Des contes symboliques pour les enfants…

Le bateau du petit marin.
Un conte pour enfants sur les troubles du sommeil.

A propos de ce conte, je peux témoigner « qu’après qu’on lui ai raconté, une petite fille qui n’aimait pas aller au lit a réclamé d’y aller. »

Cette collection (8 volumes pour le moment) veut répondre de façon juste, non pas pédagogique mais symbolique, aux questions plus ou moins conscientes qui habitent la pensée des enfants et pour lesquelles ils n’ont pas encore de mots. Elle parle à leur inconscient comme le font les contes et les mythes mais les situations considérée sont celles d’enfants de maintenant.

Personnellement, quand je travaille à composer un conte, je suis du côté de l’écrivain et non du psychologue, mais je ne vais pas effacer cette dernière facette…
Un livre pour adultes expliquant de nombreux contes doit sortir début 14 chez Piktos.

Anne FLORET, Psychologue
https://www.psycho-ressources.com/psychotherapeute/paris/anne-floret-van-eiszner.html

Le bateau du petit marin.
https://www.psycho-ressources.com/bibli/les-insomnies-des-enfants.html


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Colloque FF2P: Trauma et Sens, Paris, Oct. 2013

Quelles approches en psychothérapie pour dépasser le psychotraumatisme ?

11 et 12 octobre 2013 – Espace Reuilly – Paris
  
L’Homme est-il un Être traumatisé en quête de sens ? Les praticiens de la Psychothérapie ont-ils tous une vision commune du traumatisme psychique ? Comment peut-on dépasser un traumatisme et trouver ou retrouver le sens de sa vie ? Autant de questions auxquelles ce colloque sera confronté et tentera d’apporter des réponses.

En médecine, le traumatisme est défini comme un excès d’excitation qui peut aller jusqu’à une lésion contre laquelle l’organisme ne peut se défendre. Dans le psychotraumatisme, le sujet rencontre un réel auquel il ne peut donner sens, qu’il soit d’ordre sensorimoteur ou symbolique. La notion de névrose traumatique est apparue au 19e siècle avec les accidents de chemin de fer, puis les définitions du traumatisme psychique ont fait débat dans l’histoire du courant psychanalytique, jusqu’à aujourd’hui. En 1980, a été inscrit dans le répertoire américain des maladies psychiques (DSM), le syndrome de stress post-traumatique ; puis, en 1992, ce syndrome a été intégré dans la classification mondiale des maladies de l’OMS. Ainsi, la reconnaissance officielle des symptômes dus à des traumatismes psychiques et leurs traitements par des méthodes adéquates, sont les fruits de plus d’un siècle de recherches. Celles-ci ne cessent de s’affiner à la lumière des pratiques cliniques et des progrès des neurosciences, mais aussi des diverses réflexions anthropologiques modernes concernant la notion de nature humaine.

Les recherches récentes sur les réponses de l’être humain à un vécu traumatique soudain et incontrôlable, s’accordent sur un certain nombre de facteurs qui influencent cette réponse :
– les facteurs biologiques
– la période de développement au moment du drame
– la gravité de l’évènement ponctuel ou la répétition de plusieurs évènements dommageables
– le contexte social ou familial
– l’histoire des évènements de la vie.

Si assumer la condition humaine c’est regarder en face et avec lucidité le réel, comment donner un sens à ce réel quand les mots nous manquent pour le comprendre et le qualifier ? Or, si les mots peuvent avoir une portée symbolique forte capable de réorienter une vie et de lui faire reprendre mouvement, sens et donc motivation, il existe en outre des situations où c’est au niveau du système nerveux central que la perturbation est profondément inscrite. Cette inscription ne pourra être libérée par des mots puisque le niveau du néo-cortex n’y a pas accès, que ce soit à la suite d’un trauma de la vie adulte, ou que ce soit au niveau des carences ou maltraitances de l’enfance. Il faudra donc traiter le blocage sensorimoteur avant que le patient ne puisse retrouver sa capacité de penser le ou les évènements traumatiques et puisse ainsi peut-être donner un nouveau sens à sa vie. Ainsi, pour faire un sens il faut d’abord être sorti de l’inhibition créée par l’affect. Et le grand problème auquel sont confrontés les praticiens de la psychothérapie, est celui de trouver la méthode adéquate pour faire sortir le patient de l’état de « figement » dans lequel il est placé. Dans tout accompagnement, il est important que le thérapeute comprenne dans quel état « traumatique » se trouve son patient s’il ne veut pas le traumatiser à nouveau en utilisant, en toute bonne conscience, une méthode inappropriée.

