À la rencontre du corps et de la voix – 17,18 mai, Montélimar

STAGE

À la rencontre du corps et de la voix
17,18 mai, Montélimar

6 jours au cœur de l’été du 18 au 24 juillet
au creuset de Meymas, Drôme

A la rencontre du corps et de la voix, avec Sophie Dubois Musicothérapeute et Philippe Baudot Psychopraticien Transpersonnel.
2 jours d’expériences, de partages et de rencontre de soi.

« La vie est une succession de rencontres et d’expériences qui nous mène pas à pas a nous transformer et nous révéler à nous- même, aux autres et au monde. Avec la créativité disponible à chaque instant et sans cesse renouvelée, dans la qualité d’écoute de l’instant présent, nous vous proposons un cheminement vers vos ressources personnelles. »

Nous visiterons la respiration, le corps en mouvement, la voix, le chant spontané, l’écoute de soi et de la relation pour approfondir notre chemin de conscience.

La relation thérapeutique ouvre l’espace d’une intimité unique qui s’appuie sur une confidentialité absolue et une écoute bienveillante.

Afin de vous offrir un travail de qualité, le stage est ouvert à 10 inscrits maximum.

Renseignements www.sophiedubois.fr ou www.philippebaudot.fr
Téléphones: Sophie au 06.64.25.52.32 ou Philippe au 06.04.406.295.

Sophie Dubois, Musicothérapeute, Thérapeute Psycho-Corporelle
https://www.psycho-ressources.com/musicotherapeute/montelimar/sophie-dubois.html

Philippe Baudot, Psychothérapie transpersonnelle
https://www.psycho-ressources.com/psychologie-transpersonnelle/montelimar/philippe-baudot.html


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L’envol du cygne – Récit d’une thérapie par courriel

Un mot de l’auteur, Pascale Claire:

Voici mon livre, L’envol du cygne. C’est une histoire vécue, la mienne. Il y est question de dépendance affective, plus particulièrement d’un transfert maternel vécu douloureusement, et de la façon dont je m’en suis libérée : via une thérapie par e-mails. Bien que j’en ai été enchantée et qu’elle m’a apporté énormément, mon désir n’est pas nécessairement d’encourager le lecteur à suivre ce type de thérapie, mais de partager avec lui l’expérience que j’ai vécue.

Sommaire:

Pascale, une femme de quarante-trois ans, reprend un jour contact avec Cécile, dont elle est sans nouvelles depuis plusieurs années. S’engage entre elles un dialogue intense par e-mail. Très vite, Pascale se sent prise dans un tourbillon de sentiments vis-à-vis de Cécile. De fil en aiguille, elle se décide à tenter une thérapie par courriel avec Leo, un thérapeute québécois découvert sur Internet. Au cours de celle-ci, Pascale va être amenée à faire la connaissance de son enfant intérieur et apprendre à l’aimer.

Les détails du produit

Format: Kindle Edition
Taille de fichier: 365 KB
Longueur d’impression: 235 pages
Vendu par : Amazon Digital Services, Inc.
Langue: French
ASIN: B00IXMEXVE

SITE WEB OFFICIEL.
Tous les détails est plusieurs extraits:
http://l-envol-du-cygne.org/


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La persistance du destin (roman initiatique)

Sommaire:

Sommes-nous aussi libres de nos attirances, de nos choix, de nos missions que nous le croyons?

L’héroïne de ce roman initiatique, Nathalie, veut croire en sa bonne fortune. Selon une voyante, elle aurait hérité d’un trésor dans une autre existence. Déterminée à le découvrir et faisant fi de son esprit rationnel de femme pratiquant le droit, elle se lancera dans une équipée qui la mènera dans la région de Saint Augustine, en Floride. Elle ne quittera pas seule le Québec. Elle convainc son conjoint Carlos, qui croit davantage aux bienfaits du golf qu’à ceux de la méditation, son amie Maude, psychothérapeute, curieuse et solidaire, et le copain de celle-ci, Samuel, qui est prêt à tout pour plaire à sa nouvelle flamme. Partenaires dans ce périple, ceux-ci ne réalisent pas qu’ils baliseront leur propre destinée.

Ce livre est un roman d’aventure, d’amour et de rencontres. Rencontres avec soi, avec l’autre, avec l’autre en soi. L’évocation de plusieurs aspects de l’existence en couches habilement imbriquées les unes aux autres entrainent le lecteur dans l’intimité de la psyché humaine. Sommes-nous libres de nos attirances, de nos choix, de nos missions autant que nous l’espérons? Ou sommes-nous captifs de scénarios revêches qui hantent nos pensées?

Une trame historique et scientifique où l’auteure plonge avec audace dans l’univers de l’expérience personnelle, au-delà des frontières du visible.

