se détendre pour passer un moment agréable, est bienvenu.

Les sons produits par les sifflets facilitent une modification naturelle de la conscience. Les sifflets sont des véhicules qui nous conduisent naturellement et sans effort à la réalisation de la vastitude de notre manifestation, à une prise de conscience de nos paysages intérieurs, à la création de champs de cohérence globale. Les vases communicants enthéosoniques facilitent la transcendance d’une certaine modalité perceptive, la suspension temporaire de la pensée discursive, du mental. Ils favorisent ainsi la découverte de l’esprit, en induisant une expérience psycho acoustique d’un type très particulier mais qui demeure finalement très simple.

Les harmoniques produits par ces sifflets naissent de leur accord particulier. Ces sons et harmoniques induisent une légère modification passagère de l’état de notre conscience habituelle, un relâchement existentiel, un ressourcement au-delà du mental et de la conceptualisation. C’est une expérience insolite, unique et bénéfique, tant par ces qualités acoustiques que spirituelles, qui se pratique en petits groupes. Nous évoquerons aussi plus en détails cette expérience particulière, l’extase et ses caractéristiques.

La conscience humaine évolue, la fabrication des sifflets, les tonalités et les fréquences produites tout autant. Nous parlerons d’études scientifiques modernes conduites sur ces instruments et des effets physiologiques du son sur la conscience, de quelle manière nous pouvons profiter au mieux de cette expérience. L’histoire du son, de son utilisation et de sa signification dans la culture humaine est gigantesque. Nous parlerons de sa sapience ésotérique tout autant que des recherches modernes sur la conscience et sa modification par le medium sonore.

Figurés sur la face frontale des sifflets communicants péruviens, l’on trouve les quatre éléments primordiaux, de la terre, de l’eau, de l’air et du feu. Nous examinerons ce que les éléments signifient au sein de l’alchimie, de l’Hermétisme, et de la Magie Initiatique, à quoi ils correspondent, en évoquant les corps subtils de l’homme, ses relations avec la conscience et la spiritualité, l’évolution de notre humanité.

Les vases communicants enthéosoniques étant des instruments chamaniques, nous tenterons de définir cette ancienne connaissance humaine et ses spécificités, tout en conservant une vision élargie sur les fondements psychologiques et mythologiques de la psyché. Nous parlerons donc aussi un peu de psychologie, et surtout de quelle manière la créativité inhérente à nos réalités peut nous aider à mieux découvrir ce que nous sommes fondamentalement. Puis, nous terminerons cet étude par évoquer la nature de l’expérience non duelle ou spirituelle.

Ce traité et la recherche dont il rend compte sont le produit d’une expérience individuelle s’étendant sur plus de quinze ans avec les vases communicants péruviens. Il fut surtout écrit dans le but de faire connaître ces instruments remarquables, tout en pouvant également être pour vous tel qu’il l’a été pour moi, une introduction à des thèmes que l’on rencontre au sein de l’ésotérisme, science de la conscience et connaissance cachée. Il est bien sûr évident qu’étant donné la vastitude et la complexité des sujets traités, ce texte est le résultat d’un parti pris quant à la diversité des sources biographiques. Il fut aussi inspiré par un dicton répandu dans d’anciennes cultures humaines, disant qu’une médecine, qu’un cadeau magique avec un potentiel spirituel ne peut devenir efficace pour ceux qui le reçoivent, que si ces origines sont souvenues, répétées, récitées, ou rituellement reconstituées.

Il relève aussi ce défi, de traduire et de donner une forme, de rendre compte d’un vécu dont l’essence se situe au-delà du niveau verbal du langage, d’une sphère conceptuelle nécessaire et inéluctable, mais qui nous limite généralement dans notre appréhension d’une plus vaste réalité. Le mental, notre perception conceptuelle de la réalité se révèle d’ailleurs tout à fait accessoire et réducteur durant l’expérience des sifflets. Par l’expérience des sifflets communicants péruviens, nous avons accès à d’autres états d’être, à d’autres dimensions de la conscience, susceptibles d’être le moyen de réaliser individuellement ce que nous avons besoin de comprendre, nous permettant de nous approcher de ce point d’unité en soi comme en l’autre. C’est également en souhaitant que ce texte puisse inviter d’autres à cheminer sur cette voie d’unité réunissant les opposés qu’il fut écrit, en espérant qu’il saura adresser des domaines de notre expérience humaine que nous estimons significatifs pour le bien-être de nos collectivités, afin de mieux souligner notre unité essentielle et fondamentale.

Nous souhaitons remercier pour leur collaboration tous les amis des sifflets péruviens, participants de sessions, enseignants, maîtres spirituels de toutes traditions confondues, qui ont participé à l’élaboration de ce projet. Nous vous invitons à nous contacter pour vos questions sur ces instruments ou sur ce texte, et bien sûr pour en faire l’expérience. »

Denis Casarsa, Janvier 2014.

DÉTAILS

« Les Sifflets Enthéosoniques ; Une Investigation au Sein des Civilisations Précolombiennes, du Son, du Chamanisme et de la Nature de l’Unité »

Disponible dans toutes le bonnes librairies
EAN : 9781495938894
ISBN10 : 1495938891
Ouvrage de 184 pages avec 27 images en couleurs
Site Web: http://www.siffletsperuviens.com/


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Meilleurs voeux de Psycho-Ressources !

Psycho-Ressources vous souhaite de joyeuses fêtes 2014 !

Savourez de doux moments en compagnie de vos familles et de vos proches ! 

« Le temps est un grand maître, le malheur, c’est qu’il tue ses élèves. » Bouddha

Chaque année, à cette période, j’essaie de réfléchir à ce qui occupe le plus mes pensées et ma vie. Cette année, le « temps » me préoccupe. Sans doute est-ce la cinquantaine, mais le temps qui passe me fait réaliser que la vie est courte.

Il y a tant d’opportunités à saisir, tant d’expériences à réaliser. J’ai le sentiment que le temps va me manquer. Et puis, j’essaie d’apprendre de mes expériences passées, de ne pas reproduire certaines erreurs, de faire les bons choix. J’ai parfois l’impression d’être coincé entre la sagesse et l’urgence de vivre plus intensément le moment présent. Quels sont les projets qui pourraient me combler davantage ? Quelles sont les aventures qui pourraient donner plus de sens à ma vie? À bien y penser, je manque peut-être l’essentiel.

