Psychologie Sociale de la Connaissance

Psychologie sociale de la connaissance
Fondements théoriques

De Alain Quiamzade, Gabriel Mugny
et Fabrizio Butéra

Résumé
Ce livre propose une approche théorique originale de la connaissance et des processus d’apprentissage, et étudie comment ceux-ci peuvent être modulés par les dynamiques de comparaison interpersonnelle, le sentiment de compétence, la valorisation de soi et d’autres motivations. Il puise sa spécificité dans l’articulation de divers domaines jusqu’ici séparés : performance et connaissance, relations interpersonnelles, comparaison sociale et explications de sens commun. Il présente une théorie des relations d’influence qui s’instaurent entre individus dans des situations mettant en jeu leurs connaissances et leur sentiment subjectif de compétence.
Les questions de l’apprentissage, de la compétition entre pairs, des menaces liées à l’échec ou de la valorisation issue de la réussite sont au cœur de l’ouvrage. Celui-ci apporte un éclairage particulièrement pertinent dans le cadre de l’enseignement scolaire et universitaire, de la formation et de la performance dans les organisations.

Public
Universitaire : enseignants et étudiants, tous niveaux, en psychologie.
Professionnel : sociologues, professionnels de l’éducation de la formation et des organisations.

Caractéristiques
Éditeur : Presses universitaires de Grenoble
Collection : Vies sociales
Format : 160 x 240 – 206 pages
Parution : septembre 2013
ISBN : 978-2-7061-1816-6
Prix : 20 €
Thème : Psychologie

Consulter ce livre sur notre site :
http://www.pug.fr/produit/1119/9782706118166/Psychologie%20sociale%20de%20la%20connaissance

Presses universitaires de Grenoble.
https://www.psycho-ressources.com/toile/presses-universitaires-grenoble.html


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Joyeuses fêtes de Psycho-Ressources !

Voir le monde différemment!

Chaque année, j’aime vous offrir mes souhaits en fonction des pensées et des émotions qui animent ma vie en cette période de festivités.

Voici mes réflexions pour les fêtes 2013-2014.

Le monde est en changement perpétuel et nous le sommes aussi… Les changements intérieurs qui nous habitent font surgir en nous diverses émotions: des peurs, des joies, des peines, des colères…

L’immobilité est impossible… Notre évolution personnelle, notre parcours d’être humain et les évènements qui peuplent notre vie sont à l’origine de toute une variété d’émotions d’intensité variable. Et… Que faisons-nous? Allons-nous vers l’avant animé par la joie? Nous replions-nous sur nous-même éteint par la tristesse? Sommes-nous figés par la peur ou guidés par la colère?

Dans tous les cas… Je crois qu’il faut accepter d’être déstabilisé puisque rien n’est immuable. Chaque événement est une occasion d’élargir notre conscience, de vivre de nouvelles expériences, de sortir de notre zone de confort et de voir le monde différemment.

Voir le monde différemment… C’est le risque d’une nouvelle relation, le défi d’un nouvel emploi, la découverte d’une nouvelle ville, d’un nouveau pays… La construction d’un nouveau chez-soi, d’une nouvelle identité.

Je vous souhaite que la période des fêtes vous offre de nombreuses occasions de voir le monde différemment. Découvrez la vie sous un nouvel angle avec vos proches et dans votre famille! Évoluez, changez vos traditions, ouvrez-vous sur le monde et les êtres humains qui le peuplent!    

En vous souhaitant une période des fêtes à l’écoute des changements qui surviennent en vous et autour de vous… Je vous souhaite une nouvelle vision du monde en 2014.

Très sincèrement,
Alain Rioux, Ph.D. Gestionnaire de Psycho-Ressources
https://www.psycho-ressources.com/psychologue-quebec-ca.html

Commentaire

Bonjour Alain,

« Voir le monde différemment… », nous invites-tu.
Je l’ai vu tant de fois différent, nourrisson dans les bras de ma mère… à 4 ans premier jour d’école, adolescent premiers émois, premières révoltes, Père, Grand-Père, Arrière Grand Père. Chaque fois un autre monde naissait, différent, mais toujours empli des premiers jours oubliés, ceux qu’il faudrait retrouver, innocents que nous étions, portant en nous le verbe créateur…

Voir le monde différemment soyons en les artistes !