Détails:
La persistance du destin  par Suzan Mercedes
ISBN : 978-2-981376-40-4
Code : 376404-21
Copyright : Editions du Grand Ruisseau
Éditeur : Suzan Mercedes
Date publié : Juin 2013
Langue : Français
Nombre de pages : 344
Encre intérieur : Noir et Blanc
Dimensions : 6.08 X 9.33 pouces
Poids (grammes) : 667
25.00 $ Cdn

Plus de détails sur le site web de l’auteur:
http://www.suzan-mercedes.com


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Richard Moss – Séminaire de 3 jours à Montréal (mai 2014)

Dr. Richard Moss est auteur de nombreux livres et exceptionnel enseignant internationalement reconnu, est invité au Québec en mai 2014 pour guider un atelier de 3 jours sur le thème :

Travail en profondeur pour des relations conscientes

Séminaire du 01 au 04 mai 2014.
(Avec traduction simultanée en français)

Le Centre Espace Conscience (http://centreespaceconscience.com/) est heureux de vous inviter à ce séminaire intensif de 3 jours avec Richard Moss afin de vous permette de faire un travail intérieur qui pourrait s’avérer essentiel pour découvrir ce qui est vraiment important pour vous à ce moment-ci de votre vie. Sentez-vous une quête à une conscience plus élevée de la profondeur de votre être, de ses aspirations et de sa part aussi de mystère.  Que vous viviez une période difficile, même de crise au plan de la santé ou de la remises en question, ou désirez simplement faire le point concernant votre vie, et vos relations,  ce séminaire  est l’occasion de vous aligner vers cette part de vous-même qui tend vers la guérison ou cette partie de vous qui sait ;  votre  « guérisseur intérieur ».
Que vous soyez seul(e) ou en couple, cet atelier permet de répondre à un appel profond pour faire évoluer vos relations à un niveau de communication, de conscience et d’intimité qui soit à l’écoute du meilleur de vous-même tout en étant respectueux, de manière positive et inspirante,  de tous ceux qui pourraient être ou non affectés par vos choix  et décisions.

Ce « travail en profondeur » comme son nom l’indique, s’adresse aux personnes ou aux couples qui sont prêts à laisser tomber leurs défenses afin d’entreprendre un profond voyage en eux-mêmes avec courage et clarté dans l’accueil aussi de leur propre vulnérabilité.

C’est l’occasion de découvrir Richard comme un guide et enseignant, d’apprendre de nouvelles idées et de nouveaux outils pour votre chemin de vie, et à aller de l’avant avec tous les changements essentiels que vous voulez ou que vous réalisez devoir faire, s’il y a lieu. Si vous avez déjà travaillé avec lui, c’est une nouvelle occasion de plonger dans l’environnement riche, dynamique et stimulant qu’il sait créer.

Le séminaire non résidentiel commence :
– Jeudi le 01 mai (jeudi soir) à 19 heures,
– Vendredi le 02 mai et samedi le 03 mai de 9h30 à 18h30
– Dimanche le 04 mai de 9h30 à 13 heures.

Pour plus d’information :  Centre Espace Conscience
http://centreespaceconscience.com/ateliers/
Email: centreespaceconscience@gmail.com

Pour inscription et réservation : http://richardmoss.com/fr/events/montreal
Coûts : ($500.00 USA)
Lieu : L’adresse du Centre Espace Conscience est le :
825 Avenue Querbes #228, Outremont (Montréal), QC, Canada,  H2V 3X1

En raison du nombre d’inscriptions l’atelier aura lieu au :

4416, St-Laurent – bureau 103
(entre Marie-Anne et Mt-Royal)
Montréal (Québec) H2W 1Z5

Venir avec une tenue souple et confortable, vous pouvez apporter votre propre tapis de Yoga et coussin! Des coussins et tapis sont disponibles sur place, à votre convenance!

Bibliographie
Parmi les ouvrages les plus remarqués de Richard, et traduit en français :
– Le papillon noir
– Unité (The I that is we)
– Le second miracle
– Le Mandala de l’Être

– Plénitude, empathie et résilience
Dans ce livre, le dernier paru en date, Richard propose d’apprendre le pouvoir de la Présence. Il détaille l’utilisation pratique du modèle de la conscience qu’il a nommé le « Mandala » de l’Être pour s’ancrer dans le Maintenant.

Richard guide, depuis 25 ans, des personnes dans le monde entier vers une plus grande maturité spirituelle. Il aide des gens venus de tous horizons à honorer leur propre spiritualité essentielle et à devenir plus authentiques et pleinement humain. Son enseignement est une psychologie contemporaine de la conscience dans la lignée des grandes traditions de sagesse.
Voir aussi http://richardmoss.com/fr/ et mailto:http://richardmoss.com/

Bienvenus à tous, Faites vite, les places sont limitées.

Proposé par Marielle Paradis, Psychologue, Outremont, Québec, Canada
Membre de Psycho-Ressources.
https://www.psycho-ressources.com/psychologue/montreal/marielle-paradis.html

et

Josée Guérin, Dt. P. B. Sc. Nutr.\ Nutritionniste- Psychothérapeute, Fondatrice et présidente de la Clinique Psychoalimentaire, auteure, chargée de cours, Université de Montréal
http://psychoalimentaire.com


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Le cerveau n’est pas ce que vous pensez

Le cerveau n’est pas ce que vous pensez
Images et mirages du cerveau

De Fabrice Guillaume, Guy Tiberghien
et Jean-Yves Baudouin

Consulter un extrait : http://www.pug.fr/extract/show/2770
Consulter le sommaire : http://www.pug.fr/extract/show/2769

Résumé

Peut-on vraiment observer la pensée dans le cerveau à l’aide des nouvelles techniques d’imagerie cérébrale ? Chaque jour, cinq articles utilisant l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) sont publiés dans les revues scientifiques internationales. De la justice à l’économie, la neuro-imagerie investit de nouveaux territoires et l’impact médiatique de ces recherches est considérable.