C’est pourquoi, en cette période des fêtes, je vous souhaite de profiter de chaque instant qui passe… De chaque moment en compagnie de vos proches… De chaque expérience offerte par la vie. Aussi banal qu’il puisse nous sembler, le moment présent ne reviendra pas. Dès qu’on le nomme, il est déjà du passé.

Je vous souhaite que l’expérience du moment présent vous comble de joie et de bonheur afin que lorsque vous regarderez derrière, vous ayez le sentiment d’une vie pleine et accomplie.

Très sincèrement,

Alain Rioux, Ph.D.
Gestionnaire de Psycho-Ressources


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Nancy Dubois, Psychothérapeute, Sexologue Clinicienne, Ste-Foy, Ca.

Bonjour,

Permettez-moi d’abord de me présenter. Ma formation de 3 ans en psychothérapie et ensuite en sexologie clinique s’ajoutent à une expérience de 15 ans en pédopsychiatrie comme conseillère d’orientation au CHUL. Ces domaines qui, à priori, peuvent sembler distincts, se recoupent intimement dans la pratique. L’être humain, dans toute sa complexité et son unicité, se distingue très peu lorsque vient le moment de parler de lui, de son parcours, de ses difficultés et de ses réussites.

Ces diverses formations me permettent de bien saisir les réalités que vit la personne et de l’accompagner sur la route de sa prise en charge.

En pratique privée, je concentre principalement mes services en psychothérapie (pour les difficultés d’ordre psychologique) et également en sexologie (pour les difficultés d’ordre relationnel et sexuel). Je peux également aborder le thème de l’orientation professionnelle et scolaire au besoin.

Puisque la thérapie représente un geste d’engagement envers vous-même, il importe que le ou la professionnel(le) avec qui vous souhaitez partager ce geste soit en mesure de bien vous accueillir et de vous guider adéquatement. Prenez le temps de choisir en fonction de vos couleurs.
Et si vous envisagez la possibilité d’une rencontre, il me fera alors plaisir de vous ouvrir ma porte.

Bon cheminement !

Nancy Dubois, Psychothérapeute, Sexologue Clinicienne
Clinique médicale Le Campanile, Sainte-Foy, Québec, Canada
https://www.psycho-ressources.com/nancy-dubois.html


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Portrait de folies ordinaires – Petit guide de psychopathologie pour tous.

Portrait de folies ordinaires
Petit guide de psychopathologie pour tous.

de Sophia Ducceschi Judes

« Ce guide n’a pas de prétentions autres que celles d’informer, d’éclairer et de donner une image plus nette des différentes formes que peut revêtir la maladie psychique, de la plus atténuée à la plus sévère. Il peut en outre, tout simplement, parler à chacun d’entre nous parce que nous pouvons tous un jour être concernés de près ou de loin par cette question de la pathologie mentale. »

Un guide complet de psychopathologie

Guide de psychopathologie, outil de repérage et de reconnaisse des différentes maladies psychiques, cet ouvrage cherche à donner un aperçu de l’histoire de la psychopathologie comme de la clinique contemporaine. Il évoque également les multiples approches possibles en psychothérapie : humaniste, naturaliste et socio-psychologique. Les grands thèmes abordés concernent principalement le recueil des signes cliniques, les troubles névrotiques, les états délirants aigus et chroniques et enfin les notions de pharmacologie.

Une approche accessible de ce qu’on nomme « la folie »

Ce guide simple et a-théorique a pour objectif de familiariser le grand public avec la question complexe du trouble psychique. En dressant un tableau vivant et synthétique de la psychopathologie, il cherche à démystifier ce que nous sommes nombreux à nommer – un peu hâtivement – la folie. Dans les portraits dressés, où chacun d’entre nous se reconnaitra certainement un peu, les lecteurs pourront puiser les informations adaptées à leurs besoins.

Pour quel public ? Portrait de folies ordinaires s’adresse aux professionnels ou futurs professionnels amenés à traiter –de près ou de loin – les troubles mentaux, mais aussi aux proches, aux familles de malades atteints de troubles psychiques.

Biographie de l’auteur

Sophia Ducceschi Judes exerce à Paris en qualité de psychothérapeute-analyste depuis de nombreuses années, elle est aussi particulièrement investie dans le monde associatif : fondatrice et présidente d’une association luttant contre certaines formes d’addictions. Grâce à son expertise, Sophia Ducceschi propose une approche humaniste à la psychopathologie dont l’objectif est de déployer une description aussi claire qu’efficace.

ISBN : 978-2-343-04498-9 • 15 novembre 2014 • 258 pages

EXTRAIT – INTRODUCTION

 » L’objectif de ce petit guide est de déployer et d’observer le champ de la psychopathologie actuelle. Sa forme est essentiellement descriptive car il se veut être un outil de repérage, simple à utiliser et accessible à un large public.

C’est un constat d’état de fait qui aura atteint son but s’il donne l’envie d’approfondir telle ou telle partie et s’il éclaire ne serait-ce qu’un peu le vaste domaine des signes cliniques de chaque entité reconnue comme perturbation mentale.

Il est à noter que seuls les troubles psychiques sont traités dans cet ouvrage. Il n’y est pas question des maladies d’origine somatique. Toutes les pathologies neurologiques (épilepsie, Alzheimer, A.V.C., Parkinson, Syndrome de Korsakoff…), provoquant des perturbations mentales graves pouvant aller jusqu’à la démence, n’y sont pas évoquées. Quelques allusions y sont cependant faites dans le chapitre VI qui traite des notions de pharmacologie.

De même, ce guide n’a pas de prétentions autres que celles d’informer, d’éclairer et de donner une image plus nette des différentes formes que peut revêtir la maladie psychique, de la plus atténuée à la plus sévère. Les pages suivantes doivent renseigner et donner une vision d’ensemble.

Il est, autant que possible, libre de toute influence théorique. Cependant, quelques passages renvoient inévitablement à la théorie psychanalytique. Il était impossible d’échapper à cet écueil mais peut-être cela donnera-t-il le goût, la curiosité pour en savoir plus sur cette approche humaniste qui est encore, dans la majorité des cas en France, liée à la pratique de la psychothérapie. La psychopathologie a été par le passé trop largement influencée par la psychanalyse pour ne pas y faire allusion aujourd’hui.
Mais bien sûr, les ponts qui sont faits ici avec la psychanalyse ne proposent que des notions et demandent à être développés et enrichis. Au risque de nous répéter, rappelons que ces chapitres se veulent neutres de toute influence théorique afin de rester dans le registre de la psychopathologie. Nous osons croire qu’ainsi, les cliniciens de différents courants pourront y trouver des repères. Nous avons tenté de trouver une sorte de langage commun à toutes les approches psychopathologiques.