Par ailleurs, il semble que dans nos sociétés occidentales devenues matérialistes, le sens de la vie fasse de moins en moins l’objet d’un questionnement ancré dans la culture ou la religion. Chacun est renvoyé à titre personnel et sans appui culturel ou spirituel aux questions fondamentales que soulève la polysémie du mot sens : D’où je viens ? Où je vais ? Qu’est ce que je ressens et qu’est-ce que cela signifie ? Le non-sens devient source d’angoisse et peut devenir traumatique. Le thérapeute aura ainsi à affronter un questionnement de type philosophique, voire spirituel et qui taraude tout être humain, même s’il n’en a pas toujours conscience.

Dans ce colloque, nous nous attacherons, d’une part à introduire les grandes problématiques du psychotrauma à travers l’histoire des concepts et les recherches neuroscientifiques, et d’autre part à présenter des méthodes qui s’intéressent tant au déblocage du « figement traumatique » qu’à la quête fondamentale de sens de l’être humain.

rédigé par Michelle Vinot

30e colloque organisé par la FF2P
Fédération Française de Psychothérapie et Psychanalyse (FF2P)
6 avenue du Maine – 75015 PARIS

Site du colloque:
http://www.colloques-ff2p.com/colloque2013/accueilcolloque2013.html


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Le Complexe de Cendrillon : La peur de l’indépendance.

[…]  Selon Colette Dowling, une psychologue américaine, les femmes ont secrètement peur de leur indépendance. Elles n’ont pas été préparées à la liberté mais tout au contraire elles ont été préparées à la dépendance.

Colette Dowling dit : « On nous a préparées par notre éducation à dépendre d’un homme et à nous sentir nues et terrifiées si nous en sommes dépourvues ». Et elle ajoute : « Les femmes ont toujours la possibilité de tout laisser tomber et de se mettre sous la protection d’un homme ».

On constate bien souvent chez les femmes nous dit Colette Dowling l’effondrement surprenant des ambitions personnelles dés lors qu’elles commencent à partager leur existence avec un homme. Elles répondent alors, selon Colette Dowling, au besoin profond d’être prises en charge, attendant qu’un élément extérieur ( l’homme de leur vie ) vienne transformer leur existence. C’est cela le Complexe de Cendrillon.

Sans être atteinte d’un véritable Complexe de Cendrillon, une femme peut souffrir d’une dépendance affective, dés lors que sa vie sentimentale, au lieu d’être épanouissante, devient un lourd handicap à son évolution personnelle sur tous les plans. Lorsqu’elle en prend conscience, il peut être intéressant et utile pour elle de faire un travail de développement personnel pour mieux se réaliser dans sa vie personnelle et mieux s’épanouir dans la relation amoureuse.

Extrait du livre de Claude Marc Aubry, Psychologue.
LA RELATION AMOUREUSE DESTRUCTRICE
Sortir de la dépendance.

Lisez d’autres extraits:
https://www.psycho-ressources.com/bibli/relations-amoureuses-destructrices.html


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La thérapie par le réel de William Glasser

La thérapie par le réal de William Glasser.

Qui est William Glasser ?