À l’heure où certains proposent d’entraîner une région spécifique du cerveau ou développent des techniques marketing qui ciblent une région cérébrale, ce livre revient sur les problèmes fondamentaux qui se posent lorsqu’on aborde l’esprit-cerveau à travers le prisme de l’imagerie cérébrale.
Premier ouvrage traitant de la neuro-imagerie et de ses relations avec la psychologie à travers une approche critique, ce livre a pour objectif de montrer les limites et les potentialités de ces nouveaux outils d’exploration. En s’appuyant à la fois sur les connaissances psychologiques et neuroscientifiques, il revient sur les méthodes, les interprétations et les interrogations posées par les progrès récents de l’imagerie cérébrale.

Révolution dans notre connaissance de la cognition ou effet de mode technologique ? Voilà en tout cas de quoi ouvrir le débat.

Caractéristiques

Éditeur : Presses universitaires de Grenoble
Collection : Points de vue et débats scientifiques
Format : 135 x 210 – 204 pages
Parution : mars 2013
ISBN : 978-2-7061-1779-4
Thème : Neurosciences
Prix : 18 €
Consulter ce livre sur notre site :
http://www.pug.fr/produit/1093/9782706117794/Le%20cerveau%20nest%20pas%20ce%20que%20vous%20pensez


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Les hauts et les bas de la sexualité conjugale

Les hauts et les bas…
… de la sexualité conjugale

La sexualité constitue l’un des six champs de bataille privilégiés des couples, bataille qui se limite parfois à des frustrations ou à des incompréhensions, mais qui mène aussi à un blocage tel que seul une thérapie ou un divorce peut résoudre. Pourtant, là aussi un peu de connaissance et d’acceptation des différences homme – femme pourrait éviter bien des ennuis.

La différence de libido

Tout le monde le sait, et la science le confirme depuis les premières études de Kinsey dans les années 50, il existe une différence fondamentale d’intensité entre la libido féminine et la libido masculine. Grosso modo, la libido de l’homme est de deux à trois fois supérieure à celle de la femme : la femme moyenne se contente, par exemple, d’une relation sexuelle par semaine, alors que l’homme moyen voudrait faire l’amour au moins trois fois par semaine pour être heureux sexuellement.

Cette différence peut être accentuée par les valeurs culturelles et éducatives qui encouragent l’homme dans son expérimentation sexuelle, mais qui est plus restrictive pour celle de la femme, quoique ce double standard tend actuellement à changer avec l’hypersexualisation. Cette différence repose essentiellement sur un substratum physiologique : le taux de testostérone, hormone du désir, est de dix à vingt cinq fois plus élevé chez l’homme que chez la femme. La femme adulte moyenne possède une concentration de testostérone qui varie entre 1,0 et 3,5 nanomoles par litre de sang (nmol/L), alors que celui de l’homme moyen varie de 6,9 à 27,7 nmol/L. Ni l’homme ni la femme n’y peuvent rien.

De plus, cette différence homme – femme tend à évoluer au cours de nos vies. L’homme atteint l’apogée de son désir dès le début de sa maturité sexuelle, soit vers l’âge de 15 ans. Sa libido demeure au summum jusqu’à l’âge de 30 ans, puis décline lentement jusqu’à la fin de sa vie. Là aussi, une explication biologique : si le désir de l’homme est si fort dès le début de sa maturité sexuelle, c’est parce que c’est à ce moment-là que la qualité de ses spermatozoïdes est la meilleure, donc plus grande possibilité de donner naissance à des bébés sains. Comme cette qualité diminue avec le vieillissement, la nature fait en sorte de diminuer le désir de l’homme pour minimiser les possibilités d’enfantement. Mais, contrairement à la femme, l’homme peut se reproduire à tout âge.

La maturité sexuelle n’éveille pas le désir de la jeune femme et sa capacité d’orgasme : elle la rend capable de se reproduire. La libido et la reproduction ne sont pas liées chez la femme comme c’est le cas chez l’homme. L’homme doit orgasmer pour se reproduire. La jeune femme est généralement plus portée vers la dimension affective et relationnelle de la sexualité : sa sensualité prime sur sa génitalité. Sa sensualité s’exprime par des sensations qui envahissent tout son corps et par sa fantasmagorie romantique. Alors que l’adolescent se masturbe, la jeune fille rêve. Alors que l’adolescent cherche à devenir un « homme » en conquérant le corps d’une femme, n’importe laquelle, la jeune fille cherche un compagnon sentimental et sécurisant à qui elle pourra confier son lot d’ovules. Une femme produit entre 400 et 450 ovules dans une vie. Chaque ovule peut être considéré comme un trésor au point de vue génétique. D’où l’importance pour la femme d’établir un rapport intime stable avec l’homme avant d’ouvrir son corps, puisque c’est elle qui portera l’enfant et devra sans occuper. Sans oublier que l’éducation du petit humain prend maintenant plus de vingt ans ; celle-ci sera facilitée si l’homme reste avec elle pour s’occuper lui aussi de l’enfant. Finalement, la nature fait bien les choses.

Ce n’est qu’en vieillissant que l’adolescente pourra s’épanouir sexuellement et devenir une sexophile . Et elle n’y parviendra qu’à la condition de cumuler des expériences sentimentales, sensuelles, érotiques et génitales agréables. La femme doit apprendre sa sexualité génitale. Toute mauvaise expérience lors des premiers rapports sexuels peut contrecarrer cet apprentissage. C’est pourquoi l’apogée de la sexualité féminine se situe entre 28 et 45 ans. Chez l’homme, un traumatisme sexuel peut contrecarrer le fonctionnement sexuel, mais pas sa libido qui reste fortement tributaire de son taux de testostérone.