En effet, même si elle n’est pas pratiquée dans sa totale orthodoxie, la psychanalyse inspire aujourd’hui de nombreuses pratiques psychothérapeutiques. Elle n’est cependant pas la seule à offrir des opportunités de soins. C’est pourquoi nous avons choisi des lignes athéoriques, afin de ne priver aucun courant de ses apports potentiels dans le panel des accompagnements.

Après quelques mots sur l’histoire de cette science qu’est la psychopathologie, nous parlerons des différentes approches possibles et des différents points de vue selon lesquels ces approches s’expriment. Nous nous excusons par avance auprès des thérapeutes chevronnés dans ces différents courants. La présentation de leur outil de pratique pourra leur sembler bien succincte et incomplète. C’est exact ! Cependant, notre but n’est pas d’expliquer chaque approche en détail mais bien de citer leur existence et leur efficience actuelles dans le domaine de la psychothérapie. Chacun ira donc plus avant pour découvrir en détail le ou les courants pour lesquels il éprouve de l’intérêt.

Nous aborderons ensuite la vaste question de la sémiologie. Nous listerons les différents domaines d’évaluation et pour chacun d’entre eux, les signes cliniques à observer lors des consultations. Ces éléments sont primordiaux et particulièrement riches d’enseignement. L’ensemble de ces indices va constituer le filtre par lequel les diagnostics vont pouvoir se proposer à nous mais aussi celui par lequel les diagnostics différentiels vont se construire.

Eléments primordiaux que chaque thérapeute devrait maîtriser sans hésitation !

Nous ferons ensuite état des différents troubles névrotiques et passerons en revue les différentes névroses et leur cohorte de symptômes.

Nous avons rattaché chacune des entités pathologiques à sa codification dans le DSM IV (DSM : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux). Cela permet d’expliquer sommairement au lecteur comment se repérer dans cet ouvrage de classification parfois considéré comme difficile d’emploi. Cette codification n’est là que pour simple information et créera une sorte d’entraînement pour l’utilisation du DSM.

Si nous ne pouvions pas totalement écarter l’approche psychanalytique, si chère à la France, nous ne pouvions pas non plus faire fi d’une approche a théorique de la psychopathologie, approche très usitée dans l’ensemble des pays anglo-saxons.

Enfin, nous avons également fait des propositions relatives au diagnostic différentiel dès que cela s’avérait nécessaire.

Nous continuerons par un chapitre sur les psychoses. Celui-ci mérite une brève précision : nous avons inclus dans ce chapitre et dans le tableau récapitulatif des différentes psychoses, la psychose maniaco-dépressive.

C’est un choix délibéré et personnel. Certains seront d’accord, d’autres moins !

En effet, cette psychose est en voie de disparition dans le DSM V, sur le point d’être publié en France. Elle disparaît progressivement au profit des « Troubles de l’humeur », « Troubles bipolaires ou unipolaires ».

Il nous semble tout de même que la clinique nous prouve encore régulièrement combien cette psychose reste caractéristique et à quel point elle mérite toujours sa place parmi les grandes entités pathologiques. La psychiatrie ne commettrait-elle pas l’erreur de confondre les fragilités, les instabilités thymiques, – certes présentes dans notre clinique contemporaine –, avec l’expression extrême de cette structure psychotique ? Celles et ceux qui reçoivent des patients concernés ne peuvent plus confondre un trouble bipolaire avec une psychose maniaco-dépressive ! Nous avons donc fait le choix de parler ici de cette psychose à l’ancienne plutôt que de la faire disparaître dans le flou de la notion de troubles.

Nous poursuivrons notre travail par un chapitre rassemblant les autres entités psychopathologiques car nous constatons combien ces manifestations astructurelles sont nombreuses à s’exprimer aujourd’hui dans nos cabinets. On pourrait presque se demander si nous ne sommes pas à l’orée d’une réorganisation de la clinique tant ce type de perturbations devient monnaie courante pour les professionnels de l’écoute. Mais qu’ont-elles de particulier, ces configurations psychiques de plus en plus présentes ? Elles viennent déranger l’ordre établi car elles se déploient et s’intercalent entre les trois types de structures connues – et reconnues – à savoir la psychose, la névrose et la perversion.

Mais nous entrerions là dans un autre débat, plus vaste encore que celui qui est bien circonscrit dans ce livre. Nous y reviendrons rapidement lors de notre conclusion.

Retenons pour la bonne compréhension de cet outil de repérage qu’il existe une zone intermédiaire (ni psychose, ni névrose, ni perversion) où peuvent éclore des pathologies en trompe-l’œil (on peut trouver des manifestations ou des défenses psychotiques chez une personne de structure névrotique, par exemple). Ceci soulève la question d’une éventuelle quatrième organisation psychique. Mais là encore, c’est un risque personnel qui est pris… À chacun d’y réfléchir à la lumière de sa pratique et de sa curiosité.

Le chapitre VI nous mènera dans le labyrinthe de la pharmacologie. Il n’est pas nécessaire d’aller plus avant sur le terrain de la médecine mais comprendre et saisir pleinement la signification d’une prise de tel ou tel médicament par nos patients est primordial. Quelques notions sont donc présentées, à nouveau de façon descriptive et dans un souci d’éclaircissement.

Le chapitre VII tentera de rassembler les informations ci-dessus et de justifier leur cohérence par l’intermédiaire de trois vignettes cliniques.

C’est certainement l’une des parties les plus attendues de cet ouvrage mais une attention maximale doit avoir été apportée à ce qui précède afin que les vignettes cliniques prennent tout leur sens.