Bien à toi, Bonnes Fêtes
Gilbert Bresson, Psychothérapeute
https://www.psycho-ressources.com/gilbert-j-bresson.html


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S’enraciner dans l’instant présent

Sommaire

Déjà avant notre naissance nous sommes liés aux histoires non terminées de nos parents, de nos aïeux et de notre société. Comme des cycles restés ouverts, ces héritages influencent nos vies car nous ne pouvons pas nous couper de nos racines sans nous perdre. Ces histoires se rejouent notamment dans nos propres difficultés, dans des destins qui se répètent. Les tentatives de s’en protéger, par exemple en se renfermant, ou en se conformant trop aux autres et à la société, nous empêchent d’être véritablement nous-même et de vivre l’instant présent.

L’auteur nous invite à comprendre les lois transgénérationnelles qui régulent ces héritages. Loin des clichés établis, sa démarche consiste à ne pas couper les liens aux origines mais à les intégrer en nous inspirant des sagesses traditionnelles et des pièces que Sophocle avait consacrées à Œdipe. Ce n’est pas en érigeant des barrières, en se « blindant », que l’on se libère des difficultés, mais en renouant avec soi-même et avec les autres à un niveau plus profond, souvent inconscient. Plutôt que d’exacerber une politique individualiste et égocentrique, qui nous désolidarise des autres et de nos origines, l’auteur propose de renouer avec le sujet en soi pour revenir à l’essentiel et y prendre racine.

Extrait de l’introduction

Chacun d’entre nous éprouve, à diverses occasions, la sensation de ne plus vraiment être soi-même, de ne pas être totalement présent. Au contraire, il nous arrive aussi de nous sentir particulièrement bien avec nous-même, « bien dans ses baskets », en accord avec l’instant présent. Entre ces deux extrêmes, la balance peut momentanément pencher d’un côté, comme elle peut durablement pencher de l’autre. La plupart des personnes intègrent ces fluctuations sans éprouver le besoin d’approfondir les explications qu’elles s’en font. Mais lorsque la sensation de ne plus être authentiquement soi-même devient trop désagréable, lorsque des problèmes se répètent ou prennent de l’ampleur, c’est la vie elle-même qui nous force à approfondir nos interprétations et à mieux nous connaître.
Les héritages transgénérationnels jouent un rôle essentiel dans ces fluctuations qui nous éloignent de nous-même. Ils nous renvoient à l’originaire, à quelque chose d’intemporel et par-là, à notre propre présent. Les Anciens avaient bien compris ce rapport de dépendance entre la capacité à être soimême dans le présent et l’influence de ces héritages transgénérationnels.

Être au clair sur ses origines, sur ses racines, permet d’en être plus indépendant, d’être plus libre d’exister dans l’instant présent. Contrairement à ce que l’on pourrait croire à propos du « transgénérationnel », il ne s’agit pas de plonger dans le passé, mais de reconnaître dans le présent la présence d’un passé non passé afin de l’intégrer et tourner enfin les pages des histoires inachevées. L’intégration de ces charges inconscientes réclame une plus grande présence, celle qui est propre au sujet en soi.

Les héritages transgénérationnels sont la plupart du temps totalement inconscients et se manifestent de manière indirecte et déformée. Ils offrent un terreau fertile à de nouvelles difficultés existentielles.

Même s’il est facile de revenir à soi et au présent, pour que cet état dure, pour que les mêmes situations ne se répètent pas à nouveau, il s’agit d’intégrer ces héritages transgénérationnels inconscients et ainsi de s’enraciner dans l’instant présent. En effet, les expériences non intégrées dans nos familles ont tendance à se répéter ou à générer des mécanismes de défenses tout aussi dommageables. Pour le meilleur et pour le pire, notre rapport au monde et nos modes de vie dépendent de ce dont nous héritons de nos aïeux. Ces vécus non intégrés par nos ancêtres transmettent des « casseroles » que nous héritons sans même nous en rendre compte. Conscients et inconscients, ces héritages oeuvrent dans nos vies, ne manquant pas de nous influencer et de nous empêcher de vivre l’instant présent.

