Vieillir en bonne santé et prévenir Alzheimer !

Vieillir en bonne santé et prévenir Alzheimer
 avec la médecine traditionnelle chinoise

Jean PÉLISSIER
Préface de Michel ODOUL
Éditions Albin Michel

SOMMAIRE

Oui, on peut vieillir en bonne santé !

La maladie d’Alzheimer n’est pas une fatalité, elle se construit pas à pas. Or, d’après Jean Pélissier, nous pourrions tous vieillir en bonne santé ; encore faudrait-il s’en donner les moyens.
Dans cet ouvrage unique en son genre, il nous révèle les principes de la médecine traditionnelle chinoise (plusieurs fois millénaire) qui permettent de vieillir dans de bonnes conditions et ainsi d’éviter au mieux les pathologies dégénératives comme la maladie d’Alzheimer. Il présente les causes de cette maladie que les anciens Chinois nommaient « demi-mort », et surtout il apporte de très nombreux conseils pratiques pour nous donner toutes les chances de bien vieillir.
 
Jean Pélissier explique en détail les fondements de cette hygiène de vie protectrice, avec ses piliers :

  • le « bien manger » avec ses neuf règles communes à toutes les diététiques traditionnelles qui, suivies à bon escient, sont à même de réguler le métabolisme de chacun de nos organes ;
  • le « bien bouger » pour libérer toutes les stagnations énergétiques et recharger sa batterie ;
  • le « bien penser », l’art de gérer ses émotions à l’origine de nombre de nos pathologies internes ;
  • le « bien aimer » avec une approche révolutionnaire : une « sexualité de longue vie ».

En suivant ces grands principes, chacun pourra parvenir au terme de son existence « en bonne santé » et atteindre « l’endormissement en pleine conscience » quand le temps sera venu.

Le premier livre à faire aussi clairement le lien entre la maladie d’Alzheimer et la médecine traditionnelle chinoise

EXTRAIT

Introduction

Avant de commencer l’écriture de ce livre, je me demandais comment procéder. Certes, je savais où je voulais arriver, quel message je voulais faire passer, qui d’ailleurs pourrait se résumer en cette simple phrase : « La vieillesse est inéluctable, la sénilité est inexcusable. » J’avais beau échafauder des plans, activer ma conscience, faire appel à ma mémoire, mon ego, rien n’y faisait. Je me suis alors rappelé les enseignements de mes maîtres : « Lâche prise, mets ton Coeur au repos et écoute la “Voix de ton Âme” ». Et cette voix m’a soufflé l’idée suivante : « Et si tu débutais ton livre par un chapitre qui dévoilerait tout ? Un peu comme si on commençait la lecture d’un roman par la fin pour en connaître la clé, la solution. »

Cette idée m’excita au plus haut point et je décidai donc, dans le premier chapitre (p. 000) de faire, en quelque sorte, le résumé de tout le livre, d’exposer les liens de causalité pouvant déboucher sur une maladie d’Alzheimer et aussi, de donner les clés enseignées par la médecine traditionnelle chinoise pour nous mettre définitivement à l’abri de cette maladie qui, justement par méconnaissance, effraie beaucoup d’entre nous. Après la lecture de ce chapitre, vous pourrez fermer le livre. Vous saurez à quoi vous en tenir, faire un point sur votre état du moment. Vous saurez par vous-même et pour vous-même comment mettre en œuvre une véritable politique de prévention et d’entretien de votre capital santé, comment aborder le « grand âge » calmement et sereinement en pratiquant l’art du bien vieillir !

Pour les curieux qui voudront aller plus loin dans cette vision donnée par les enseignements traditionnels chinois quant à l’apparition de cette pathologie, toute une série de chapitres leur permettra de se persuader qu’il n’y a aucune fatalité dans cette maladie que l’on pourrait à tort cataloguer d’épidémique tant son ampleur devient alarmante dans nos sociétés modernes. Je vais aborder des concepts, des notions qui sont à mille lieues de ce que l’on nous enseigne dans nos facultés, où l’esprit matérialiste prédomine. Parler d’Âme en médecine ! Beaucoup vont en sourire, d’autres au contraire vont être amenés à réfléchir devant certaines évidences quand on se trouve en présence d’une personne souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Qu’est-ce qui m’a poussé à écrire un tel livre ? Depuis ma tendre enfance, j’ai toujours refusé l’idée de la maladie. Je me suis toujours dit que le corps n’avait pas été construit pour tomber malade, mais qu’il avait en lui un potentiel d’autoguérison et d’autorégulation. La médecine moderne ne m’a donné que très peu d’informations à ce sujet. Bien au contraire, elle tentait de me prouver le contraire :

  • Si tu as une allergie, c’est à cause du pollen.
  • Si tu as une grippe, c’est à cause du virus.
  • Si tu as un cancer, une dépression, une hypertension, un rhumatisme, un Alzheimer, c’est toujours à cause des autres, de l’environnement, de l’hérédité.