Avant de conclure, nous dirons quelques mots sur le concept de structure et sur l’approche psychanalytique mise à l’écart de ce petit guide, par souci de clarté pour ceux qui n’auraient pas fait le choix de cette orientation théorique. »

Éditions de l’Harmattan:
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=44991 

Site de l’auteur:
http://www.sophia-ducceschi-judes-auteur.fr/


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Et si l’homme n’était plus un mouton…

Et si l’homme n’était plus un mouton.
La santé dans tous ces états

Erick Dietrich & Angélique Veillard
Éditions Alexandra de Saint-Prix

Sommaire

Angélique Veillard et le docteur Erick Dietrich ont mis en commun leur expérience pour mener une investigation sur le monde de la censure, de la thérapie et de la diabolisation qui l’entoure. Ils vont montrer que les thérapies ne sont pas là pour « guérir », qu’il n’existe pas de « baguette magique ». Ils vont remettre en cause l’influence mystifiée du passé, de la société et de ses lois « folles » sur la santé des êtres humains, dans une Europe où la répression et l’utilisation de la peur est le point central de nos nouvelles démocraties. Au fil des pages, en décryptant l’influence du passé, l’impact des médias et des normes socioculturelles sur l’être humain, les symptômes et leurs origines, les auteurs vous amèneront à comprendre la folie du monde qui vous entoure et en quoi celle-ci peut s’avérer nuisible pour la santé.

Après une comédie osant remettre en cause le petit monde des thérapeutes et autres marchands de rêves, Angélique Veillard et Erick Dietrich vont vous aider à découvrir que nul ne détient la vérité et l’art de guérir mais qu’il vous est possible de comprendre et percer les mystères de votre mal-être et surtout de trouver la clé pour tenter d’atteindre le bonheur et l’harmonie. Un fabuleux point de départ pour se réconcilier avec soi. Dans cet ouvrage, les auteurs exhortent chacun de nous à devenir « dissident » pour que l’homme ne soit plus un mouton pour l’homme !

Un extrait

« L’homme doit se découvrir pour se comprendre, se poser à distance de lui-même et s’étudier. »

« Depuis des années, une répression morale et psychique s’est sournoisement installée. Au nom des bonnes moeurs, de la morale, du protectionnisme d’État ou du politiquement correct, notre liberté de pensée, de parole et d’opinion est de plus en plus asservie. »

Les auteurs

Angélique Veillard est sexothérapeute, thérapeute analyste & psychosomatoanalyste (thérapies multiréférentielles, psychanalytiques et corporelles). Elle est directrice, formatrice et superviseuse de l’École Francophone de Thérapies et de Coaching. Elle est diplômée en sexologie clinique et en sexothérapie. Elle est née le 23 février 1975, est connue depuis des années pour ses recherches et ses nombreuses publications, dont un livre sur l’inceste L’Interdit Universel, du Mythe à la Réalité, l’Inceste dans tous ses états en 2013.

Connue également pour ses collaborations dans le livre Un Divan dans la Tête du Dr Dietrich, au Québec en 2011 et dans la comédie Nous avons Dieu en Thérapie coécrite avec le Dr Erick Dietrich, aussi en 2011.

Angélique Veillard est membre de Psycho-Ressources:
https://www.psycho-ressources.com/sexologue/paris/angelique-veillard.html

Le Docteur Erick Dietrich est un thérapeute avant-gardiste né le 18 mai 1955 à Alger. Il est diplômé de la faculté de médecine de Lille, lauréat de l’institut de sexologie de Paris, diplômé de l’université de Rennes en sexologie clinique, directeur de recherche et d’enseignement au département de l’École Francophone de Thérapies et de Coaching. Sexologue et psychothérapeute agréé par l’ARS, il a aussi été formé au Centre International des Sciences Criminelles et Pénales.
Il est moniteur de plongée et médecin fédéral, skipper et a écrit de nombreux ouvrages.

Erick Dietrich  est membre de Psycho-Ressources:
https://www.psycho-ressources.com/erick-dietrich.html


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L’homme est né pour trahir son destin. (Paolo Coelho)

image-nuages-crica-libBiographie

Paulo Coelho est né à Rio de Janeiro, d’un père ingénieur appartenant à la classe moyenne brésilienne. Il fréquente l’école jésuite de San Ignacio. Ses parents le veulent ingénieur, Paulo aime le théâtre. Quand il annonce à sa mère qu’il souhaite devenir écrivain, sa mère lui répond : « Mon chéri, ton père est un ingénieur. C’est un homme raisonnable et logique avec une vision très nette du monde. Sais-tu exactement ce qu’est un écrivain ? ». Après quelques recherches, Paulo découvre qu’un écrivain « porte toujours des lunettes et ne se coiffe jamais » et a le devoir « de ne jamais être compris par sa génération ».

Les livres de Coelho sont des romans à tendance philosophique abordant la spiritualité, à la manière d’un vaste conte. Une spiritualité syncrétique, qui méconnaît les orthodoxies, empruntant à des traditions très diverses, et parfois contradictoires : religions, courants philosophiques, mysticisme, spiritisme, méditation, surnaturel, ésotérisme, etc. Le style fluide et direct, aisé à traduire, et la trame simple des récits ont permis à Coelho de toucher un très vaste lectorat, dans toutes les cultures.

Extrait de Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Paulo_Coelho

Sa plus grande oeuvre: L’Alchimiste

L’Alchimiste est un conte philosophique de Paulo Coelho paru en 1988. La traduction française, signée Jean Orecchioni, a été publiée en 1994.

La légende qui est à la source de cet ouvrage est celle du fondateur d’une synagogue de Cracovie : Isaac Jakubowicz. Le roman est basé sur une nouvelle de Jorge Luis Borges, Le Conte des deux rêveurs.

Le héros de ce court roman est un jeune berger espagnol, Santiago. Lors d’un voyage qui le conduit d’Andalousie aux Pyramides d’Égypte, en passant par Tanger et le désert du Sahara, il découvre sa « légende personnelle » grâce à l’aide d’un roi et d’un alchimiste.

Cette légende personnelle est le projet particulier et favorable dont nous sommes tous porteurs et dont l’accomplissement dépend de notre capacité à retrouver nos envies profondes : « Si vous écoutez votre cœur, vous savez précisément ce que vous avez à faire sur terre. Enfant, nous avons tous su. Mais parce que nous avons peur d’être désappointé, peur de ne pas réussir à réaliser notre rêve, nous n’écoutons plus notre cœur. Ceci dit, il est normal de nous éloigner à un moment ou à un autre de notre « Légende Personnelle ». Ce n’est pas grave car, à plusieurs reprises, la vie nous donne la possibilité de recoller à cette trajectoire idéale1. »

L’Alchimiste, qui a fait connaître Paulo Coelho du grand public, au Brésil puis en Europe, est devenu un bestseller mondial vendu à plus de 65 millions d’exemplaires, en 56 langues.