S’enraciner dans l’instant présent
Le sujet en soi
Par Thierry Gaillard
(176 pages , Ecodition 2013 , ISBN 978294054013)
Plus de détails: http://www.ecodition.net/livre/s-enraciner-dans-l-instant-present/

Thierry Gaillard, Psychanalyste, Genève, Suisse
https://www.psycho-ressources.com/thierry-gaillard.html


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Sortir de sa zone de confort !

Voici un extrait du livre de Daniel Blouin : «Sorties de Zone» dans lequel il aborde l’obstacle de l’opinion des autres : 

«… Disons que mes trois enfants, beaucoup moins conscients du côté téméraire de leur paternel, étaient quant à eux beaucoup moins convaincus de mon nouveau changement de vie professionnelle. Je les comprenais très bien de ne pas comprendre mais je me disais qu’ils s’y feraient. En tout cas, je perçu cette période comme une très belle occasion d’enseigner à mes enfants qu’il est parfois nécessaire de prendre des risques pour être heureux et que le bonheur ne passait pas uniquement que par l’argent, la sécurité et le confort.

Ce qu’ils avaient le plus de difficulté à saisir au début était que je pouvais vraiment travailler sur des dossiers en gagnant de l’argent mais que je n’avais jamais à quitter la maison à chaque matin et que je n’avais plus aucun employé. Ce qui, contrairement à eux, me plaisait énormément. J’ai même cru bon leurs montrer de vrais chèques de revenus pour au moins les rassurer et leurs prouver que leur père n’était pas parti sur «une balloune». Ils finirent par s’habituer, premier obstacle surmonté !

Mes parents, quant à eux, semblaient déstabilisés et un peu inquiets. Mais bon, ils commençaient à me connaître un peu aussi. Mon père savait bien qu’il me restait toujours l’option de vendre de la drogue…(c’est de l’humour!) Il m’avoua qu’il était vraiment impressionné que je prenne la décision de vendre Mercure. Depuis la fin de ses études, lui n’avait connu qu’un seul emploi de prof jusqu’à sa retraite. Disons que j’étais un peu plus volatile que lui.

Voulant me rassurer, il jugea même pertinent de me révéler, pour la première fois de sa vie, le montant d’argent approximatif que j’hériterais le jour de sa mort et celle de ma mère. Ce fut une très belle attention de sa part pour me rassurer et je l’en remerciai car il est évidemment fort inconfortable et «mal à l’aisant» de parler de ce genre de chose. Par contre, bien que j’aie apprécié son intention, jamais cela m’était venu à l’esprit et je ne compterai évidemment jamais là-dessus bien entendu.

Mes amis, quant à eux, ne semblèrent pas vraiment surpris car ils savaient que c’était bien mon genre de prendre ce genre de décision. Je dirais qu’ils furent par contre plutôt surpris que je ne leurs en aie jamais parlé avant ou donné de signes précurseurs. Ils l’apprirent comme tout le monde lorsqu’ils reçurent le communiqué de presse officiel, écrit et envoyé par Mercure.

J’ai toujours préféré parler des choses lorsqu’elles sont faites plutôt que de celles à venir ou qui sont encore seulement à l’étape de projet. J’ai toujours été très porté sur l’action. Je suis plutôt de nature très déterminée qui ne tient pas à être influencé du tout par l’opinion des autres. Je suis assez fermé à ce niveau. S’il avait fallu que je parle toujours de mes intentions de me mettre à risque aux autres avant de passer à l’action, il est certain que cela se serait probablement avéré être uniquement des occasions propices à soulever les peurs, les craintes et créer le doute dans mon esprit. Bref, à paralyser et à étouffer mon élan. Quand je sens quelque chose, je n’ai jamais besoin de demander à une autre personne si ce que je sens est vrai. Si je le sens, c’est parce que c’est vrai. …»

Sorties de Zone: Pour tous ceux qui songent à effectuer un changement dans leur travail, leur carrière ou leur vie mais qui n’osent pas sortir de leur zone de confort.
Tous les détails et d’autres extraits:
https://www.psycho-ressources.com/bibli/sorties-de-zone-changer-sa-vie.html


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Décès de Nelson Mandela: l’humanité est en deuil.