On n’est pas responsable. Ou si peu. On n’est qu’un bateau à la dérive, à la merci des aléas de la vie, porteur d’un alibi karmique qui fait de nous des autruches. Oui, mais voilà. Les pollens existent depuis la nuit des temps et tout le monde ne développe pas d’allergie. Il y a des centaines de millions de fumeurs sur terre et tous ne développent pas un cancer du poumon, à peine 0,01 % d’entre eux. Une majorité d’individus vit dans un environnement de peur, de stress, de pollution et tout le monde ne développe pas une dépression.

La liste pourrait s’allonger ainsi à l’infini…

Tant d’interrogations sans réponse. Alors, toujours en écoutant la Voix de mon Âme, il y a une quarantaine d’années, je me suis lancé, si je puis m’exprimer ainsi, dans l’étude de la médecine traditionnelle chinoise. On a l’habitude de dire que quand on met son doigt dans l’engrenage, on ne peut plus le retirer. Ce fut donc mon cas. Quand on comprend les tenants et les aboutissants de cette médecine, on sent bien qu’une vie entière ne suffit pas pour en faire le tour. J’ai eu la chance ou plutôt « les perches de la destinée » m’ont fait rencontrer un des plus grands maîtres modernes de médecine traditionnelle chinoise, reconnu en tant que telle en Chine, avant la « Révolution culturelle ». J’ai nommé le professeur Leung Kok Yuen. Ayant émigré à Hong Kong, puis à Vancouver au Canada, il a été l’un des seuls à transmettre une partie de son immense savoir. Un des seuls à enseigner l’ensemble des pièces du puzzle de cette médecine plurimillénaire que l’on qualifie de médecine holistique. Né à Canton en 1922, il est issu de treize générations de médecins, de père en fils. À l’âge de onze ans, il était capable de réciter deux livres rédigés par Zhang Zhong Jing (un des fondateurs de la médecine traditionnelle chinoise), le Jin Kui Yao lüe et le Shang Hang Lun. Il commença à faire ses premiers soins à l’âge de seize ans !

Au cours des onze années d’études qu’il nous a dispensées, nous avons longuement abordé les grandes pathologies que l’on retrouve chez les Occidentaux, à savoir les maladies cardio-vasculaires, par une étude très complète sur l’hypertension artérielle. Ensuite, nous avons étudié le cancer, les maladies mentales et émotionnelles, dépression y comprise. Son enseignement comprenait aussi des cours magistraux sur la mort, sur le sens de la vie. Leung Kok Yuen s’appuyait sur les trois piliers fondateurs de la société chinoise : taoïsme, confucianisme et bouddhisme, qu’il mettait à la portée d’un esprit occidental. Il partageait ses connaissances dans la pure tradition des grands maîtres, par un enseignement purement oral.

C’était un des premiers à avoir insisté sur le mot clé : PRÉVENTION.

Enfin, je comprenais à travers la divulgation de tout ce savoir, que sur cette terre, nous n’étions pas des effets, mais bien, à proprement parler, des causes dans l’apparition de tous nos maux. Enfin, je saisissais l’incroyable impact du mental et des émotions sur la genèse de quasi toutes nos pathologies internes (hypertension, diabète, cancers, rhumatismes, maladies cardio-vasculaires, maladies mentales et émotionnelles, dépressions, maladie d’Alzheimer, etc.).

Enfin, j’ai appris que la mort, tant redoutée par certains, n’était pas une maladie, mais l’extinction de quelque chose et le passage d’un état à un autre, que l’on pouvait parvenir au terme de son existence en « bonne santé », atteindre « l’endormissement en pleine conscience » recherché par tous les méditants, « Graal » de toutes les religions.

Dans quelques dizaines d’années, quand les avancées de la médecine dite « quantique » auront fait leur preuve, tradition et modernité pourront enfin se rejoindre. La science est en train de redécouvrir le message que la tradition a toujours voulu faire passer. C’est toute cette vision que je voudrais présenter dans ce livre pour que vous puissiez prendre votre destinée en main.

La maladie d’Alzheimer n’est pas une fatalité. C’est une pathologie interne que l’on se crée, pas à pas, par méconnaissance du fonctionnement de notre corps, par un manque de recul quant aux liens de causalité susceptibles de la créer.

Mais les enseignements qui vont suivre iront bien au-delà……

L’AUTEUR

Jean PÉLISSIER est kinésithérapeute et praticien en Médecine Traditionnelle Chinoise (M.T.C.) depuis plus de 30 ans. Passionné d’ethnomédecine, mais aussi enseignant et conférencier, il met aujourd’hui ce savoir ancestral à la portée de tous. La devise qui définit tout son enseignement : « L’Homme n’a pas été créé pour tomber malade, mais pour s’auto-guérir en permanence. »

DÉTAILS

240 pages
Format 155 x 240 mm (broché)
Prix: 17.90 €
Éditions Albin Michel

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