Extrait de Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/L’Alchimiste

Quelques citations

Quand un homme marche vers son destion, il est bien souvent forcé de changer de direction.

Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise.

Les rêves donnent du travail.

En ce moment, beaucoup de gens ont renoncé à vivre. Ils ne s’ennuient pas, ils ne pleurent pas, ils se contentent d’attendre que le temps passe. Ils n’ont pas accepté les défis de la vie et elle ne les défie plus.

Quand on veut une chose, tout l’Univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve.

J’ai appris depuis longtemps que, pour soigner mes blessures, je devais avoir le courage de les regarder en face.

On ne peut se fier à un homme si l’on ne connaît pas la maison qu’il habite.

Qu’est-ce qu’un prophète ? C’est un homme qui écoute encore les voix qu’il entendait lorsqu’il était enfant et qui croit toujours en elles.

Même la plus grande sagesse peut être occultée par l’éclat de la vanité.

Dieu peut tout. S’il se limitait à faire ce que nous appelons le Bien, nous ne pourrions pas le nommer Tout-Puissant.

L’homme a rarement le pouvoir de prendre une décision.

Toutes les batailles de la vie nous enseignent quelque chose, même celles que nous perdons.

La peur va jusqu’où commence l’inévitable ; dès lors, elle n’a plus de sens.

Tout le monde peut écrire ce qu’il veut ; mais personne ne parvient à se souvenir de choses qui n’ont jamais existé.

L’homme est né pour trahir son destin.

Un homme doit choisir. En cela réside sa force : le pouvoir de ses décisions.

Les hommes rêvent du retour plus que du départ.

Lorsque l’on tarde pour la cueillette, les fruits pourrissent. Mais quand on repousse les problèmes, ils ne cessent de croître.

Une quête commence toujours par la chance du débutant. Et s’achève toujours par l’épreuve du conquérant.

Tout homme a le droit de douter de sa tâche et d’y faillir de temps en temps. La seule chose qu’il ne puisse faire, c’est l’oublier.

Tout le monde est faible devant la souffrance.

La meilleure manière de connaître et de détruire un ennemi, c’est de feindre de devenir son ami.

Le courage est la peur qui fait ses prières.

Personne ne peut fuir son coeur. C’est pourquoi il vaut mieux écouter ce qu’il dit.

Ce qui noie quelqu’un, ce n’est pas le plongeon, mais le fait de rester sous l’eau.

Seule l’explosion intérieure permet de briller.

Un peu de folie est nécessaire pour faire un pas de plus.

La coupe des souffrances n’a pas la même taille pour tout le monde.

Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.

Le futur a été créé pour être changé.

L’heure la plus sombre est celle qui vient juste avant le lever du soleil.

Si tu ne veux pas t’attirer d’ennuis, partage toujours la responsabilité.

La folie, c’est l’incapacité de communiquer ses idées.

Avez-vous jamais rencontré quelqu’un qui se soit demandé pourquoi les aiguilles d’une horloge tournent dans un sens, et non dans le sens contraire ?

La conscience de la mort nous incite à vivre davantage.

Les gens ont toujours tendance à vouloir aider les autres, uniquement pour se sentir meilleurs qu’ils ne sont en réalité.

Rien dans ce monde n’arrive par hasard.

La seule utilité réelle de la cravate, c’est qu’on la retire, sitôt rentré chez soi, pour se donner l’impression d’être libéré de quelque chose, mais on ne sait pas de quoi.

Nous sommes tous fous d’une façon ou d’une autre.

L’être humain ne s’offre le luxe d’être fou que lorsque les conditions sont favorables.


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Exemples d’intégration transgénérationnelle

Exemples d’intégration transgénérationnelle
Ouvrage collectif multidisciplinaire

Par Thierry Gaillard et coll. 

Ce livre innove dans la littérature « psy ». Pour la première fois, des spécialistes reconnus, venus de multiples écoles, partagent leurs expériences thérapeutiques autour du « transgénérationnel ». Ils présentent chacun une ou plusieurs thérapies où la prise en compte du transgénérationnel fut déterminante. Ces exemples permettent au grand public de se familiariser avec cette approche, et aux professionnels d’entrer dans le vif du sujet : l’apport du transgénérationnel en thérapie. 
 
Un nombre croissant d’écoles thérapeutiques reconnaissent, aujourd’hui, l’importance de ce qui se transmet entre les générations : le « transgénérationnel ». En effet, les problèmes non résolus que nous héritons inconsciemment de nos aïeux ont une influence parfois déterminante sur nos propres vies.

Cet ouvrage va à l’essentiel : le travail thérapeutique. Au-delà de leurs différences, les thérapeutes attentifs aux dynamiques transgénérationnelles partagent un même esprit de recherche qui vise à distinguer la forme du fond, à décrypter, derrière les apparences, ces histoires non terminées qui se rejouent sur plusieurs générations. Le travail thérapeutique permet d’intégrer ces héritages que nos parents auront, parfois aussi, eux-mêmes reçus de leurs aïeux. En plus de libérer le présent de ce passé qui l’encombre, ce genre de travail conduit à une meilleure connaissance de soi.

Les exemples de thérapie présentés dans cet ouvrage permettront au grand public de se familiariser avec le « transgénérationnel ». Les professionnels de la branche trouveront, pour leur part, de nouvelles et précieuses références ainsi qu’un éventail multidisciplinaire enrichissant.

Les auteurs

Elisabeth Darchis est spécialisée en psychanalyse familiale périnatale, enseignante aux Universités de Paris X Ouest Nanterre et Paris VII Diderot.
Salomon Sellam est médecin, psychothérapeute psycho-somaticien.
Florentina Keller est consultante, psychogénéalogiste et coach.
Pierre Ramaut est psychanalyste transgénérationnel.
Juliette Allais est psycho-praticienne spécialisée en analyse transgénérationnelle et jungienne.
Frédéric Godart est psychanalyste.
Thierry Gaillard est psychanalyste et consultant.