Les répercussions sur la vie sexuelle du couple

Ces différences libidinales peuvent avoir sur la vie du couple des répercussions négatives ou positives. En général, le jeune homme initiera les rapports sexuels en misant sur les zones érogènes et la génitalité de sa femme alors que cette dernière voudrait que son partenaire prenne davantage de temps avant d’arriver au « but ». Celle-ci mettra l’accent sur le contexte amoureux, plutôt que sur les gestes érotiques. Mais comme le cerveau de l’homme est imbibé de testostérone, celui-ci n’aura de cesse que lorsqu’il obtiendra ce qu’il veut. Et il voudra répéter l’expérience le plus tôt possible, puisque celle-ci lui est très agréable. Ce qui n’est pas nécessairement le cas de la jeune femme qui doit découvrir le chemin du plaisir sexuel et génital.

Il est vrai qu’il y a des exceptions à cette règle : il existe des jeunes hommes très romantiques et peu portés sur le sexe, tout comme il existe des femmes très portées sur la « chose » et qui en redemandent, sans nécessairement conditionner la génitalité à la relation amoureuse. Mais, je m’adresse ici à Monsieur et Madame tout le monde.

Les répercussions sont négatives lorsque la sexualité devient une monnaie d’échange. Pour obtenir du sexe, l’homme sera gentil et prévenant ; pour donner du sexe, la femme fera du chantage. L’homme par exemple dira « Je t’aime » à sa partenaire, alors qu’il pense « Je te désire ». Elle lui répondra « Moi aussi, je t’aime » signifiant qu’elle a de l’affection et de la tendresse pour lui. Se croyant confirmé dans son désir de faire l’amour, l’homme se rapproche de sa partenaire et commence à la caresser, en silence. Pour lui, démontrer son amour à sa partenaire, c’est lui faire vivre des sensations agréables et en prendre lui aussi. Quelle surprise lorsque celle-ci résiste en lui disant : « Est-ce moi que tu aimes vraiment quand tu dis que tu m’aimes, ou est-ce seulement mon corps qui te fait réagir ? J’ai vraiment l’impression que tu ne penses qu’à « ça ». L’homme est surpris car il ne fait pas cette différence : pour lui, aimer sa partenaire, c’est l’aimer avec son corps. Quant à elle, la sexualité est plutôt un aboutissement qui survient lorsque l’autre a réussi à l’apprivoiser, lorsqu’il a démontré verbalement son amour pour elle ou fait quelque chose pour elle (comme les tâches ménagères), lorsqu’il a agi comme ELLE le voulait.

Poussée à l’extrême, cette dynamique donnant – donnant ne peut qu’aboutir à l’impasse et exagérer la tendance égoïste de l’homme et brimer la réceptivité et la générosité de la femme. En colère, l’homme prendra son plaisir de façon égocentrique, sans vraiment se préoccuper de ce qui plaît ou non à sa partenaire, selon ses humeurs libidineuses.  En colère, la femme se refusera ou restera passive, sa froideur reflétant l’impuissance de son partenaire à la rendre heureuse, ce qui, à la longue, risque d’entraîner une perte de sa propre libido.

Les répercussions sont positives lorsque les deux acceptent ces différences et les exploitent. La femme fait alors confiance à l’ « expertise génitale » de son conjoint et l’utilise pour accélérer son propre épanouissement sexuel. Rappelez-vous que la femme doit apprendre le chemin de l’orgasme. L’homme peut alors plus facilement se laisser aller aux plaisirs préliminaires, faits de tendresse, d’affection et de sensualité s’il se sait et se sent reçu dans sa génitalité. Il lui est plus facile de faire confiance à l’ « expertise sensuelle et sentimentale » de sa conjointe et de l’utiliser pour donner un sens à sa pulsion génitale. Le couple accepte donc, grâce à l’intensité de la libido de l’homme, d’expérimenter des rapports sexuels qui prennent toute leur signification dans un contexte amoureux, contexte sous la gouverne (non exclusive) de la femme.

Les particularités des cycles menstruels

Au début de toute relation, l’homme courtise une femme qui se montre très réceptive. Il est attentif ; elle est valorisante. L’expression émotive de l’homme titille la réceptivité sexuelle de la femme. Tout couple ou presque vit, au moment de la phase de la passion, une sexualité exacerbée. Mais cette passion ne dure qu’un temps, de trois mois à deux-trois ans. Puis la nature reprend le dessus : les hommes minimisent leurs efforts de séduction, mais ne veulent pas renoncer à leur fréquence de rapports sexuels. Les femmes veulent maintenant plus d’engagement de la part de leur partenaire pour continuer à les désirer. La différence d’intensité libidinale peut alors devenir source de conflit.

C’est autour de 40 ans que cette différence s’estompe, du moins si l’on se fie à la fréquence orgasmique hebdomadaire.  C’est aussi à cet âge que les hommes et les femmes peuvent le mieux s’entendre au point de vue sexuel. Les hommes deviennent de meilleurs amants parce que leur génitalité se montre moins urgente. Les femmes deviennent de meilleures partenaires sexuelles parce qu’elles ont généralement plus confiance en elle et qu’elles ont maintenant pris leur sexualité en main.

Ils subsistent toutefois encore certaines différences subtiles. Par exemple, la femme ne ressent pas la même réceptivité sexuelle tout au long de son cycle menstruel. Les femmes sont fortement influencées par leurs tempêtes hormonales, qu’on le veuille ou non. Mais elles sont aussi fortement influencées par le contexte psychologique. Théoriquement, toutes les femmes devraient ressentir, comme suite à l’augmentation de leur taux d’œstrogène, une poussée à la hausse de leur libido au 10e jour de leur cycle, ce désir plus intense maximalisant la possibilité de reproduction. Mais justement, la peur, ou le non désir, d’enfanter peut venir contrecarrer cette poussée et la déplacer au moment de la plus grande production de progestérone, précédant le début des règles, période alors infertile. D’autres femmes seront plus réceptives aux initiatives sexuelles de leur partenaire au moment où leur taux d’hormones est à son plus bas, soit autour du 5e jour.