Le Dr William Glasser est un psychiatre américain. Il a exercé à Los Angeles dans plusieurs programmes de réadaptation de jeunes délinquants et toxicomanes. Il a aussi travaillé avec le Dr G.L. Harrington dans le traitement des patients psychotiques hospitalisés. Ils développèrent ensemble la « Reality Therapy » ou thérapie par le réel. L’essentiel de leur approche est d’ailleurs exposé dans le livre du Dr Glasser (1971) intitulé: « La thérapie par le réel » et publié aux éditions « EPI ».  A la fin de son internat en psychiatrie le Dr Glasser interrompit sa formation à la psychanalyse pour bâtir cette approche qu’il voulait davantage collée au réel. Il s’inquiétait du fait que la durée moyenne des cures analytiques tendait à s’allonger démesurément et que certains patients étaient très difficiles à analyser de la façon classique. Il reprochait d’ailleurs à certains thérapeutes freudiens et disciples de Lacan d’abandonner toute ambition thérapeutique pour leurs patients au profit d’une expérience philosophico-mystique de l’inconscient. Ainsi, il en vient à construire une approche réactionnelle à la théorie freudienne qui se situe aussi à la frontière de l’antipsychiatrie en basant la philosophie de son programme sur l’axiome: « La maladie mentale n’existe pas ».

Les bases de la théorie

Le point de départ de la « thérapie par le réel » réside dans la question suivante: Qu’est-ce qui ne va pas chez ceux qui ont besoin d’un traitement psychiatrique ? Selon le Dr Glasser, la personne qui a besoin d’un traitement psychiatrique souffre d’abord et avant tout d’inadaptation et cela quelle que soit la façon dont elle exprime son problème (psychose, troubles du comportement, dépression, etc.) Cette inadaptation de base signifie que le patient est incapable de satisfaire ses besoins essentiels. Plus l’individu sera incapable de satisfaire ses besoins à un degré élevé et plus la sévérité des symptômes sera grande.

La deuxième question posée par le psychiatre américain concerne les personnes les plus adaptées. Comment les personnes vivant dans la société arrivent-elles à satisfaire leurs besoins ? Pour répondre à cette question le Dr Glasser suggère qu’à tout moment de notre vie nous devons être lié à au moins une personne qui peut elle-même satisfaire ses besoins de façon adéquate. Sans cette personne clé qui nous aide à supporter le quotidien de la vie et nous donne le courage de continuer notre route, nous commençons à satisfaire nos besoins de façon irréaliste. Ceci peut entraîner l’éclosion de symptômes anxieux et aller jusqu’au refus complet de la réalité.

Pour lire la suite de ce texte présentant la « Thérapie par le réel », suivez ce lien:
https://www.psycho-ressources.com/bibli/glasser.html
Psycho-Texte.com – Bibliothèque de Psychologie

Un témoignage sur le sujet…

Bonjour,

Je viens tout juste de lire votre résumé de l’ouvrage de William Glasser: La thérapie par le réel. Je n’ai pas lu le livre de Glasser par contre, je sors d’un centre qui traite toute sorte de dépendances et qui utilise sa théorie: La Maison Choix et Réalité des Laurentides. Pour moi cela a été une révélation. J’ai, dans le passé, consulté divers spécialistes,concernant divers difficultés vécues : dépression, burn-out et anxiété; ainsi que pour le TDAH de mon fils. La majorités de ces spécialistes préconisaient la médication, et apposaient une étiquette à nos problèmes et à chaque fois j’éprouvais un profond malaise. Premièrement , je ne SUIS pas mon problème et deuxièmement, la médication ne guérit pas, mais plus tôt masque les symptômes d’un profond mal-être.

J’ai toujours su qu’il devait y avoir une autre alternative, une façon pro-active qui concorderait avec ma vision. Heureusement et malheureusement, je me suis moi-même auto-médicamenté en consommant de la cocaïne. Heureusement pour trois raisons: c’est ce qui m’a permis pendant presque dix de survivre à mon profond mal être; parce que cela m’a conduit à la Maison Choix et Réalité; parce que je suis en mesure  de comprendre et d’aider d’autres personnes: je commence en septembre un certificat en intervention psycho-sociale. Malheureusement parce que je me suis détruite, je me suis perdue dans le processus.