(148 pages , Ecodition 2104 , ISBN 978-2-940540-08-2)

Tous les détails:
http://www.ecodition.net/livre/exemples-dintegration-transgenerationnelle/

EXTRAIT

À notre naissance, chacun de nous rencontre un monde bien particulier, avec ses caractéristiques du moment, matérielles, psychologiques, familiales et culturelles. À cet instant, nous nous inscrivons dans une histoire commencée longtemps avant nous et qui se poursuivra bien au-delà de notre propre vie.

Comme le dit un proverbe chinois, « une génération plante des arbres à l’ombre desquels une autre génération se repose ». Mais si nos ancêtres nous transmettent le bénéfice de leurs efforts, ils nous laissent également le soin d’achever les tâches qu’ils n’auront pas terminées ainsi que les problèmes qu’ils n’auront pas résolus. Nous recevons en effet aussi l’envers de la médaille, un lot d’histoires inachevées et de vécus non intégrés susceptibles de conditionner nos propres destinées. Et, à moins d’être les enfants d’une lignée de parents parfaits, épanouis sur tous les plans, et dans une société qui ne serait pas moins parfaite, nous héritons tous, à la naissance, des histoires non terminées que nos aïeux auront refoulées, déniées, ou encore oubliées. Les analyses transgénérationnelles portent sur ces héritages, conscients et inconscients, pour les intégrer et en tirer le meilleur parti.

L’émergence du « transgénérationnel » dans divers courants thérapeutiques contemporains, ainsi qu’en épigénétique, laisse entendre qu’il existe un dénominateur commun indépendant de ce qui différencie ces disciplines. Or les phénomènes transgénérationnels et leurs lois étaient déjà connus dans l’antiquité et nous en avons de nombreux témoignages historiques. La mise en évidence du transgénérationnel n’est donc pas une découverte contemporaine. Il s’agit plutôt d’une redécouverte que d’une avancée inédite à mettre au crédit des sciences modernes. Le « transgénérationnel » n’est pas une de ces nouveautés qui ne dure que le temps d’une mode et dont on pourrait faire l’économie. Cette fois il s’agit d’autre chose, appelée à s’approfondir, permettant de résoudre quantité de difficultés dont les causes étaient jusqu’ici incomprises.

L’héritage des Anciens

Pour nous approcher d’un dénominateur commun, et donc de l’essentiel, il est utile d’élargir nos références et d’avoir une perspective multidisciplinaire. Derrière les différences qui caractérisent les écoles thérapeutiques nous retrouvons des connaissances ancestrales communes. Que pourraient-elles nous apprendre qui nous éviterait de tout devoir recommencer ? Nos ancêtres ne nous ont-ils pas laissé des enseignements que nous pourrions nous réapproprier ? La psychothérapie et la psychologie (dont l’étymologie signifie « science de l’âme »), seraient-elles les seules disciplines qui n’auraient presque plus de liens explicites avec les sagesses anciennes et les savoirs traditionnels ? Il serait peut-être temps de reconsidérer cet héritage à sa juste valeur. Face aux milliers d’années d’histoire des mathématiques, de l’astronomie, de la physique, de la médecine, de la philosophie, peut-on vraiment limiter la psychologie à son petit siècle d’existence académique et « scientifique » ? Au-delà des résistances de l’égo, l’expérience thérapeutique, l’interprétation de l’inconscient, la mythanalyse, la Daseinanalyse et les analyses transgénérationnelles, nous invitent à renouer avec l’histoire oubliée d’une science de la psyché qui remonte à la nuit des temps.

Pour introduire cet ouvrage collectif multidisciplinaire, quoi de plus indiqué que de rappeler ces anciennes références (traditionnelles). Le recul qu’offre la perspective historique nous ouvre l’horizon pour mieux apprécier la diversité des langages qui se réfèrent au transgénérationnel. Au-delà des différences dans les approches contemporaines, ces références ancestrales proposent encore d’autres discours et d’autres manières de distinguer la forme du fond. Elles nous aident à comprendre les phénomènes transgénérationnels, leurs importances et les règles auxquelles ils obéissent.

Déjà les premières traditions chamaniques sacralisaient le rapport aux origines, aux forces de la nature, et cultivaient la filiation clanique et le rapport aux ancêtres. Dans la Bible nous trouvons de nombreux passages qui mentionnent la transmission d’héritages transgénérationnels. Dans le livre de Job (8.8) l’on peut lire : « Interroge ceux des générations passées, sois attentif à l’expérience de leurs pères. Car nous sommes d’hier, et nous ne savons rien. » Une métaphore connue évoque cette loi de la vie selon laquelle les enfants héritent des conséquences des actions de leurs parents : « les pères ont mangé des raisins verts et les dents des fils en ont été agacées ». Dans l’Illiade de Homère nous trouvons aussi des références à ces héritages transgénérationnels qui semblaient être bien présents dans la conscience collective. Et par exemple, les anciens Grecs parlaient d’une até pour désigner la malédiction qui frappe les héritiers dont les aïeux se seraient mal conduits.

D’anciennes traditions égyptiennes et des textes sacrés font référence à ces lois portant sur les transmissions transgénérationnelles, et, plus généralement, sur l’importance des liens de filiation aux aïeux et aux lieux d’origine. À l’époque, chaque personne était référée à sa filiation et à ses ancêtres dont l’histoire permettait d’identifier la lignée, la ville ou la région d’origine. Cette mémoire avait une fonction préventive pour les nouvelles générations, conscientes de leurs héritages. Celui qui a fait siennes ses origines, qui connaît l’histoire de ses ancêtres, pose sur le monde un regard plus lucide.

Le rapport aux origines

Dans l’antiquité la connaissance de soi était indissociable de la connaissance de ses origines, jusqu’à remonter vers une source de vie originelle, celle divine ou celle du « Big Bang » comme le diraient les scientifiques d’aujourd’hui. N’oublions pas que si nous sommes les enfants de nos parents, et qu’eux-mêmes furent les enfants de leurs parents, nous sommes surtout, et avant tout, les enfants de la vie elle-même – quel que soit le langage employé pour en rendre compte, scientifique, spirituel ou encore mythologique avec ses références au ciel-père et à la terre-mère. En intégrant nos héritages transgénérationnels nous nous rapprochons de nos origines, c’est-à-dire des forces vitales qui s’en dégagent. Dans une telle perspective, de « reconnexion » avec ces forces de vie originaires (auxquelles le chamanisme d’aujourd’hui continue à se référer), le travail d’intégration transgénérationnelle apparaît aussi comme un développement personnel, en tant que soi authentique, ou, autrement dit, en tant que sujet pour reprendre un terme consacré en psychanalyse. »

Thierry Gaillard est membre de Psycho-Ressources:
https://www.psycho-ressources.com/thierry-gaillard.html

Tous les détails sur l’ouvrage:
http://www.ecodition.net/livre/exemples-dintegration-transgenerationnelle/


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Le pratico-pratique de la Catharsis glaudienne

Le pratico-pratique de la
Catharsis glaudienne

Qu’est-ce que la Catharsis glaudienne et d’où cela vient-il ?