L’homme aimant, attentif aux changements hormonaux de sa partenaire, découvrira rapidement à quel moment de son cycle celle-ci elle est la plus réceptive et en profitera, acceptant plus facilement les jours de moindre réceptivité. Au lieu d’avoir régulièrement trois relations sexuelles par semaine, il pourrait plutôt accepter d’en avoir cinq une semaine et une seule la semaine suivante. Ce qui vient parfois lui rendre la tâche plus difficile, c’est que les pointes de désir sexuel de sa femme peuvent varier selon ses projets. Si son non désir d’enfant se modifie, sa pointe pourra passer du 25e jour ou du 5e jour au 10e jour. Qui a dit qu’une fois marié l’homme pourrait avoir tout le sexe et la paix désirés ?

Les cycles hormonaux masculins

Les hommes ne sont pas non plus à l’abri de fluctuations de leur libido. On sait aujourd’hui que les hommes ayant des postes de haute responsabilité professionnelle ont une plus forte libido que la moyenne des hommes. Contrairement à la femme qui ne sera pas réceptive sexuellement si elle a un surplus de stress au travail, l’homme performant au travail utilise souvent la sexualité comme technique de détente. Plus il aura de travail et sera stressé par celui-ci, plus il aura le goût de faire l’amour pour retrouver une détente corporelle et une paix de l’esprit. À l’inverse, l’homme qui se sent inutile, déprimé, sans joie de vivre, sans but… verra sa libido diminuer.

Les hommes aussi ont des cycles hormonaux. Le premier est relié à l’âge : l’homme vieillissant produit de moins en moins de testostérone. À 65 ans, son taux peut représenter 50 % de celui qu’il avait à 30 ans. Un deuxième cycle est saisonnier : contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas au printemps, mais bien à l’automne que tous les hommes vivent une poussée de production de testostérone. Un troisième cycle est mensuel et varie un peu comme le taux de production des œstrogènes de la femme, sauf que les variations sont moins grandes et varient énormément d’un homme à l’autre : l’un peut avoir un cycle de 10 jours, l’autre, de 60 jours.

Quotidien est le quatrième cycle. En effet, les hormonothérapeutes se sont rendu compte, en prélevant régulièrement du sang, que le taux de testostérone démontrait une hausse marquée le matin, au réveil ou juste un peu avant. L’on sait que les hommes ont des érections lors de leurs rêves et des érections matinales ; cette découverte confirmerait le fait que de plus en plus d’hommes âgés rapportent que leurs érections les plus fortes sont celles du matin. C’est aussi à ce moment-là que la femme est la plus reposée, donc la plus susceptible d’être réceptive à l’initiative sexuelle de son partenaire. Ce serait donc une bonne idée pour l’homme (et pour la femme) de se rincer la bouche au moment de leur pipi matinal.

Le dernier cycle hormonal existant chez l’homme, celui qui fait le plus jaser, se produit aux vingt minutes. Tous, ou presque tous, les hommes ont trois poussées de production de testostérone à l’heure. On peut donc supposer qu’ils ont aussi trois pensées sexuelles à l’heure, soit plusieurs centaines par semaines.  Si vous en doutez, parlez-en au docteur Virginia Love, sexologue, qui s’est fait injecter de la testostérone sous supervision médicale. ELLE sait ce que c’est que d’avoir une libido d’homme. Il serait donc prouvé scientifiquement que les hommes normaux ne pensent qu’à « ça » ou, du moins, y pensent souvent. D’après certaines recherches, les femmes n’auraient, elles, que quelques pensées réellement sexuelles par semaine, sauf celles qui lisent des romans d’amour et chez qui l’on a pu observer une fréquence de relations sexuelles plus élevée.

Vivre en couple, c’est apprendre à gérer des différences et l’une de ces différences est que l’amour stimule la sexualité chez la femme et la sexualité stimule l’amour chez l’homme, aussi stéréotypée que puisse être cette affirmation.

Yvon Dallaire conférencier et auteur canadien de nombreux livres sur les relations homme – femme.
https://www.psycho-ressources.com/yvon-dallaire.html


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BYRON KATIE à Paris – Samedi 12 juillet 2014

ATELIER JOURNÉE – 9h30-17h – Théâtre BOBINO

Qui seriez-vous sans vos histoires ?
Vivre en harmonie avec ce qui est avec Le Travail de Byron Katie

Information et réservation sur www.byron-katie-paris-2014.com
Tarif réduit jusqu’au 12 mai 2014.

Au cours de cette journée exceptionnelle à Paris, Byron Katie, avec son humour et sa clarté bienveillante et sans concession, va vous faire découvrir : Le Travail.

C’est une démarche d’auto-questionnement simple et radical de nos pensées stressantes, qui vise à mettre fin à nos souffrances en nous libérant de nos conditionnements limitants pour retrouver notre état naturel : la joie, la paix et l’amour.