En thérapie, nous apprenons à utiliser la sphère des besoins de Glasser. Il y a 5 besoins: pouvoir, plaisir,survie, appartenance et  liberté. C’est un outil très simple et assez facile de compréhension. En utilisant cette sphère, j’arrive facilement à m’équilibrer et à reprendre le contrôle ou plus tôt gérer ma vie de façon saine. Lorsque j’ai une perte de contrôle, que je me sens fatiguée, etc., je fais un bilan de ma journée en utilisant cette sphère et je suis en mesure de cibler très facilement où se situe mon débalancement et mes zones de danger. Je l’utilise aussi pour me structurer.

Je vous écrit donc tout simplement pour vous faire part que cette théorie fonctionne. Effectivement, elle remet en question la psychiatrie et certains principes et c’est tant mieux ! Je crois que les remises en questions sont plus que saines et que la psychiatrie c’est enfermée dans Sa vérité et qu’elle porte des œillères; ce qui, à mon humble avis, est très néfaste, très dangereux.

Si cela vous intéresse, je suis ouverte à partager ce que m’a apporté cette thérapie.
Merci d’avoir pris le temps de me lire,
Korine


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Livre: Les outils de l’intelligence collective.

Les outils de l’intelligence collective.
La favoriser, la comprendre, la stimuler

Auteurs: Michel Moral, Florence Lamy

« Une entreprise a besoin d’ordre pour survivre et de désordre pour évoluer. »
Peter Drucker

SOMMAIRE: Manuel d’outils de coaching en intelligence collective, l’ouvrage sera très utile aux coachs pour répondre à la demande croissante des organisations en la matière. Il inclut les outils développés ces dernières années par une nouvelle génération de praticiens.

Les nouvelles logiques des missions de coaching Inscription systémique du coaching individuel Nouvelles approches du coaching d’équipe Emergence du coaching d’organisation Créer et modifier les outils Les nouveaux outils Le champ du narratif Le champ des ennéatypes Le champ du corporel Le champ de l’intelligence collective Créer de nouveaux outils Créer et modifier : une nécessité du « coaching moderne » Créer des outils sur le web

Les auteurs:
Michel Moral:
Ingénieur et docteur en psychologie. Coach de dirigeant et d’équipes de direction depuis 2003, il a lui-même un long passé de dirigeant international en Europe de l’Est, Afrique et Moyen Orient. Auteur de plusieurs livres sur le coaching il est aussi formateur et superviseur de coachs à Paris 8, Cergy-Pontoise, au CRC d’HEC et au Maroc. Membre du board de l’EMCC, il participe aux groupes de travail internationaux sur l’accréditation et la formation des superviseurs de coachs.
Florence Lamy:
Concepteur et animateur de plusieurs formations aux techniques et aux outils pour les coachs et les praticiens de la relation d’aide, elle intervient en France, notamment pour Paris VIII et au Maroc. Depuis plusieurs années, elle s’est spécialisée dans l’accompagnement des organisations en crise psychosociale et expérimente une approche originale articulée autour d’outils appartenant au coaching et aux approches dites de pleine conscience. Elle est co-créatrice, avec Michel Moral, d’une formation de superviseurs de coachs accréditée par l’EMCC.

Collection: Développement personnel et accompagnement, InterEditions
2013 – 240 pages – 155×240 mm
EAN13 : 9782729613365

Lisez un extrait:

« Du point de vue de l’épistémologie (la science des sciences) l’intelligence collective est soit une chimère, soit un construct. Ce terme a été traduit en français par « construit » et désigne un concept psychologique utile mais complexe et difficilement mesurable comme par exemple l’amour ou la motivation. Quoique les constructs soient difficiles à cerner et à mesurer, la question de leur validité demeure. En d’autres termes, une fois la définition du construct établie, peut-on imaginer un instrument de mesure qui mesurerait bien ce que l’on veut mesurer ? Et peut-on montrer la correspondance entre le construct et certains faits qu’il prédit. 