Nelson Mandela nous quitte…
L’humanité est en deuil.

En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant. de Nelson Mandela – Extrait du Discours d’investiture – 10 Mai 1994

Nelson Mandela est mort à l’âge de 95 ans à son domicile de Johannesburg, a annoncé dans la soirée du jeudi 5 décembre le président sud-africain Jacob Zuma, en direct à la télévision publique.

Naissance : 18 juillet 1918, Mvezo, Afrique du Sud
Décès : 5 décembre 2013, Johannesburg, Afrique du Sud
Filmographie : Mandela : Un long chemin vers la liberté, Anne Frank Remembered, Sing Your Song
Livres : Un long chemin vers la liberté, L’apartheid
Enfants : Makaziwe Mandela, Zenani Mandela, Makgatho Mandela, Plus
Distinctions et récompenses : Prix Nobel de la paix, Bhârat Ratna, Plus

Lisez l’article du Monde.Fr
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/12/05/nelson-mandela-est-mort_3427343_3212.html

Quelques citations.

Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu’un d’autre de sa liberté. L’opprimé et l’oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité.
de Nelson Mandela  – Extrait de Un long chemin vers la liberté

Etre libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.
de Nelson Mandela – Extrait de Un long chemin vers la liberté

Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé.
de Nelson Mandela – Extrait de Un Long Chemin vers la liberté

Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de la haine, des préjugés et de l’étroitesse d’esprit.
de Nelson Mandela – Extrait de Un long Chemin vers la liberté

Nous ne sommes pas encore libres, nous avons seulement atteint la liberté d’être libres.
de Nelson Mandela

Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès.
de Nelson Mandela – Extrait du Discours d’investiture – 10 Mai 1994

J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre.
de Nelson Mandela – Extrait d’ Un long chemin vers la liberté

La politique peut être renforcée par la musique, mais la musique a une puissance qui défie la politique.
de Nelson Mandela – Extrait de Un long chemin vers la liberté

Un combattant de la liberté apprend de façon brutale que c’est l’oppresseur qui définit la nature de la lutte, et il ne reste souvent à l’opprimé d’autre recours que d’utiliser les méthodes qui reflètent celles de l’oppresseur.
de Nelson Mandela – Extrait de Un long chemin vers la liberté

Les hommes qui prennent de grands risques doivent s’attendre à en supporter souvent les lourdes conséquences.
de Nelson Mandela – Extrait d’ Un long chemin vers la liberté

L’honnêteté, la sincérité, la simplicité, l’humilité, la générosité, l’absence de vanité, la capacité à servir les autres – qualités à la portée de toutes les âmes- sont les véritables fondations de notre vie spirituelle.
de Nelson Mandela – Extrait de Conversations avec moi-même

N’oublie pas qu’un saint est un pêcheur qui cherche à s’améliorer.
de Nelson Mandela – Extrait de Conversations avec moi-même

Que règne la liberté. Car jamais le soleil ne s’est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.
de Nelson Mandela

Souvent, les révolutionnaires d’autrefois ont succombé à l’appât du gain, et se sont laissés prendre à la tentation de confisquer des ressources publiques pour leur enrichissement personnel.
de Nelson Mandela – Extrait de Conversations avec moi-même


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Méditation de Noël, 25 décembre 2013

MÉDITATION DE NOËL
DIMANCHE, 25 DÉCEMBRE 2013 14:00 – 15:00.

Il me fait plaisir de vous informer que pour une 6ième année, la MÉDITATION DE NOËL aura lieu.

Cette « Connexion Coeur à Coeur » à distance est offerte à tous ceux et celles qui se sentent seul-e-s avec ou sans leur famille.