* * * * * * * * *

Le Travail de Byron Katie :
une nouvelle approche de la sérénité : 4 questions qui peuvent changer une vie

La première fois que j’ai expérimenté « Le Travail » de Byron Katie, cela m’a permis d’arrêter de fumer. C’était il y a 11 ans. J’ai appliqué cette démarche de remise en cause des pensées stressantes. Et j’ai cessé de fumer, naturellement, sans tension interne ! Psychologue de formation, j’ai suivi la formation proposée par Byron Katie, je pratique Le Travail personnellement et le partage en sessions individuelles, en groupe dans des stages de 1 à 7 jours, ainsi que dans le monde de l’entreprise comme outil de coaching. Il s’agit d’une démarche de remise en question de nos croyances et pensées limitantes.

Qu’est-ce que Le Travail ?

Le Travail est une démarche d’identification de nos pensées stressantes et de remise en cause de ces pensées à l’aide de 4 questions et de retournements.
Nous allons voir à l’aide d’une pensée qui m’était très stressante (celle qui me conduisait à fumer) quelles sont ces 4 questions et ces retournements.
Mais tout d’abord, laissez-moi vous parler de Byron Katie, la fondatrice du Travail.

Qui est Byron Katie ?

Cette démarche est née d’une expérience vécue par Byron Katie en 1986.
Cette américaine a vécu, un matin, au réveil, un changement radical d’état psychologique, passant d’une dépression sévère l’empêchant de quitter sa chambre pendant plus de deux ans à une joie sans nom. Elle remarqua que la seule différence entre ce matin-là et le jour précédent était qu’elle ne croyait plus en ses pensées, elle ne croyait plus en son histoire. Elle mit alors au point cette technique de remise en cause de ses pensées stressantes afin de garder et approfondir cette paix nouvelle intérieure. Depuis, elle partage Le Travail dans le monde entier.

Concrètement, comment « faire Le Travail » ?

Tout d’abord, je vais identifier ma pensée stressante. Prenons mon cas, lorsque je fumais. Ma pensée stressante était : « Je veux fumer une cigarette ». C’est avec le cœur ouvert et la volonté de me remettre en question que je commençai à répondre aux questions, comme une aventurière qui s’apprête à aller découvrir de nouveaux mondes…

Question 1 : « Je veux fumer une cigarette ». Est-ce vrai ?

Est-ce vrai qu’au moment précis où je crois que je veux fumer une cigarette, je veux fumer une cigarette ? Je prends mon temps, j’explore, je fouille en moi, je gratte, je regarde… Et je réponds par OUI ou par NON. Simplement. Sans ajout, sans explication, sans justification. Et pour moi à cet instant c’était OUI.

Si la réponse est OUI, je me pose la question 2 ; sinon, je vais à la question 3 directement.

Question 2 : « Je veux fumer une cigarette ». Est-ce que je peux être absolument certaine que ce soit vrai ?

Est-ce que je peux être absolument certaine que ce soit vrai : « Je veux fumer une cigarette » ? Là encore, je replonge en moi, et il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse, juste le résultat de mon exploration intérieure… Et là pour moi à cet instant, je n’en étais plus si sûre, et c’est un NON qui s’imposa.

Question 3 : « Je veux fumer une cigarette ». -Comment je réagis, que se passe-t-il quand je crois à cette pensée ?

Je n’invente rien, je regarde, je fais un arrêt sur image, sur ce qui se passe en moi, pour moi, autour de moi, à ce moment-là. Je remarque les conséquences que cela engendre dans ma vie quand je crois une telle pensée.

Dans mon cas, lorsque je croyais à cette pensée : « Je veux fumer une cigarette », mon pouls s’accélérait, mon souffle se raccourcissait, je plongeais dans un état de stress. Je ne me souciais plus de rien, ni de ce que j’étais en train de faire, ni des gens qui m’entouraient. Je ne pensais plus qu’à cette cigarette. Plus rien n’avait d’importance, c’était la priorité numéro 1 de ma vie : fumer une cigarette ! Et plus largement, cette pensée entraînait beaucoup de culpabilité, je voyais l’image de la mère de ma meilleure amie morte sur son lit d’hôpital suite à un cancer des poumons, je m’isolais de mon bien-aimé pour aller fumer, et surtout , j’avais mal aux poumons, à la gorge et à la tête tous les matins au réveil… Je me sentais faible, dépendante, incapable, aliénée…

Pour répondre à la question 3, j’essaye d’être exhaustive, de regarder ma vie intérieure et extérieure sous l’emprise de cette pensée. Je suis restée des jours à noter comment je réagissais, ce qui se passait en moi, dans les moindres détails, quand je croyais cette pensée.

Puis je suis passée à la question 4.

Question 4 : « Je veux fumer une cigarette ». Qui serais-je sans cette pensée ?

Je n’invente rien. Je replonge en moi, je repars à l’aventure. Sans cette pensée, qui suis-je ?

Une amoureuse blottie au chaud avec son chéri devant un superbe film ! Je ne me lève pas, je ne me couvre pas en plein hiver pour sortir me brûler la gorge un peu plus ! Je suis bien, légère, épanouie. Je serais la femme que je veux être, indépendante, libre.
Ensuite je me projette dans toutes les situations où habituellement j’ai la pensée : « Je veux fumer une cigarette ». Une par une, je vis ces situations intérieurement, sans la pensée : « Je veux une cigarette ». Je prends mon temps dans chacune d’elle. Je me délecte de cette expérience intérieure, de cette nouvelle « moi » !

Puis, lorsque je me sens rassasiée de ce nouveau « moi », je passe aux retournements.

Les retournements

Je prends la pensée de départ et je l’inverse. Puis je cherche au moins 3 exemples pour illustrer chaque retournement.