Si nous considérons par exemple le construct nommé « intuition » (« Connaissance directe et immédiate qui ne nécessite pas le recours au raisonnement », Dictionnaire de la Langue Française), il est possible d’imaginer une batterie de tests où une personne se verrait soumettre des problèmes, énigmes ou dilemmes en un temps très limité. Une fois établis des tests valides, une personne qui les satisferait serait considérée comme intuitive. On pourrait alors prédire qu’elle serait en mesure de résoudre facilement d’autres problèmes.

Il existe une méthode pour identifier un construct valide ou en confirmer la validité : l’analyse factorielle qui permet d’extraire des facteurs communs à un ensemble de données mesurées. Initiée par Charles Spearman (1863-1945), cette approche cherche à établir des corrélations entre les facteurs communs. » 

Lisez la suite…
https://www.psycho-ressources.com/bibli/intelligence-collective.html


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Conférence gratuite à Québec: La passion dans nos vies: bienfait ou méfait ?

Titre de l’événement :
La passion dans nos vies : bienfait ou méfait ?

Conférence publique ouverte à tous présentée par la Section de la Psychologie Clinique de la Société Canadienne de Psychologie

 » Il a bien réussi car il est passionné!  »
 » Ah, sa passion a nui à son jugement! « 

Le concept de passion est utilisé régulièrement dans notre quotidien, parfois pour expliquer des comportements adaptatifs et parfois pour expliquer des comportements posant problème. Qu’en est-il dans les faits? La passion est-elle bonne ou néfaste? Dans cette conférence gratuite et ouverte à tous, le Dr. Vallerand abordera la question de la passion en prenant appui sur les nombreuses recherches en psychologie. Vous y apprendrez qu’il existe plusieurs types de passion et que certaines sont très bonnes mais que d’autres… le sont moins!

Conférencier:
par le Dr. Robert J. Vallerand
Ph.D., FRSC, psychologue
Laboratoire de Recherche
sur le Comportement Social,
Université du Québec à Montréal

Dates : Mercredi le 12 juin, 2013
Heures : de 19:00 à 21:00
Coût d’entrée pour le public : gratuit
Lieu: Hilton Québec, 1100 boulevard René-Lévesque Est, Salle: Beauport/Beaumont/Bélair

Congrès de la Socité Canadienne de Psychologie
Du 13 au 15 juin 2013 – http://www.cpa.ca/congres/


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Livre: Je suis une personne pas une maladie!

Je suis une personne, pas une maladie!

Auteur(e)s : Dre Marie-Luce Quintal, Luc Vigneault, Marie-France Demers, Cécile Cormier, Yolande Champoux, Louise Marchand, Dr Hubert Antoine Wallot et Dr Marc-André Roy

La maladie mentale, l’espoir d’un mieux-être

Les personnes atteintes de maladies mentales décrites auparavant comme irrécupérables peuvent maintenant avoir une vie pleinement épanouie. C’est pour donner espoir à ces gens qui se croient condamnés à vie, à leurs proches ainsi qu’aux intervenants en santé mentale que nous prenons la parole aujourd’hui. Animés par l’engagement et la détermination de Luc Vigneault, pair aidant en santé mentale et de la Dre Marie-Luce Quintal, psychiatre, notre collectif d’auteurs vous propose un modèle illustrant le parcours du rétablissement.

Des témoignages vécus de l’intérieur et soutenus de l’extérieur par des professionnels passionnés et animés d’une même folie : faire du rétablissement la pierre angulaire du traitement et du soutien des personnes vivant avec un trouble mental.

Nous souhaitons que ce livre permette de nourrir l’espoir et qu’il pose un jalon de plus dans la mise en place d’un système de soins qui soutienne véritablement les personnes qui crient haut et fort : « Je suis une personne, pas une maladie! ».

Ce livre vise à amplifier ce cri du cœur pour qu’il bénéficie de l’effet papillon et soit porté dans chaque ramification de notre société. Tous peuvent un jour ou l’autre être confrontés à la maladie mentale et donc, se sentir interpelés par l’espoir porté dans ce livre.