Toutes les autres personnes qui veulent s’unir à nous lors de cette connexion particulière en ce Jour de Noël, sont les bienvenus…

Je serai en CONNEXION DE COEUR À COEUR à l’heure prévue… peu importe où je serai à ce moment-là. C’est toujours une MAGNIFIQUE EXPÉRIENCE de VIVRE cette MÉDITATION en COMMUNION avec chacun-e et ENSEMBLE.

En Communion Spirituelle de Coeur.

Pour plus d’informations sur les consignes sur ma page web à ce sujet.
Lien URL :  http://blanchelandry.com/benevolat-inceste-abus-sexuel/meditation_noel

Blanche Landry, Thérapeute, Conférencière, Formatrice, Auteure
https://www.psycho-ressources.com/blanche-landry.html


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Café sagesse et philosophie, Montréal

Café sagesse et philosophie
Annonce : Causeries autour de différents thèmes des domaines de la sagesse et de la philosophie.

Prochain sujet

Le bonheur
Malgré des siècles de quêtes, le bonheur reste mystérieux. Malgré toutes les philosophies, la spiritualité et la psychologie, il échappe encore aux êtres humains.
Qu’est-ce que le bonheur? Existe-t-il? Si oui, comment y accéder? Est-il réalisable ou n’est-ce qu’un idéal abstrait ou inaccessible?
L’atteint-on par l’amour et l’amitié, par la sécurité matérielle? Est-ce une question de connaissance, de compréhension ou d’intelligence?

Description
Discussions où tous sont invités : amoureux de la connaissance, curieux, intellectuels, profanes, croyants, athées, créateurs, contemplateurs, érudits, simples observateurs… La sagesse est en tous, permettons son expression spontanée!
Nous échangeons sur des sujets touchant la vie intérieure et la relation aux autres et au monde. Ensemble, nous observons ce monde et sa création, la condition humaine, la souffrance des uns, la liberté des autres, le besoin d’amour, de sécurité et d’épanouissement en chacun.

Déroulement
À partir de sujets que je propose, une discussion démarre où nous pouvons partager nos points de vue, opinions, visions et pensées. Au début de la rencontre, je prononce une courte introduction, puis, par des questions qui interpellent les participants et suscitent l’intérêt et la réflexion, le dialogue peut prendre forme. Je dirige l’entretien en apportant mes propres réflexions, en répondant aux questions qui me sont adressées et en orientant la causerie vers les nouveaux sujets émergents.

Modalités
Places limitées à 12 personnes.
Veuillez réserver votre place ici  : www.meetup.com/Cafe-sagesse-et-philosophie
…ou en me contactant. Pour permettre aux personnes intéressées de participer, veuillez honorer votre réservation. Merci!
Les frais de participation sont de 3$. Pour avoir un accès gratuit à la salle, les participants sont invités à se servir au buffet du restaurant.

Date et lieu
Jeudi 5 décembre 2013 à 19h00
Au restaurant Le Commensal, 1720 rue St-Denis, Montréal (métro Berri-UQAM)
La Salle Verte est à l’étage du bas, à droite, au fond.

Informations et réservation
Alain Colpron
info@alaincolpron.com
– https://www.psycho-ressources.com/praticien-relation-daide/montreal/alain-colpron.html


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EXPO – Du fil à retordre, 30 nov au 27 février 2014, Québec.

La bibliothèque Monique-Corriveau reçoit François Bertrand

Une robe confectionnée avec 4000 cuillères à thé… Une deuxième cousue de milliers de goupilles de canettes de boisson gazeuse… Une autre encore brodée au « petit point » avec du fil de cuivre… Cette garde-robe inusitée, création de l’artiste-sculpteur François Bertrand, sera présentée du 30 novembre 2013 au 27 février 2014 à la bibliothèque Monique-Corriveau pour l’exposition «Du fil à retordre ». Passionné par l’univers de la mode féminine et finaliste du Concours d’oeuvres d’art de la ville de Québec, François Bertrand transcende la matière pour former des vêtements inusités. L’une de ses sculptures, L’Élégante, acquise par la ville de Québec, sera en exposition permanente à la bibliothèque. Pour lancer ce bal de métal, il propose d’y joindre, le temps d’une exposition, cinq autres robes toutes plus surprenantes les unes que les autres.