La Catharsis glaudienne est une approche et même, une thérapie des profondeurs qui retourne dans ce qui a été vécu précédemment pour libérer ce qui est enfermé et qui est enfermé jusqu’à parfois l’occultation.

C’est-à-dire le fait d’avoir rayé de la mémoire consciente un événement ou une partie d’événement ou les émotions liées à la mémoire consciente. Et cette douleur enfermée continue à agir en nous, surtout si des événements de la vie de même résonance les réactive.

L’occultation, c’est la même chose que le refoulement ?

Non c’est une couche plus profonde, c’est vraiment rayé de la mémoire consciente. Cette approche est née en 1978 et c’est peut-être il y a un an ou deux – puisque l’approche elle, est née sur le plan clinique purement, créée par Albert Glaude – et ce n’est qu’il y a un an ou deux que j’ai pris connaissance des travaux de la psychiatre Muriel Salmona qui confirme au niveau scientifique qu’il y a l’amygdale qui contient – donc un élément du cerveau – qui contient la mémoire douloureuse enfermée et qui fait que cela ne peut pas passer vers l’hippocampe qui traite la mémoire autobiographique. Et donc toutes ces douleurs, ces affects douloureux qui n’ont pas été traités, continuent à agir en nous. Et donc la Catharsis glaudienne, du nom de Glaude, qui a été le découvreur de la Catharsis avec la découverte du Tunnel. Après, il a mis évidemment au point la méthode plus en détails.

Et donc l’occultation, c’est donc un niveau plus profond que le refoulement, mais en même temps, le fait d’occulter comme de refouler, c’est un processus de protection de soi, de défense qui est très positif quand même ?

Oui et même de survie, ce qui permet, parce que la première occultation survient quand on est petit, quand on est enfant, ça permet de ne pas être dans un déséquilibre psychique important.

Et donc si à ce moment là c’est utile, plus tard dans notre vie, c’est pas forcément utile et en plus, ça peut-être des tonnes de symptômes dans notre vie ?

Exactement, ce que évidemment si c’est utile, il y a des décisions pathétiques qui peuvent être prises. Je me souviens d’une petite fille qui avait été abusée, que j’ai rencontrée en consultation et qui disait : « Plus tard, je n’aurai pas d’enfant ». Nous avons été soulagés de pouvoir travailler cela avec elle directement. Elle n’avait pas occulté et elle avait eu un entourage qui avait de l’écoute pour elle.

Nicole Lecocq-François, interview réalisée par Benoît Dumont, Guide du Mieux-Etre (Belgique).
Sur You Tube : http://www.youtube.com/watch?v=v1fuL-w8HVQ

DEUXIEME SEQUENCE :
Concrètement, comment se passe le travail ?

Concrètement, la personne qui me consulte a forcément des symptômes, des choses qui ne vont pas et donc là focalisation est mise là-dessus et nous allons faire une évaluation pour vérifier si c’est bien la Catharsis glaudienne qui est indiquée. Dans cette évaluation, il n’y a pas d’analyse, il n’y a pas de jugement, il n’y a pas d’interprétation. On part de ce qui est là. C’est vraiment une question de connexion. Et donc, après un temps de face à face, elle va aller au divan pour pouvoir être connectée avec le corps, parce que évidemment quand j’occulte, ce n’est pas mon rationnel, ce n’est pas ma pensée qui fait cela. Cela se fait en moi, c’est dans mon corps. Et par le corps, nous allons retrouver les sensations et les connecter avec ce qui s’est passé « avant » et qui est à l’origine des problèmes. C’est le corps qui est vraiment le grand moyen d’accompagner la personne, en connexion, moment après moment, là où elle est, sans jamais d’analyse et d’exercice quel qu’il soit. Et aussi le Tunnel, qui est ce symbole que chacun peut voir et qui est le transfert au fond de tout ce qui est douloureux. C’est un peu la cartographie de la souffrance enfouie, si je puis dire.

D’accord, c’est un peu comme un accompagnement de ce que je vis, en quoi ? en orientant vers une période de ma vie, ou ?

En n’orientant pas, c’est un accompagnement d’un processus, parce que ce que nous avons vécu de douloureux, nous avons besoin de le ressortir. Et c’est parce que ce n’est pas ressorti que cela reste douloureux. Et donc, c’est permettre à la personne de le ressortir en revivant ce qui a été. Alors, nous avons évidemment ce postulat que les symptômes et les réactions étant très forts dans les « mal-être » de la vie, il y a du passé derrière. Et nous proposons au subconscient de faire le lien avec ce passé. Et nous laissons émerger. Et nous ne savons évidemment pas du tout à l’avance ce qui va sortir.

Est-ce qu’on peut imaginer que ce ne soit pas judicieux pour le subconscient de la personne de libérer une expérience traumatisante ?

On peut l’imaginer. Maintenant, ce qui nous montre que le subconscient veut le sortir, c’est qu’il envoie le symptôme de cette manière-là. Le symptôme, c’est au fond le début d’une régression, mais qui n’aboutit pas, parce qu’on analyse, que l’on donne une médication pour empêcher les manifestations et on ne va pas au bout du processus. Le subconscient, il ne faut jamais l’oublier, c’est qu’il a un rôle magistral de protection : il est capable de faire occulter la personne c’est bien de la protection. Mais on ne peut pas demeurer dans une situation confortable toute une vie, du moins quand ce qu’on a vécu est réactivé, sans que cela ne doive ressortir. Et c’est le subconscient qui au fond initie que cela ressorte. Et on ne va jamais ressortir quelque chose qu’on ne peut pas intégrer parce que sinon cela ne sort pas. Le système de protection continue à être efficace, on ne force pas, c’est simplement si cela peut se faire, cela se fera.