Les droits d’auteurs sont cédés à la Fondation de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec pour aider les personnes atteintes de maladies mentales dans leur quotidien.

ISBN 978-2-923746-34-0 (livre) – 21.95$


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Congrès Francophone de Psychologie Positive. Metz, Nov. 2013

ÉVÉNEMENT

Congrès Francophone
de Psychologie Positive.

Psychologie positive et Modernité

21 et 22 Novembre 2013.

Université de Lorraine (UDL) – METZ

Association Francophone et Française
de Psychologie Positive

 

Quelques des ateliers et conférences:

  • Histoire et définition de la psychologie positive ? Jacques LECOMTE (Ancien président de l’AFfPP, Président d’Honneur, Paris).
  • Quelle place pour l’optimisme ? ? Charles MARTIN?KRUMM (IUFM de Bretagne, Rennes, France).
  • La psychologie positive a?t?elle une place dans la pratique clinique ? ? Pr Carmelo VASQUEZ (Président de l’IPPA, School of Psychology Complutense University, Espagne).
  • A la recherche du bonheur ? Pr Arnold BAKKER (EAWOP, President, ERASMUS University, Pays?Bas).
  • La passion, mode d’emploi? ? Pr Robert VALLERAND (Ancien Président de IPPA, UQAM, Canada)

Tous les détails: Liste des conférences, déroulement, formalités d’inscription. (pdf)
https://www.psycho-ressources.com/congres-2013-psychologie-positive.pdf


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Outils de Transformation de Culture Organisationnelle

Bonjour,

Nous avons le plaisir de vous annoncer que la formation à l’outil CTT (Cultural Transformation Tools, voir www.valuescentre.com) est désormais disponible en France et en Français pour sa partie 1.

CTT est un outil d’analyse des valeurs et comportements inventé par Richard Barrett (*). Il permet d’examiner la culture actuelle et désirée pour des groupes, équipes, organisations et même pays. Appliqué à une seule personne, une comparaison entre valeurs personnelles et valeurs perçues ainsi que désirées de l’organisation est faite. En cas de fusion, la comparaison des cultures d’entreprises révèle les difficultés à venir ainsi que les opportunités. L’outil existe dans une trentaine de langues, Chinois compris.

Certains d’entre vous ont peut-être eu la possibilité d’écouter l’exposé qu’en fait Richard Barrett lui-même puisqu’il est intervenu lors des colloques mondiaux de l’ICF à Montréal, Madrid et Londres. Il interviendra dans le colloque de l’EMCC à Athènes en novembre 2013. La raison pour laquelle nous nous sommes intéressés depuis longtemps à cet outil plutôt qu’à un des autres qui permettent l’analyse des valeurs (spirale dynamique, Denison, modèle de Brian Hall, modèle de Paul Ray ou OCI) est qu’il nous semble le mieux adapté au travail sur l’intelligence collective. Nous avons d’ailleurs développé cet aspect dans un ouvrage à paraître en juin.

La première session de formation aura lieu les 24 et 25 octobre 2013 à Paris. La suivante sera les 30 et 31 janvier 2014. Elle donne lieu à une certification qui ouvre l’accès à l’utilisation du produit et à la base de données de CTT. Celle-ci contient les supports de marketing en plusieurs langues ainsi que nombre d’études de cas et articles.

Lieu : Paris intramuros
Prix : particuliers ou indépendants 1 200 euros HT, entreprises ou institutions 1 600 euros HT
Formateur : Michel Moral, groupe de 10 personnes maximum
Public : coach, consultant, DRH
Renseignement et inscription : contact@undici.fr ou mmoral@undici.fr
Nous restons à votre disposition pour répondre à toute question.
L’équipe Undici International

Michel Moral, Psychologue, Coach, Paris
Membre de Psycho-Ressources
https://www.psycho-ressources.com/psychologue/paris/michel-moral.html

(*) Voir en particulier : « Libérer l’âme de l’entreprise : Bâtir une organisation visionnaire guidée par les valeurs », De Boeck, 2003


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Qu’est ce que la psychologie positive?