Le vernissage, en présence de l’artiste, aura lieu le jeudi 5 décembre à 18h à la bibliothèque Monique-Corriveau, 1100, route de l’Église, Québec.

Pour son exposition Du fil à retordre, l’artiste troque les aiguilles et le fil pour les pinces et la broche. À l’aide de différents métaux récupérés, il confectionne des robes dont l’élégance n’a rien à envier aux grands couturiers. C’est avec une patience de moine qu’il réalise, de façon artisanale, des robes aux dimensions humaines, chaque robe nécessitant en moyenne 800 heures de travail. Il faut d’ailleurs s’en approcher pour réaliser que les tissus riches et soyeux sont souvent constitués de l’amoncellement étonnant d’un seul élément. Assemblées une à une, cousues et brodées, chacune des pièces de métal est utilisée dans une nouvelle perspective et se voit transformée en objet magnifié, une robe éblouissante dont l’ensemble demeure toutefois fragile.

Par la théâtralité que leur confère leur dimension humaine, les robes agissent comme réceptacle du regard et provoquent une forme de projection, voire d’introspection. Puis, la dimension symbolique apparaît quand on découvre l’allégorie suggérée, prétexte à une réflexion sur des questions identitaires et des enjeux sociaux.

François Bertrand était finaliste dans le volet professionnel, au Concours d’oeuvres d’art de la ville de Québec, 6e édition. Oeuvrant en psychiatrie depuis plus de 30 ans et comme psychologue en pratique privée pendant une dizaine d’années, il a fondé en 2001 le programme d’accompagnement artistique Vincent et moi à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec. Depuis 2008, il s’investit dans un travail artistique à titre personnel sous un fil conducteur qui le passionne.

À propos de la bibliothèque Monique-Corriveau

Inaugurée le 28 novembre dernier, la bibliothèque Monique-Corriveau prend place dans l’ancienne église Saint-Denys-du-Plateau métamorphosée. La bibliothèque Monique Corriveau est située au 1100, route de l’Église, Québec. Les heures d’ouverture sont : les samedis et dimanches, de 10h à 17h, les lundis, de 10h à 18h, du mardi au vendredi, de 10h à 21h. L’entrée est gratuite.

François Bertrand
Mail: francoisbertrandpsy@videotron.ca


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Ladakh… Itinérance indienne et voyage intérieur

Ladakh
Itinérance indienne… Un voyage intérieur… dans la magie de l’instant présent
Du 12 au 29 juillet 2014

Dans la région du monde où se concentrent le plus de monuments bouddhiques, de monastère en monastère,
à la rencontre de notre Bouddha intérieur…

Il est des lieux initiatiques et magiques chargés des mémoires de vies passées.
L’immensité et la beauté des paysages, les plus grands monastères du Ladakh et la force d’une tradition millénaire toujours vivante confèrent à ces hautes terres himalayennes une ambiance indéfinissable et une aura magique.

Une vie simple où seules les valeurs essentielles ont cours qui visent la sérénité : celles de l’accueil ou du plaisir d’échanger un sourire en se croisant sur un sentier et celles enseignées par Bouddha…

 

Ce voyage est un ressourcement dans la magie d’un quotidien où le naturel et l’immatériel font partie de notre environnement. C’est la qualité de cette Présence qui se développe au fil du temps, au fil des rencontres. Lieu d’étonnement et d’éveil où chaque pierre, chaque regard, chaque murmure nous étonne.

Au fil des siècles, la culture tibétaine a trouvé un espace propice à son épanouissement.
Il y a du mystique partout. Bien au-delà de toutes nos croyances ou appartenance religieuse, nous vivons une véritable expérience intérieure.