Nicole Lecocq-François, interview réalisée par Benoît Dumont, Guide du Mieux-Etre (Belgique).
Sur You Tube : http://www.youtube.com/watch?v=E-oZxogXZ-Y

Nicole Lecocq-François est membre de Psycho-Ressources:
https://www.psycho-ressources.com/psychotherapeute/tilff-liege/nicole-lecocq-francois.html


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Psychologie sociale de la connaissance – Etayage expérimental

Psychologie sociale de la connaissance
– Etayage expérimental

Que se passe-t-il lorsqu’un individu se trouve confronté à un désaccord avec d’autres individus à propos d’une connaissance, d’un raisonnement, ou de la manière de résoudre un problème donné ? Va-t-il se laisser convaincre par l’autre ? Va-t-il s’opposer, rester sur ses positions, ou simplement l’imiter ? Va-t-il intégrer son point de vue et construire de nouvelles formes de penser, voire innover ? Va-t-il réussir ou échouer à la tâche ?

Cet ouvrage propose une approche scientifique de ces questions. Il s’intéresse au processus de l’influence sociale dans la construction des connaissances. Les auteurs montrent de façon pratique et illustrée comment les relations contribuent au développement des connaissances et de la compétence qui l’accompagne, en insistant aussi sur les facteurs qui ont des effets négatifs, en particulier lorsque les conflits interpersonnels introduisent des menaces sur l’identité personnelle et l’estime de soi.

L’ouvrage est un prolongement original et appliqué du premier ouvrage paru aux PUG en 2013 sous le même titre Psychologie sociale de la connaissance, qui s’attache à ses fondements théoriques. Il intéressera les enseignants et étudiants en psychologie de tous niveaux, et les sociologues et professionnels de l’éducation, de la formation et des organisations.

De Alain Quiamzade, Gabriel Mugny et Fabrizio Butéra
PUG (Presses Universitaires de Grenoble) – Collection : Vies sociales – octobre 2014

Les auteurs

Alain Quiamzade est chargé de cours aux universités de Genève et Lausanne, et à l’université suisse à distance, spécialiste des processus d’influence sociale et de comparaison sociale.

Gabriel Mugny, docteur en psychologie génétique et expérimentale, est professeur à l’université de Genève.

Fabrizio Butera, docteur en psychologie, est professeur à l’université de Lausanne.

Les PUG : Qui sommes-nous ?

Maison d’édition privée et indépendante créée en 1972, les PUG sont une société anonyme coopérative, les seules presses universitaires en France à se prévaloir d’un tel statut.

Premier éditeur scientifique et universitaire de la région Rhône-Alpes, les PUG rassemblent des auteurs de la France entière, et même au-delà. Avec plus de 800 titres à leur catalogue général et 40 nouveautés par an, les PUG animent une trentaine de collections en sciences humaines et sociales (droit, économie, gestion, histoire, psychologie, sociologie, sciences politiques, etc).

Elles participent au déploiement du français dans le monde grâce à leur catalogue de français langue étrangère.

Enfin, les PUG publient 3 revues spécialisées en marketing, psychologie, et finance :

– Revue Finance
– Recherche et applications en marketing (RAM)
– Revue internationale de psychologie sociale (RIPS)

Les PUG sont membre de Psycho-Ressources
https://www.psycho-ressources.com/toile/presses-universitaires-grenoble.html


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Petit traité d’impertinence constructive

Petit traité d’impertinence constructive

À notre époque, est-il facile de dire que l’on n’est pas d’accord à son chef ? Que cette réunion est inefficace ? Que son comportement caractériel met en difficulté toute une équipe ? À l’évidence non pour beaucoup de personnes travaillant dans les organisations françaises.

Cet état de fait n’est pourtant pas une fatalité. Il y a urgence à apprendre à mener un débat constructif sur des sujets de controverse. Il ne peut y avoir de performance durable et de bien-être sans qualité du dialogue et diversité des points de vue. Cette compétence s’appelle l’impertinence constructive et peut s’apprendre.

Cet ouvrage pratique propose d’apprendre à partager ses idées et à être en accord avec soi-même pour :

  • Savoir s’affirmer en tant que personne membre d’un tout.
  • S’épanouir dans son quotidien professionnel.
  • Faire avancer son entreprise en lui ouvrant de nouvelles portes.
  • Chacun s’y retrouvera : de celui qui n’ose pas parler d’argent ou dire qu’il n’a pas compris le sens de ce qui est demandé  à celui qui négocie des délais plus réalistes ou celle qui a osé dire stop à un comportement odieux… Ce petit traité fournit une aide concrète à travers des témoignages, des exercices et des conseils.

D’autre part, l’auteur insiste sur l’importance de la co-responsabilité collaborateur-manager. Il propose des solutions pour les managers désireux de s’ouvrir à un nouveau mode de fonctionnement : des managers au service de…

L’impertinence constructive ne peut s’exprimer que dans des environnements propices. L’auteur nous fait découvrir les bonnes pratiques d’entreprises ayant fait le choix du parler vrai.

L’AUTEUR

Agnès Muir-Poulle est formatrice et coach depuis 25 ans pour des grandes et moyennes entreprises (Maraé). Elle est aussi professeur à Grenoble École de Management et membre de la chaire  Mindfulness, Bien-être au travail et Paix Économique.

PUG – http://www.pug.fr/produit/1184/9782706121395

Les PUG sont membre de Psycho-Ressources
https://www.psycho-ressources.com/toile/presses-universitaires-grenoble.html

Presses Universitaires de Grenoble (PUG)
Communication, gestion, histoire, psychologie, science politique, sciences cognitives et sociologie.
Il y a plus de 40 ans, le 17 mars 1972, étaient créées les Presses universitaires de Grenoble. Créées par des universitaires, les PUG sont aujourd’hui le premier éditeur scientifique et universitaire de la région Rhône-Alpes, et un éditeur national de référence. Maison d’édition indépendante, les PUG appartiennent à leurs auteurs, grâce à une structure originale de société anonyme coopérative, qui leur garantit une totale autonomie de publication et de financement.  Avec une mission d’intérêt général inscrite dans leurs statuts, épaulées par leurs directeurs de collections qui sont les garants du contenu des ouvrages, elles défendent l’excellence de la pensée dans le domaine des sciences humaines et sociales.


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