Le monde de la psychologie et de la psychothérapie est peut-être en train d’amorcer une évolution radicale : le passage d’une forte focalisation sur la pathologie vers la prise en compte des aptitudes et de l’accomplissement personnel et collectif. Il est de plus en plus question aujourd’hui de psychologie positive.
La psychologie positive est « l’étude des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des individus, des groupes et des institutions » . (1)

Selon Martin Seligman, professeur de psychologie à l’université de Pennsylvanie et principal initiateur de la psychologie positive, « nous connaissons peu ce qui donne de la valeur à la vie. (…) Ceci vient de ce que, depuis la Seconde Guerre mondiale, la psychologie est devenue en grande partie une science de la guérison. Elle se concentre sur la réparation des dommages au sein d’un modèle du fonctionnement humain axé sur la maladie. Cette attention presque exclusive sur la pathologie néglige l’individu épanoui et la communauté prospère » (2) . Cet auteur reconnaît certes les victoires thérapeutiques de la psychologie, mais estime que celles-ci ont été obtenues au détriment d’autres considérations tout aussi essentielles : « Quand nous sommes devenus seulement une profession de guérison, nous avons oublié notre mission plus large : celle d’améliorer la vie de tous les gens » . (3)

S’intéresser à la psychologie positive ne consiste pas à se percevoir ou à observer le monde qui nous entoure d’une manière idéalisée, comme au travers de lunettes roses. Il ne s’agit pas non plus de mettre de côté les connaissances acquises sur la souffrance psychique et sur les moyens d’y remédier. Le courant de la psychologie positive considère simplement qu’à côté des problèmes individuels et collectifs s’exprime toute une vie riche de sens et de potentialités. Elle est donc un complément logique aux recherches sur la psychologie clinique et la psychopathologie.

Par ailleurs, comme la définition ci-dessus l’indique, la psychologie positive ne relève pas d’une conception égocentrique, caractérisée par la quête quasi exclusive de l’épanouissement et du développement personnel. Elle concerne également les relations interpersonnelles et les questions sociales, voire politiques. Les différents thèmes abordés par la psychologie positive correspondent à ces trois niveaux de l’être humain, comme le montrent les quelques exemples suivants :

  • Au niveau individuel : bien-être et bonheur, créativité, sentiment d’efficacité personnelle, estime de soi, humour, sens de la vie, optimisme, etc.
  • Au niveau interpersonnel : altruisme, amitié et amour, coopération, empathie, pardon, etc.
  • Au niveau social : courage, engagement militant, médiation internationale, etc.

La psychologie positive peut donc tout aussi bien concerner l’épanouissement d’un enfant, les bonnes relations au sein d’une équipe de travail ou encore le mode de communication entre diplomates élaborant un traité de paix.

Le courant de la psychologie positive connaît un essor considérable, particulièrement aux États-Unis, mais pas uniquement. Plus de cinquante groupes de recherche impliquant plus de cent cinquante universitaires dans diverses régions du monde s’intéressent à ces thématiques. Plusieurs dizaines d’universités américaines et européennes dispensent des cours sur la psychologie positive. (4)

Par Jacques Lecomte, Docteur en psychologie
Auteur de: La Bonté Humaine. Altruisme, Empathie, Générosité
https://www.psycho-ressources.com/bibli/la-bonte-humaine.html

NOTES :

1. Gable S.L & Haidt J. (2005). What (and why) is positive psychology ?, Review of General Psychology, 9 (2), 103-110.
2. Seligman M. E. P. (1999). The president address, American psychologist, 54 (8), 559-562.
3. Idem.
4. Seligman M., Steen T.A., Park N. & Peterson C. (2005) Positive psychology progress. Empirical validation of interventions, American Psychologist, 60 (5), 410-421.


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