Francine Baraban est une aventurière, passionnée par l’aventure humaine et par la rencontre avec l’inconnu. Ses voyages sont dits *initiatiques, du latin ‘’initium’’ qui signifie commencement. C’est une initiation à de nouvelles découvertes, un processus d’éveil qui va transformer notre être par une aspiration à la connaissance et une volonté à donner un sens à sa vie. C’est une expérience individuelle et collective pour que chaque personne, dans une profonde connaissance de soi, trouve en elle sa voie, sa spiritualité *, c’est-à-dire qu’elle trouve en elle les moyens pour donner du sens à la vie, à sa vie, et vivre des moments dans un état d’être qui ne peut être enfermé, endoctriné ou cloîtré dans un temple.

Cela peut être en observant les superbes paysages himalayens ou en visitant un monastère, en méditant à 4000 m d’altitude, en échangeant quelques mots avec une femme qui lave son linge dans la rivière, en savourant un plat préparé avec soin, ou comme le dit le Dalaï Lama, en épluchant des pommes de terre…
Ces voyages sont initiés dans un état d’esprit, une ouverture permanente sur les autres et le monde. Un état d’être qui ne se repose pas sur des idées préconçues, des dogmes sclérosants mais qui tend toujours vers la découverte de l’inconnu, découverte de soi, des autres et de l’univers.
L’expérience de Francine Baraban, fait qu’elle a développé une habileté pour accompagner la personne et le groupe, à partir de ce qui se passe ici et maintenant, en favorisant un contact authentique avec les autres et un « ajustement créateur » à l’environnement.

Qu’est-ce que la spiritualité ?

 *La spiritualité du latin spiritus, esprit, c’est la connaissance de soi par la recherche personnelle de chaque instant, une attention permanente à soi, ses pensées, ses actes et surtout leur compréhension qui déclenchera en nous l’évolution vers la sagesse, la sérénité et l’amour inconditionnel.

Mathieu Ricard :
« Je peux apprendre à exercer mon sens du jugement, pour distinguer ce qui me tourmente et ce qui m’apporte la paix, et donc mieux me connaître. On sent une certaine prise de conscience. L’immense soif de confort matériel qui habite les Occidentaux a atteint une limite. On se rend compte que ce n’est pas ça le bonheur – d’où un certain désarroi, car l’essentiel des vies occidentales est bien tourné vers le confort, qui fait négliger aux gens beaucoup d’autres aspects de la vie. Les Occidentaux redécouvrent aujourd’hui que le bonheur, seule une recherche intérieure peut l’apporter. Cette quête intérieure peut s’inscrire dans une religion, mais pas nécessairement. »

D’un point de vue théologique, la spiritualité est ce qui concerne la vie spirituelle, par opposition à ce qui est matériel. Elle est fondée sur la croyance à l’existence d’une réalité de l’esprit de nature différente de celle du corps, c’est-à-dire de la réalité matérielle de la vie. Dans ce sens-là, il peut y avoir spiritualité sans religion, car ni les dogmes, ni les rites, ni le caractère organisé de cette dernière ne lui sont nécessaires. Au sens philosophique la spiritualité désigne la qualité de ce qui est de l’ordre de l’esprit.

L’être humain fonctionne selon un principe de dualité : chaud-froid, bonheur-malheur, amour-haine, grand-petit, etc… Ce que les bouddhistes appellent le « SAMSARA ». Ce système ne peut pas apporter une paix permanente à l’être humain, tout simplement parce que la dualité ne le permet pas, la paix n’est qu’un état de non guerre dans ce système. La seule façon d’en sortir est de mettre fin à la séparation et à la dualité.

La connaissance de soi parait être la voie royale pour accéder à l’unité. A l’entrée du temple de Delphes, il est inscrit « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux ». On peut arriver à l’unité grâce à ce que Krishnamurti appelle une « vision pénétrante » de nous-même. La recherche spirituelle n’est pas une fuite du réel, elle ne sert pas à éviter ses blessures. C’est tout le contraire, la connaissance de soi passe par la conscience et la mise à jour des douleurs refoulées.
Dans l’état de réalisation spirituelle, il n’y a plus de division à l’intérieur de moi et entre moi et l’extérieur.