Là encore, je n’invente rien. Je cherche des exemples concrets, authentiques, valables pour moi.

Dans ce cas, le retournement sera : « Je ne veux pas fumer une cigarette ».
En posant mon regard sur ce qui se passait vraiment en moi au moment où je croyais vouloir fumer, j’ai réalisé qu’en fait, selon les circonstances, je voulais soit une pause dans mon travail, soit un recentrage en moi, soit prendre l’air, etc. Ce que j’ai découvert en cherchant des exemples à ce retournement, c’est qu’en fait je ne voulais JAMAIS fumer une cigarette aux moments où je croyais vouloir en fumer une ! Quelle révolution ! Ce désir recouvrait toujours un autre désir-besoin.

C’est parce que je cherchais en moi des exemples à ce retournement à chaque fois que la pensée apparaissait que j’ai pu arrêter de fumer naturellement. Simplement, à chaque fois que j’avais envie de fumer, je me reposais les 4 questions rapidement dans ma tête puis je cherchais des exemples au retournement en étant à l’écoute de ce qu’en réalité je voulais vraiment à ce moment-là. Et comme je comblais alors mon vrai besoin du moment, il n’y eut aucune frustration, aucune prise de poids, aucune nécessité d’un support autre que ces 4 questions.

Dans ma pratique de psychologue

Dans ma pratique, j’utilise le Travail dans les situations de phobies, de traumas, d’anxiété, dans tous les cas où la personne vit une émotion stressante. Ensemble, nous identifions la pensée, la croyance à l’origine de cette émotion (« J’ai peur parce que… », « Je suis triste parce que… », etc.), puis nous investiguons cette croyance à l’aide des 4 questions et des retournements.

Certaines personnes viennent pour une situation bien particulière, le temps d’une seule séance, alors que d’autres ont des rendez-vous hebdomadaires depuis plusieurs années.

Certains de mes clients ont quatre ans et demandent spontanément à faire Le Travail parce qu’ils ont peur du noir ; certains sont avocats, d’autres médecins, thérapeutes, psychologues, enseignants, agriculteurs, lycéens, mères au foyers, danseurs, chefs d’entreprises, vendeurs… Tous ont en commun de vouloir se co-naître, réaliser qui ils sont sans leur histoire.

Rencontre avec Byron Katie à Paris

Si vous aussi vous avez envie de goûter au Travail de Byron Katie, de vous découvrir, de vous apaiser dans certaines relations conflictuelles, ou si vous avez simplement envie d’en savoir plus, je vous invite à me rejoindre pour une journée extraordinaire de Travail, à Paris, animée par Byron Katie, le 12 juillet prochain.

Vous pouvez également vous procurer les livres de Byron Katie, et visiter le site www.thework.com. Vous y trouverez tout le nécessaire pour faire du Travail par vous-même, sans l’aide de quiconque, comme je l’ai fait pendant 7 ans.

Au plaisir de nous rencontrer le 12 Juillet autour de Byron Katie, ou ailleurs si le cœur vous en dit !

Marie Varada Pommier
Psychologue. Facilitatrice du Travail de Byron Katie

www.marievarada-thework.com
www.thework.com
www.byron-katie-paris-2014.com


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Gestion du stress et confiance en soi – Mai 2014, Paris.

FORMATION
Gestion du stress et confiance en soi

– Comprendre son stress et son émotivité
– Prendre du recul, apprendre à gérer ses émotions en faisant appel à sa créativité et son intuition.
– Apport des neurosciences dans la gestion du stress
– Apports théoriques et exercices pratiques

Deux jours de formations
Prochaine session les 22 et 23 mai 2014
Tarif préférentiel 280 euros TTC le stage
Stage sur Paris
Inscription sur www.sophrokepri.fr rubriques séances

Patricia Periovizza, Psychologue, Anthony, Fr.
Lien URL : https://www.psycho-ressources.com/patricia-periovizza.html


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Éthique & Déontologie des Superviseurs de Coachs

Bonjour,

Mon mot de ce jour concerne l’éthique et la déontologie des superviseurs de coachs.

Historiquement l’attention des entreprises clientes a été alertée par les résultats des enquêtes menées depuis 2006 en Grande Bretagne, Australie, Italie, Afrique du Sud et Italie : en bref, l’impact de la supervision sur le coaching est important (en positif aussi bien qu’en négatif lorsque le superviseur n’est pas formé ou mal formé) et une partie significative des coachs n’est pas supervisée, surtout les internes.

D’où la question que se posent les sponsors :
« Mais qui sont ces mystérieux superviseurs que l’on ne voit jamais ? ».

La conséquence de ces prises de conscience a été une demande des entreprises faite aux associations de coachs et de superviseurs dont la réponse peut se résumer ainsi :

  • Identifier les compétences propres à la supervision des coachs.
  • Concevoir des accréditations pour la formation des superviseurs de coachs.
  • Concevoir des accréditations individuelles de superviseur de coach.

Nous avons vu dans mes mails précédents comment les diverses associations de coachs ou de superviseurs ont concrétisé ces éléments ou y travaillent.

Un des éléments de la demande des entreprises clientes concernait plus précisément un accompagnement plus serré des coachs par les superviseurs sur les questions éthiques.

La réponse faite par l’EMCC, l’AC, AOCS et l’APECS a été qu’une des compétences spécifiques du superviseur devait porter sur ces questions. Egalement, les formations de superviseurs accréditées doivent y consacrer assez de temps et proposer une méthodologie de résolution.

Reste la question de la déontologie des superviseurs.