Une libération du passé et du conditionnement : je vois le monde totalement neuf à chaque instant, ce qui me ramène à la parole de Jésus « et vous serez comme des petits enfants ». Un petit enfant voit le monde tel qu’il est sans jugement ni conditionnement. Une absence de jugement et donc de culpabilité sur soi-même et sur les autres. La notion de bien et de mal n’a pas lieu d’être dans cet état. Un accès à la « Connaissance » La Connaissance n’est pas le savoir, ni la perception, il s’agit d’une compréhension totale de la vie qui ne passe pas par l’intellectuel et qui ne peut pas être mis en mots. Un état de joie permanente, il s’agit d’une joie qui n’a pas d’opposé, elle n’a pas de cause. C’est « la joie d’être ».

 » L’amour est notre véritable essence. L’amour ne connaît pas de frontières de caste, de religion, de race ou de nationalité. Nous sommes tous des perles enfilées sur le même fil de l’amour.  » – Amma

La roue de la vie

Ce voyage est original, puisqu’il relie les dimensions:

–  physique, la marche en altitude permet d’affiner nos sensations corporelles et, portés par l’énergie du groupe et par la philosophie bouddhiste, ainsi que par l’immensité himalayenne nous trouvons ou re-trouvons la « forme » et la plénitude de nos facultés.

– psychique avec un travail d’exploration de notre être intérieur et une réflexion en groupe accompagné par une animatrice où chaque personne explore sa présence à l’univers, aux autres et à elle-même.

– spirituelle en lien avec la sagesse millénaire du bouddhisme et la découverte de lieux magnifiques et sacrés et l’ouverture aux grandes questions sur le sens de la vie.

Alliant le savoir-être au savoir-faire dans une écoute et une ouverture du coeur, le quotidien, l’émotionnel et le spirituel s’unifient et toutes les dimensions de notre être sont reliées.

Pour les détails, n’hésitez pas à communiquer avec:
Francine Baraban, Psychothérapeute, Formatrice
Voyage initiatique Petit Tibet: du 12 au 29 juillet 2014
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Le lotus: symbole du bouddhisme tibétain

Le lotus – Un des 8 signes auspicieux du bouddhisme tibétain

Le lotus représente la possibilité pour tout être humain de parvenir à l’état de Bouddha quelles que soient les conditions de vie, tout comme la fleur de lotus poussant dans un étang boueux.

Le fait que le lotus soit en même temps fleur et fruit symbolise la simultanéité de la cause et de l’effet au sein de l’existence.

La fleur de lotus est l’un des symboles les plus anciens et aspire à la plus grande pureté, c’est la seule plante aquatique pouvant émerger de la noirceur de la vase pour s’épanouir et se dresser hors de l’eau pour donner une fleur d’une beauté incroyable. C’est justement dans cette impureté qu’est la profondeur des eaux saumâtres, qu’elle va puiser son élégance et sa beauté pour être enfin attirée par la lumière, la nuit elle se referme et sombre sous la surface de l’eau, à l’aube elle sort et s’ouvre à nouveau.
Symbole de pureté absolue et de l’Eveil, emblème de l’élévation spirituelle, le lotus a la particularité de prendre racine dans la vase ou la boue, sa tige baignant dans l’eau tandis que sa fleur s’épanouit majestueusement sur l’eau. Intact face à l’impureté, le lotus symbolise la pureté du cœur et de l’esprit.

Le lotus représente l’élévation de l’âme, d’abord purement matérialiste au travers de ses racines, puis goutant l’expérience de l’eau au travers de sa tige, pour enfin parvenir à l’illumination et l’éveil au travers de sa fleur.
Les bouddhistes tibétains voient au travers du Lotus la véritable nature des Etres, la tige étant le samsara (cycles des vies et morts), la fleur symbolisant la paix et la sérénité.
Le lotus rose incarne le Bouddha Historique Sakyamouni.

Francine Baraban, Psychothérapeute, Formatrice
Voyage initiatique Petit Tibet: du 12 au 29 juillet 2014
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