En toute logique il doit en exister une spécifique puisque :

  • La supervision est différente d’un coaching de coach
  • Les compétences du superviseur sont différentes de celles du coach
  • Le superviseur est un acteur supplémentaire par rapport au système coach-coaché-sponsor
  • Il porte une responsabilité de nature différente de celle du coach.

Les grandes associations internationales (EMCC, ICF, SGCP, AC, etc…), si elles se préoccupent de la qualité des superviseurs en proposant formations et accréditations, n’ont pas encore créé de déontologie des superviseurs.

Par contre les associations internationales de superviseurs (AOCS, APECS, ANSE, AAOS, PSF) en proposent. Celles de PSF et de l’APECS en particulier ont été synchronisées et sont donc très voisines et celle de PSF existe en Français.

Au niveau des principes éthiques, on retrouve bien sûr ceux des sciences humaines tels qu’énoncés par exemple dans le rapport Belmont de 1978.

Le problème est donc partiellement résolu et si vous êtes coach ou sponsor vous pouvez désormais exiger d’accéder au code du superviseur et donc identifier les manquements à ce code et confronter.

Reste à organiser un système de recueil et de traitement des plaintes au niveau de la profession de superviseur. Vaste question qui amène à celle du statut de la profession de superviseur.

Les associations (de coachs et de superviseurs) travaillent sur cette question et certaines se rapprochent du programme EQF de l’Union Européenne. Mais entrer dans le détail nous mènerait trop loin et nous parlerons de cela une autre fois.

Belle journée à tous

Michel Moral, Psychologue
Formateur de superviseurs de coachs avec Florence Lamy

https://www.psycho-ressources.com/psychologue/paris/michel-moral.html


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La liberté à pas de danse – Claire BAUDIN.

La liberté à pas de danse
Claire Baudin

SOMMAIRE:
Infirmière passionnée de danse, Claire Baudin découvre un jour qu’il est possible de soigner par l’exercice de cet art. Interpellée, elle décide d’en faire son métier : elle est aujourd’hui danse-thérapeute. Cette pratique étant méconnue en France, elle souhaite témoigner de son expérience pour lever le voile qui la recouvre ; c’est donc avec humour et spontanéité qu’elle raconte son amour pour le quatrième art, son coup de foudre pour la démarche de l’Expression Primitive, les enseignements qu’elle a suivis, et la joie d’exercer un métier qui allie passion et ambition.

L’AUTEUR:
Née en 1967 à Paris, Claire Baudin y a vécu 43 ans avant de s’installer dans la région de Saint-Malo et d’y créer À Corps-d’Âme, une entreprise de psychothérapie par la danse et de formation à la relation d’aide. Face à l’infini de l’océan, elle s’inspire des grandes marées pour danser sur la grève..

Membre de Psycho-Ressources
https://www.psycho-ressources.com/claire-baudin.html

EXTRAIT:

En quête de soi…
« La danse, c’est quand on est débarrassé de tout artifice. » Marie-Claude Pietragalla

La danse est une rencontre de son corps, de son être, sans détour par l’esprit. Le corps est toujours là, immédiatement disponible.

Pourquoi chercher loin quand on a tout à sa disposition ?

Parce que l’être humain a peur de son propre corps, mystère du vivant dont il ne peut rien contrôler. La danse n’a pas besoin d’un temps de préparation. Tout est là.
Tu es là. Je suis là. Alors, es-tu prêt ? Es-tu là, présent à toi, à ton corps, à ton âme ?

Si oui, alors, vas-y !

Seul, à deux ou à plusieurs, tu peux toujours déployer ton corps.
Qu’est-ce qui t’empêche de danser chez toi ?

Rien, si ce n’est ton propre jugement et ta peur. Alors, laisse-les au placard et prends quelques minutes pour toi. Ne t’inquiète pas, il ne t’arrivera rien… Rien de grave, si ce n’est d’éprouver du plaisir et de t’étonner de toi, parfois avec joie. Laisse-toi surprendre par les gestes qui naissent spontanément, répète-les, grandis-les et habite-les de toute ton âme. Mets-les tous dans un endroit de ton corps, ton coeur de préférence. Bientôt naîtra une chorégraphie que tu pourras offrir à tes amis, ou encore transmettre à ceux qui en ont besoin, à ceux qui souffrent dans leur âme et dans leur corps. Tu t’apercevras rapidement qu’avec peu, on peut donner beaucoup. Vas-y, tu ne risques rien à essayer. Si tu as quelques difficultés, n’hésite pas à m’appeler, je t’accompagnerai, et je t’aiderai à créer ta propre danse.

Quelque temps plus tard…
Bon, je vois, tu sembles avoir des difficultés…
Encore quelques mots pour te guider ?

Prends le rythme par les pieds comme lorsque tu marches. Tu vois, tu danses tous les jours, sans même t’en apercevoir ! C’est la pulsation de ton coeur qui passe par les pieds. Tu peux vraiment t’appuyer sur le sol pour garder ton équilibre. Il est là pour te réceptionner. Plutôt, la terre est là pour t’accueillir comme une mère nourricière. Capte donc cette pulsation de vie et laissetoi habiter par le rythme dans tout ton corps, laisse-toi toucher par la mélodie.

***

Titre: La liberté à pas de danse
Auteur: Claire Baudin
Format : 12 x 18,5 cm   Pages : 120 pages
Parution : avril 2014   ISBN : 978-2-35485-511-6
Éditions Jets d’Encre
http://www.jetsdencre.fr/lng_FR_srub_11_iprod_462-La-liberte-a-pas-de-danse.html


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